Suspicion de cushing
Sujet commencé par : estival - Il y a 53 réponses à ce sujet, dernière réponse par milouzePar estival : le 16/02/09 à 14:40:37
une jument dans mon écurie, a les symptômes suivants : - sujette aux fourbures - poil atypique (laineux) - boit et pisse bcp - chaleurs indisciplinées par contre elle ne perd pas d'état... elle a 16 ans (encore jeune) si vous pensez comme moi directement au syndrôme de cushing, y a t il des traitements pour retarder ou aider la juju avant que ça se détériore vraiment ??? |
Par miss crickette : le 16/02/09 à 15:51:03
Dire merci | je crois (a verifier) qu'il faut essayer se traiter le diabete afin de ralentir l'apparition du cushing. |
Par estival : le 16/02/09 à 15:55:05
je sais que le mieux serait de faire appel à un véto mais cette jument n'est pas à moi, je me posais juste cette question peut être pour lui en parler et pourquoi pas à la décider à faire venir qqn, s'il existe des traitements qui pourrait l'aider. je sais qu'il n'y a pas de traitement pour la guérison mais pour le reste ?...... le diabète ? je ne savais pas que c'était un des symptômes... c'est ce qui causerait le symptôme de soif répétitif ? |
Par miss crickette : le 16/02/09 à 16:00:51
Dire merci | essaie de prendre contact avec mhu elle est confronté a ce pb. On en a parlé vite fait ce we et elle a évoquer justement un traitemnt aux plantes pour limiter le diabethe apres a savoir si diabethe = boire beaucoup je ne sais pas. |
Par estival : le 16/02/09 à 16:06:36
ok ! |
Par Darius : le 16/02/09 à 16:29:21
Déconnecté | Perso je ne crois pas qu'un cushing = diabète systématiquement. C'est dans les possibilités car le cushing est responsable de toutes sorte d'affections, dont celleci, mais le vrai dosage à faire est le dosage de cortisol directement lié à la maladie. |
Par Pili : le 16/02/09 à 17:31:35
Déconnecté Dire merci | il semblerait que le cushing aille souvent de paire avec l'insulino-résistance (comparable ou diabète non insulino dépendant chez les humains). Mais effectivement, vaut mieux tester, tant le cortisol que le taux de sucre. Dans le cas d'insulino résistance un changement de régime drastique apporte souvent de grosses améliorations càd nourriture 'sans sucre' (càd sans 'grain', sans herbe fraiche et grasse, sans fruits ni légumes et avec du foin analysé ... autrement dit très contraignant comme le régime des diabetiques humains) |
Par Darius : le 16/02/09 à 18:51:54
Déconnecté | Perso je dirai le contraire ; Le diabète sucré est rarement pancréatique vrai et est souvent lié à un cushing. Mais bon si la glycémie ou la glycosurie est élevée cela ne change rien et un régime hypoglycémique adapté est souhaitable. |
Par riverjap : le 16/02/09 à 19:02:36
Dire merci | Pour avoir connu plusieurs cushing mais tous bien établis déjà. J'ai connu une jument maigre qui n'a pas survécu, elle a fait un syncop avant qu'on arrive à la stabiliser, car enfet elle n'avait jamais été soigné avant. Après j'ai connu un autre cheval qui avait donc cushing mais pas d'hirsutisme ... le seul que j'ai vu !! Le cushing a été décelé car maigreur intense, il vivait normalement et avait bien grossit. Tous les autres que j'ai connu avait des hauts et des bas, certains violents ... mais c'est vrai que la quantité d'eau ingéré était marquante je ne me souviens pas de traitement spéciaux juste la jument qui est morte avant qu'on la sauve on lui donné du vitapaulia |
Par Roman : le 16/02/09 à 19:31:43
Déconnecté Dire merci | Oedemes, Hirsutisme Démence degradation de l'état general fourbures Tête basse soif en permanence + urine en conséquence Sensation de froid en pleine canicule Sensation de chaud par - 10 ° avec transpiration excessive. Perte de la joie de vivre ...... Voilà ce qu'a vécu ma jument, à partir de l'age de 17 ans, j'ai pris la décision définitive, 5 ans plus tard ..... avec du recul .... Il faut tester le taux d'insuline dans le sang. Il existait à l'époque un traitement "Celance" peu efficace. Si tu le souhaite, contactes moi en MP je te communiquerai mon tel car je connais bien la maladie. Une photo ? Courage, la maladie évolue lentement, tu profiteras de cette jument encore quelque temps. IL NE FAUT PLUS LA MONTER Roman |
Par casimir : le 16/02/09 à 20:16:27
Dire merci | Il faut tester le taux d'insuline dans le sang. je croyais que le cushing était un pb de surénale pas de pancréa pourquoi tester l'insuline ??? j'ai louper un truc |
Par estival : le 17/02/09 à 09:29:37
cette maladie a l'air d'une complexité... monumentale !!!!!! bon je vais essayer de bien me documenter et recueillir le plus de témoignages possibles... merci pour vos avis sur la question |
Par Roro : le 17/02/09 à 09:57:40
Déconnecté Dire merci | bin, on vient d'emettre l'hypothèse que pour ma hafling fourbue, il se pourrait que le cushing se soit aussi ajouter à son soucis. les symptômes sont clairs : 2007, respiration difficile, soufflait comme un boeuf au moindre effort perte de musculature, jument sêche, pas un pêt de gras. poil d'hiver qui refuse de tomber, laineux et long transpire beaucoup, d'où sa perte de poid et surtout élimine énormément. mais soucis avec son pied, tout est lié, et donc .... je savais qu'il y avait autre chose éventuellement, prise de sang était prévue, mais j'attend que la crise de fourbure soit éliminée et les médicaments aussi avant toute prise de sang pour affirmer mon soupçon. question : comment peut-on gentiment, sans gros traitement, atténuer les effets de ce soucis ? vu qu'elle est sous régime (mais ne peut perdre plus de poid), elle est au son uniquement, foin et paille, une poignée de grain pour changer son goût, sinon, elle va faucher chez sa fille, des herbes pour sa fourbure et vitamine, vais faire une cure de lin. Herbe (pré) limité à cause de sa fourbure. j'ai donc acheté un mélange d'herbe "cushing" de la gamme Hippo et je vais voir si ça améliore son état. pour ceux qui l'ont vécu, comment se présente la "maladie" et qu'elles sont les effets ? merci. |
Par estival : le 17/02/09 à 10:29:45
j'ai l'impression qu'il y a pas mal de cas quand même ... |
Par Roro : le 17/02/09 à 10:35:50
Déconnecté Dire merci | c'est probablement parce que le cushing est vaste comme symptôme, et peut influencer dans tout. ce qui m'intéresse de savoir c'est si il est possible d'atténuer les effets, de changer le court des choses et d'aider le cheval en évitant une grosse médication. |
Par estival : le 17/02/09 à 10:45:50
idem ! |
Par Roro : le 17/02/09 à 10:51:56
Déconnecté Dire merci | Le syndrôme de Cushing Fiche technique origine: tumeur bénigne à la base du cerveau symptômes: hirsutisme, potomanie, diminution des défenses immunitaires, fourbure, fonte musculaire traitement: pergolite mesilate (à vie) Cet article est surtout destiné à donner le maximum de bien-être aux chevaux atteints par cette maladie. Je vous donne ici conseils et remarques qui n’engagent que moi et mon expérience avec ma jument. La maladie touche surtout les chevaux âgés. Qu’est–ce que le syndrome de Cushing ? C’est une surproduction hormonale provoquée par une tumeur bénigne sur les glandes surrénales chez l’homme et le chien, par une tumeur bénigne sur l’hypophyse chez les chevaux. Elle peut être aussi due à la prise d’une grande quantité de corticostéroïde (cortisone). L’opération est possible chez les êtres humains et chez les chiens, mais chez les chevaux, la tumeur est quasi inaccessible et de plus les chevaux âgés supporteraient mal l’opération. Pour l’instant il n’existe aucun traitement qui ait prouvé son efficacité (il existe, paraît-il, un médicament aux Etats-Unis, mais il est impossible de l’avoir chez nous). Alors si l’on veut garder son cheval, mieux vaut prévenir puisqu’on ne peut pas guérir. Sans la vigilance du propriétaire, le cheval ne survivra que quelques mois. (Ophélie a vécu dignement et heureuse encore 3 ans après confirmation de sa maladie). Cette maladie n’empêche pas le propriétaire d’encore monter son cheval (sauf s’il y a souffrance) Quels chevaux ? Les chevaux âgés (confirmation pour ma jument à 21 ans, mais bien avant nous étions toujours surpris par la pousse rapide de son poil). Bien sûr la maladie progresse petit à petit. On peut ne rien remarquer dans les premiers temps. Les chevaux ayant reçu beaucoup de cortisone peuvent aussi avoir les mêmes symptômes. Les symptômes et comment aider le cheval Ils apparaissent peu à peu. Le plus grave : son immunité s’affaiblit peu à peu. La moindre infection peut devenir très importante, blessures comme maladies. Il faut : Surveiller et désinfecter les petites blessures. Faire venir le dentiste tous les 6 mois… En soin préventif, l’allopathie ne peut pas faire grand chose. L’homéopathie peut aider à prévenir toute infection. Faire attention que le cheval ne prenne pas froid (il transpire très vite étant donné son épaisse fourrure – voir « poils ») Lorsque la prairie est humide, mettre une bonne couche de vaseline à l’arrière des pieds, pour éviter les crevasses Les pieds à balzanes blanches sont très sensibles à la gale de boue. Sécher les jambes du cheval au retour de prairie. Pousse anarchique du poil (le 1er symptôme, le plus visible) : pour le bien-être du cheval, il faut le tondre régulièrement. (le cheval ne peut plus régler sa température corporelle – il peut transpirer énormément et ainsi s’enrhumer) En automne et printemps, je laissais le poil sur le dos et les reins et parfois les jambes ainsi elle pouvait profiter de la prairie sans problème. En hiver et en été : je la tondais complètement (sauf éventuellement jambes et tête – elle ne participait plus à des concours de beauté, c’était son bien-être avant tout) En hiver elle portait une couverture. (mais pas trop épaisse, même comme cela, vers la fin de sa vie, elle transpirait encore). Attention, ne pas couper les fanons, ils servent de gouttière à l’eau qui dégouline des jambes. L’eau tombe ainsi sur le sol et ne va pas au creux du pied ce qui provoquerait des crevasses. Lui badigeonner régulièrement l’arrière des pieds avec de la vaseline lorsque le cheval va en prairie. Lien |
Par Roro : le 17/02/09 à 10:52:05
Déconnecté Dire merci | Alimentation Soif intense : je remplissais un grand bac pour qu’elle puisse boire facilement et ainsi je contrôlais la quantité d’eau qu’elle buvait. Le cheval doit toujours avoir de l’eau à sa disposition (il peut boire de 50 à 70 litres par jour). Puisque le cheval boit beaucoup, il urine aussi énormément. Il est souhaitable de mettre des copeaux au fond du box. (pour ma part, le box étant très grand, je mettais de la récupération d’une menuiserie que je couvrais d’un gros tapis de paille…je devais faire son box entièrement tous les deux jours). Nourriture : éviter les nourritures trop riches, ajouter un apport en minéraux. Ma jument mangeait énormément (+foin à volonté). Quantité en rapport au cheval. Ma jument n’a jamais fait de coliques ni de fourbures, mais cela pourrait être le cas pour des chevaux plus sensibles. Coliques et fourbures peuvent aussi se présenter (là j’ai eu un peu de chance, elle n’en a jamais souffert) Système locomoteur Les muscles : fatigue et faiblesse musculaires : les muscles fondent peu à peu. Les Os : Le système osseux peut se détériorer : ostéoporose ou arthrose : il faut que le cheval puisse sortir un maximum. Monté s’il est encore en bonne forme ou en prairie s’il est boiteux. (depuis ses 21 ans je ne la montais plus, l’été elle allait en prairie et l’hiver je la sortais à la main). Risque de fractures plus élevé. Eviter de mettre le cheval dans une prairie en présence de chevaux agressifs ou trop jeunes. Les articulations : 3 mois avant que je ne l’euthanasie, elle s’est mise à boiter. Harpagophytum en teinture mère (200 gouttes par jour) peut aider. On peut bien sûr faire des infiltrations mais c’est très douloureux et sans certitude quant au résultat (efficacité de 1 semaine à 6 mois). Eviter les anti-inflammatoires, car d’autres problèmes pourraient affecter le système digestif du cheval. Il faut que le cheval puisse bouger le plus possible. S’il ne reste pas toujours en prairie, le mettre dans un grand box. Cécité : ma jument avait eu une grave infection buccale qui a dû affecter l’œil droit. La tumeur en grossissant peut aussi appuyer sur le nerf optique. Ce problème ne nuit pas trop à la vie du cheval. Il faut bien sûr faire en sorte qu’il soit toujours dans le même milieu. Il connaît ainsi tout ce qui l’entoure. Il est conseillé de faire une analyse de sang de temps en temps (minimum deux fois par an) pour contrôler où en est le système immunitaire et son anémie éventuelle. Il n’y a ici que l’homéopathie qui peut ici aider le cheval (et autres médecines alternatives). Le diagnostic du Cushing peut se confirmer par une analyse de sang plus poussée (demander au vétérinaire). Certains parlent de démence possible et de dépression. Je n’ai jamais constaté de démence mais bien de la dépression. Là aussi c’est l’homéopathie qui l’a aidée. (ma jument sortait la langue, maigrissait malgré son appétit, se tenait souvent la tête basse, ne hennissait plus à mon approche – en 15 jours, j’ai pu constater de réels progrès). Amaigrissement : malgré un très bon appétit, le cheval maigrit. L’homéopathie lui a fait reprendre du poids en deux semaines : iodum 9CH. Ce symptôme n’est pas directement lié au Cushing mais plutôt à la vieillesse. Surtout, si vous constatez que votre cheval souffre d’infections à répétition et que son état général en est fort affecté, n’hésitez pas il vaut mieux l’euthanasier. La décision est difficile à prendre, mais ne le laisser pas souffrir inutilement. S’il passe le cap de l’hiver, il passera un printemps et un été sans problème. Cet article n’est pas fait pour affoler les propriétaires, cette maladie est facilement gérable. Il faut avoir la chance de trouver un vétérinaire homéopathe compétent. Ma vétérinaire était homéopathe, bioénergéticienne, micro-kiné, ostéopathe, acupuncteur. Elle utilisait ainsi toutes les possibilités des médecines douces pour aider ma jument. |
Par Roro : le 17/02/09 à 10:56:06
Déconnecté Dire merci | ce n'est pas de moi, mais trouvé sur le lien que j'ai mis dans la première partie. je vais voir plus loin. |
Par Roro : le 17/02/09 à 10:58:00
Déconnecté Dire merci | un autre article : La maladie de cushing est typique chez les vieux chevaux maigres avec une longue crinière. Les gens ont tendance à penser que leurs chevaux ne font que vieillir. En fait, les chevaux atteints de cette maladie sont léthargiques, transpirent facilement, boivent et urinent excessivement, ont souvent une température corporelle élevée, présentent des problèmes de fertilité et des risques de développer une laminite. Le taux élevé de cortisol dans leur corps affaiblit le système immunitaire et les rendent vulnérables à d’éventuelles infections comme des aphtes fréquents et des abcès dentaires, des infections du sinus, des mycoses chroniques, des cicatrisations difficiles ou encore des infections bactériennes ou parasitaires. La pneumonie est aussi possible. Au fur et à mesure que la maladie progresse, le corps du cheval subit de plus en plus de changements et des signes commencent à se manifester. La manifestation de ces signes peut prendre des années. Un grand métabolisme de protéines se produit et entraîne la perte de la masse musculaire ou l’affaiblissement des muscles. Cela peut se voir au niveau des hanches et du cou, du dos et de la croupe du cheval. Le relâchement des muscles au niveau de l’abdomen peut aussi conduire à la formation d’un bedon à cause du poids des intestins. Au cas d’un stade avancé, la compression des glandes pituitaires dans le cerveau peut entraîner de graves problèmes neurologiques si les glandes deviennent assez grandes. Les symptômes d’une compression se traduisent par une ataxie qui se manifeste par une mauvaise coordination des membres, de la fièvre, une hyperventilation ou une paralysie qui pourrait entraîner la mort du cheval. Si le cheval ne reçoit pas de soins, la glande augmente de taille, le système immunitaire s’affaiblit d’avantage et les conditions corporelles empirent jusqu’à perdre la fonction des organes. Le cheval parait vieux et agit comme un vieux cheval. Ses poils sont en général très longs. Il a des difficultés à respirer, transpire beaucoup, devient extrêmement léthargique, commence à se balancer lorsqu’il galope et dans certains cas, il arrive que le cheval ne peut plus se relever. |
Par Darius : le 17/02/09 à 11:14:50
Déconnecté | la compression des glandes pituitaires dans le cerveau Cet extrait de phrase laisse présagé que l'intervenante ne maitrise pas du tout le sujet. |
Par Roro : le 17/02/09 à 11:33:57
Déconnecté Dire merci | peut-être Darius, c'est pour ça, qu'on cherche, semble que c'est un sujet vaste et ne pas s'arrêter juste à un exemple. les raisons en sont, tout comme la fourbure, surement pas une ! mais bien plusieurs, et les symptômes sont multiples, je m'imagine qu'il y a plusieurs "cushing" comme il existe plusieurs "fourbures". mais comme l'opération n'est pas possible sur un cheval, reste à trouver ce qui aide, c'est tout. |
Par estival : le 17/02/09 à 11:34:31
le 1er témoignage est assez précieux au niveau des conseils... merci roro |
Par Malaya : le 17/02/09 à 12:38:20
Dire merci | Une jument que j'ai connue, photos prises en aout (poil coupé au ciseau) |
Par Roro : le 17/02/09 à 12:43:12
Déconnecté Dire merci | je pourrais même dire que ma hafling avait la même gueule il y a une semaine, sous la couverture, elle m'a fait des feutres que j'ai dû tailler au ciseau ! même poil ! et surtout le pire, transpiration entre les cuisses et sous le ventre. du jamais vu ! pour elle. |
Par mandorcy : le 17/02/09 à 18:31:58
Dire merci | Mon vieux cheval avait la maladie de cushing, il avait aussi du diabète, il te faut faire une prise de sang, le mien on a traiter le diabète avec des gélules pour les femmes contre la montée de lait (bromocrytine 10mg) au début on lui en donnait 5 par jour pendant 1 mois puis 3 puis 2 à vie, le diabète c'est stabilisé. Il y les autres problèmes liés à la maladie qui ne sont pas faciles à gérer. |
Par Roro : le 17/02/09 à 18:42:02
Déconnecté Dire merci | donc le diabète aussi peut en être la cause. ça devient compliqué |
Par riverjap : le 17/02/09 à 18:52:33
Dire merci | Si vous voulait j'ai les magazines CHEVAL SANTE donc je peux vous recopier tous les articles sur le cushing et il y en a !! |
Par Darius : le 17/02/09 à 19:31:46
Déconnecté | Ca n'ira pas bien loin, mais il ne faut pas confondre causes et conséquences. Un cushing attrape toutes maladies possibles. Et c'est très souvent au cours d'investigations un peu plus poussées que l'on découvre a la suite d'infections variées à répetition, de fourbures à répetion etc.. qu'un cheval est atteint du syndrome de cushing. Comme çà été dit la plupart du temps on se contente de soigner les maladies opportunistes, les unes après les autres, car le traitement du cushing lui même est peu efficace. Un cheval atteint de cushing peut vivre des années (pas sans problème) si on prend soin de lui. |
Par Roman : le 17/02/09 à 20:12:36
Déconnecté Dire merci | Cushing est une tumeur, plutôt un épaississement de l'hypophyse située au centre du cerveau. L'hypophyse est le chef d'orchestre des glandes et regissent le corps. Sensation de froid lorsqu'il fait chaud et inversement. Les chevaux qui en souffrent, ont des risques très forts de fourbures et d'infections diverses. Dans le cas de ma jument le plus dûr a été de gérer sa transiration, elle avait froid au mois d'aout et faisait du poil, et elle transpirait (de manière excessive, un filet de transpiration coulant le long de son ventre), lorque la température extérieure était de -10°. Elle a beneficié du seul traitement qui existait : CELANCE (de la poudre au yeux). On ne guerrit pas de cushing, il faut abréger lorsque l'inconfort devient trop important. Ma jument a vécu avec durant 5 années, dont 3 relativement correctes. Eau : a volonté Nourriture : herbe et foin ON NE MONTE PAS UN CHEVAL CUSHING ! Cushing touche les vieux chevaux (enfin 16 ans ce n'est pas s vieux) c'est la raison pour laquelle, il n'y a pas de recherche .... Voilà le témoignage d'un propriétaire qui a prit cushing dans le figure durant 5 ans Roman |
Par Darius : le 17/02/09 à 20:53:04
Déconnecté | Le syndrome de cushing est de l'hypercorticisme produit par une hypersecrétion des surrénales résultant de tumeurs surrénaliennes ou d'un adénome hypophysaire (l'hypophyse commande les surrénale) Mais l'hypocortisisme donc a l'opposé du cushing est une insufisance surérénalienne qui a un tableau clinique quasi identique: faiblesse générale, fatigue amaigrissement, accroissement du volume urinaire et de l'abreuvement. Par contre appétit accru pour le sel et l'analyse sanguine montre un abaissement de la concentration de sodium, un accroissement de la concentration du potassium et souvent une baisse de la glycémie. D'où un bilan sanguin qui s'impose. |
Par Roro : le 17/02/09 à 21:36:23
Déconnecté Dire merci | cushing c'est donc la tumeur en elle-même mais un cheval peut donc avoir les symptômes du cushing sans qu'il n'y ait tumeur ! oui ou non ! bilan sanguin, c'est prévu. |
Par Darius : le 17/02/09 à 21:51:10
Déconnecté | Ce sont les surrénales qui ne fonctionnent pas soit par tumeur des surrénales elles même soit par tumeur de l'hypophyse le plus souvent. Il existe peut être d'autres causes de dysfonctionnements, mais elle doivent être plus rares et perso je ne les connais pas. |
Par Roro : le 18/02/09 à 09:30:40
Déconnecté Dire merci | merci darius, pour l'instant, je ne peux pas faire de bilan sanguin, elle vient de prendre une intraveineuse pour la soulager de sa crise de fourbure aiguë, comme je suis obligée d'attendre qu'elle ait éliminé tout le produit de son sang, je m'interroge et me renseigne. quand je pourrais le véto viendra pour le bilan et on fera à partir de là. en attendant, pleins de questions c'est évident. mais elle n'en est qu'au début, premiers symptômes 2007, avec le souffle court, les poils d'hiver en été, c'était cette année. je pense que si prit tôt on doit pouvoir soulager ! en dehors, elle est encore plus que OK. |
Par Roro : le 12/03/09 à 16:04:01
Déconnecté Dire merci | rendez-vous pris pour le bilan sanguin. dans une semaine je serais fixée. mais mon véto me dit que pour être sûr, il faut "provoquer" le cushing (mais il me dit aussi que c'est une première pour lui, j'ai toujours fait des premières, déjà quand je lui ai demandé d'endormir une poulette, pour lui c'était une première) et je ne suis pas sure de vouloir aller jusque là et de pousser l'inconfort de ma jument. pour ceux qui ont passé par là, comment à part par le bilan sanguin on peut être sur que c'est ça ? déjà qu'elle va mieux, j'ai pu lui curer les pieds sans qu'elle me tombe dessus sur son mauvais pied, elle ne transpire plus, les poils tombent gentiment. elle a des herbes qui la soulage de sa fourbure, et de son soucis de thermostat, et ça a l'air de faire effet. mais je veux être fixée pour savoir comment je procède pour la suite et où l'on va. comment votre véto a procédé pour les analyses et le diagnostique ? comme ça je peux en parler à mon véto lors de la prise de sang. Message édité le 12/03/09 à 16:04 |
Par Darius : le 12/03/09 à 17:40:28
Déconnecté | Selon le guide pratique de la medecine equine Si analyse sanguine simple: hyperglycemie (hypercotisolemie inhibe l'insuline donc fait augmenter le sucre), neutrophilie, lymphopenie. Pour la provocation 4 epreuves differentes sont possibles : - soit epreuve de stimulation à l'ACTH (risque d'apparition ou d'aggravation de la fourbure) -soit epreuve de freinage à la dexamethasone (risque d'apparition et d'aggravation de la fourbure plus importante) - soit une mix des 2 epreuves précedentes - soit epreuve de reponse à la TRH. Epreuve a priviligier en cas de signe de fourbure elle s'exécute comme suit: prise de sang pour dosage de cortisol injection 1mg de TRH 15 à 90mn plus tard dosage a nouveau du cortisol sanguin. chevaux normaux : Légère diminution de la cortisolémie chevaux atteints : Augmentation de la cortisolemie |
Par Roro : le 12/03/09 à 17:57:48
Déconnecté Dire merci | le problème Darius, c'est que ma jument sort (lentement - 1 mois) d'une crise de fourbure aiguë, je n'ai ni l'envie pour X ou Y raison de l'y remettre. sa fourbure n'est pas due au soucis de cushing, mais bien un problème qui remonte à sa jeunesse (4 ans), donc n'a rien à voir. mon véto (qui a toujours fait les intraveineuses pour la soulager) m'a confirmé ne jamais lui avoir donné de cortisone. donc, je prend note de ce que tu as mis et je vois avec lui. merci |
Par Borane : le 28/06/10 à 11:05:41
Dire merci | Nous avons à notre pension 2 chevaux atteint de cushing. Ils ont un médicament qui marche très bien (l'un est même remonté) cela s'appelle CÉLANCE. C'est un médicament utilisé chez l'homme pour traiter la maladie de Parkinson... mais c'est très efficace pour les chevaux atteints de cushing. |
Par juilllet : le 28/06/10 à 11:09:51
Dire merci | tiens un de mes anciens post qui remonte avec mon ancien pseudo et mon ancien avatar ... ça fait bizarre !!!! pour les infos, de mon côté la jument est dcd en novembre 09... elle avait 16 ans.... |
Par Borane : le 28/06/10 à 12:56:17
Dire merci | Il est bon, de temps en temps, de faire remonter les anciens posts dès lors qu'on a des informations. Je suis désolée Juillet pour la jument 16 ans ce n'était pas vieux |
Par milouze : le 24/09/10 à 12:04:59
Déconnecté Dire merci | rhoo je vois pas vos photos! j'aurais voulu comparer avec mon cheval de 23 ans le veto le soupsonne de cushing mais pareil il sort d'une fourbure alors pas trop envie de lui faire une injection de cortisone.. en eme temps fourbure chez moi y'a pas grand chose dans le parcmais c'et que du trfle.. |
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