Mon avenir, equestre oui... Mais après?
Sujet commencé par : AnA268 - Il y a 11 réponses à ce sujet, dernière réponse par AnA268Par AnA268 : le 18/02/12 à 21:15:55
| Dire merci | Bonsoir, désolée, de vous embeter... Comme régulièrement, et comme beaucoup je crois, je me pose énormement de question sur mon avenir. Je vis cheval, entouré de chevaux et ca, je ne veux pas que ca change... Alors pour resituer un peu la chose, mon pere ne voulais pas je travaille dans les chevaux (enfin avec) et voulais que je fasse dans l'artisanat comme lui. J'ai donc fait une formation de selliere harnacheur, plus pour faire plaisir a papa qu'autre chose, je me suis deboité l'epaule avant l'examen (que je n'ai donc pas eu), je continue a bosser le cuir par simple plaisir. par la suite j'ai fait un animateur soigneur, envoyé boulé les avis de papa et j'ai passé une année formidable, par la suite (un an) j'ai fais des stages chez un cavalier pro jeune chevaux et au salon du cheval de paris puis j'ai bossé un an comme animatrice, plsuieurs débourrages pour des particulier, des expériences fabuleuses. Au jour d'aujourd'hui je suis en formation monitorat, je m'eclate, les jours ou je suis chez le tuteur j'ai l'impression d vivre un reves eveillé meme si c'est + ou - dur des fois. Mais voila, que faire apres mon monitorat? (obtention en juillet normalement) j'ai egalement mon savoir 3, la cense. Je suis quelqu'un de très independante, n'aimant pas la compet', travaillant plutot sur le relationnel et le plaisir d'etre avec et sur les chevaux. Très interessée par les jeunes chevaux, débourrage,... je ne souhaite pas retourner chez mes parents (comme prévu initialement) après plusieurs gros clash avec mon pere) plusieurs choix se posent à moi: * Travailler dans un club, sachant que je veux etre autonome, pas de compet, ... bref, pas sur que je trouve un club qui me corresponde, et pas trop envie d'etre juger (par le patron) sur ma facon de travailler... Pour moi l'equitation est un plaisir, et je veux me faire plasiir au milieu de la carriere * Ouvrir ma propre structure, très familiale, chevaux derriere, mais reste a trouver l'endroit et surtout le budget * Me mettre en monitrice indépendante (j'ai mon autonomie), allez chez les gens, faire des remplacement (comme ca si ca me plait pas... Bah au moins suis pas condamné à y rester pendant... longtemps), faire des débourrages ou travail de chevaux pd les absences des proprio, ... mais... Salaire très aléatoire d'un mois à l'autre et pas sur que ca marche * Autres choses? mais quoi? Sachant que j'ai 4 chevaux, donc peut pas me deplacer au 4coin de la france pour naviguer de job en job, et que je veux pas vivre à la montagne  vous pensez que quelques chose est possible pour que je puisse m'epanouir au travail?? Merci, désolée du roman... Ca faisait longtemps, j'avais pas posté un truc aussi long... |
Messages 1 à 11, Page : 1
Par Eaudefee : le 18/02/12 à 21:35:33
  Déconnecté | Tu sais, tous les clubs ne sont pas portés concours et j'en connais même beaucoup qui sont très familiaux et cools, portés sur l'équitation de loisir, randos, éthologie. Il n'y a pas de raisons que tu ne trouves pas un endroit qui te convienne . Au contraire, tu pourrais proposer des améliorations: cours d'équitation éthologique, cours de free, etc. ça plait beaucoup aux cavaliers. Personnellement, à ta place, je commencerais doucement en tant que monitrice en club, le temps de me faire une solide expérience et d'etre au point niveau gestion, réalité du métier et du marché, etc. Mettre de l'argent de coté pendant ce temps et monter doucement mais solidement un projet indépendant derrière: Vu tes gouts (et j'ai les mêmes), je miserai (si le budget le permet) sur une petite structure à rentabiliser via des pensions (c'est une rentrée principale, fixe, ça permet de rentabiliser d'emblée la structure, surtout en cas de crédit sur le dos), et donc proposer: - pension de chevaux - cours pour les pensionnaires - pension débourrage - organisation de stages à thème (notamment autour de l'équitation éthologique qui a l'air de te tenir à coeur) Je pense que ça peut etre rentable à conditions de démarrer bien armé: choisir le bon emplacement, ne pas s'endetter sur 30 ans, et miser sur une pub d'enfer. Après tu es jeune, laisse toi du temps, un tel projet se mûrit parfois plusieurs années. Vraiment ne te précipite pas, prends ce qu'il a à prendre d'abord en indépendant ou en club, puis dessine tranquillement la suite. Bonne chance en tout cas, pas évident de vivre des chevaux mais quand on est passionné et compétent on finit toujours par trouver une petite place faite pour nous le tout étant d'etre patient. |
Par TeamDress : le 18/02/12 à 21:39:53
| Dire merci | Il faut bien comprendre qu'on ne peut pas avoir le beurre, l'argent du beurre, la monnaie du beurre et.... le monitorat est un ticket pour commencer à apprendre , pour entrer dans le vif du sujet (et non un aboutissement) c'est un niveau très faible et insuffisant pour ouvrir sa structure tout comme pour se mettre en libérale. même si vous trouverez toujours quelqu'un pour vous dire qu'il a ouvert sa tructure avec un monitorat, ou qu'il s'est mis en libéral avec un bpjeps, oui sur la papier c'est possible après sur le terrain, on voit la différence et sur le long terme aussi..... et puis il n'y a pas 2 carrières identiques, il n'y a pas 2 bpjeps identiques.... ouvrir sa structure ou être libérale demandent une grande expérience et un solide bagage technique, même si ce n'est pas pour faire de la compétition, pour répondre à une clientèle variée et avec parfois plus d'années d'équitation que vous dans les jambes. Et ça ne demande pas qu'être bon cavalier, bon enseignant, amoureux des chevaux et il faut aussi être bon chef d'entreprise. même si ça ne semble pas être votre tasse de thé, il me semble que le passage en club pendant quelques années est le minimum pour faire ses premières armes. c'est en étant conseillé, jugé, guidé par ses premiers employeurs, des collègues plus expérimentés, plus âgés, que l'on apprend le plus. c'est en faisant plusieurs écuries différentes, avec des fonctionnements et une clientèle différente que l'on apprend le mieux et que l'on acquiert les outils que l'on pourra un jour utiliser chez soit si on est toujours de la partie, car le taux d'abandon est assez élevé. que l'on fasse de la compétition ou non la pire des choses est dans toutes les disciplines, à tous les niveaux, de se renfermer sur soit, de ne pas s'ouvrir aux autres professionnels. rester chez soit dans sa carrière à bidouiller dans son coin, c'est l'encrassage assuré, la clientèle le sent, et au bout de quelques années une réputation est vite faite....les gens vont voir ailleurs. |
Par AnA268 : le 18/02/12 à 21:40:54
| Dire merci | mierki miss  Ouvrir ma propre structure, c'est pas ce qui m'interesse le plus, j'avous que mon kiff c'est les ptis niveau (maxi 4) et les jeunes chevaux... L'etho ca me branche mais, me sens pas assez calé pour enseigner... de l'approche oui... mais pas plus loins.... dans ma region (bretagne, ya casi, que des clubs de compet CSO :'( , actuellement je suis en sarthe, je vois que ds club de CCE (a part ma tutrice...) |
Par AnA268 : le 18/02/12 à 21:44:50
| Dire merci | team dress---> bah c'est pour ca, que je visait plus les remplacements (qui permette d voir pleins de structures differentes, pleins d facons d travail, ... sans me lacer.) apres, faire que du remplacement ca signifie, des mois avec du travail, et des mois avec rien... et ca c'est pas envisageable... D'ou l'idée de faire un peu de liberal a coté... |
Par Eaudefee : le 18/02/12 à 21:46:47
| Déconnecté | Ca m'étonne, j'ai habitée quelques années en Bretagne et je n'ai pas eu de mal à trouver un club de loisir  E |
Par Eaudefee : le 18/02/12 à 21:51:24
| Déconnecté | Le libéral c'est vraiment aléatoire, y'en a beaucoup de moniteurs indépendants, mais peu de demande, à part pour ceux qui ont un parcours professionnel particulier, d'ailleurs peu de cavaliers de loisirs se portent sur des cours à domicile comparativement aux cavaliers de concours qui misent souvent sur un "coatch" pour les encadrer et les soutenir, donc avec qui tu peux avoir un vrai suivi et un début d'intéret financier niveau activité. A part enseigner en club à temps plein, je vois mal comment débuter et gagner ta vie. Après enseigner en club ne t'empêche pas de dispenser des débourrages et leçons extérieurs. Tu peux aussi opter pour une écurie de valorisation jeunes chevaux, c'est très intéressant, on apprend beaucoup. Te reste aussi les clubs avec élevage, ou tu pourras faire du débourrage. Tu peux bien entendu travailler dans un club normal et proposer au club tes services en débourrage, ainsi le club peut proposer un service de plus à sa clientèle et les deux trouvent leur compte toi tu leur apportes du monde, eux t'offrent la structure. |
Par AnA268 : le 18/02/12 à 21:58:46
| Dire merci | ouaih... vas falloir que je cherche (et trouve) ma perle rare en club pour l'année pro... t'etait ou en bretagne |
Par soanne : le 18/02/12 à 22:15:41
| Déconnecté Dire merci | je suis dans le 22 et quasiment tous les clubs sont axés compet cso aux alentours. j'ai mis mes chevaux au pair quelques temps dans une ferme équestre faisant un peu d'endurance. ils élèvent de l'islandais et de l'arabe et sont un peu débordés car ils veulent refaire les installations pour évoluer. bricoler le cuir peut aussi t'apporter un plus les mois sans boulot. |
Par AnA268 : le 18/02/12 à 22:22:07
| Dire merci | soanne--> 22/56 c'est pareil compet compet biensur le cuir est un plus... |
Par phoeb : le 18/02/12 à 22:38:27
| Déconnecté | j'ai fais 5 clubs. sur les 5, un seul faisait du concours: du trec et ils proposaient seulement.Essaye |
Par AnA268 : le 18/02/12 à 22:43:33
| Dire merci | phoeb---> oui, je commence a regarder les annonces (mais peu on deja posté pour la rentrée 2012) après, je peux bouger... et ca, c'est cooool |
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