Draianage hépatique
Sujet commencé par : swann - Il y a 45 réponses à ce sujet, dernière réponse par LoarghannPar swann : le 02/08/14 à 17:18:07
Dire merci | donc suite de ma rate au court bouillon, comme dit phil qui fait du drainage hépatique à ses chevaux, et avec quoi? pourquoi? combien de fois par an? à quelles occasions? merci! |
Par Loarghann : le 08/08/14 à 13:27:30
Dire merci | Ok Colomba, je comprends tes craintes, s'il y a un background derrière. Sans background, je trouve pour ma part ses propos plein de.... Bon sens Ok Swann, dès que je l'ai lu, je reviens t'en parler... |
Par Colomba : le 08/08/14 à 13:42:36
Déconnecté Dire merci | Mais c'est vrai qu'il y a plein de bon sens dans ces propos Maintenant, un drainage hépatique de temps en temps peut avoir son utilité, d'autant plus que nos contrées voient arriver des plantes pas forcément indiquées pour les chevaux, et qu'elles tapent surtout sur le foie. C'est vrai que les chevaux sont fait pour manger une herbe plutot pauvre, glanée en marchant toute la journée, plutot que de l'herbe grasse sans bouger, ce ne sont pas des vaches. Pour autant, le foin n'est pas le must ni si naturel, sinon les chevaux n'y seraient pas aussi souvent allergiques : l'herbe est quand meme l'aliment le plus naturel qui soit, et sans excès, tous les chevaux ont besoin d'herbe. C'est vrai que lse paddocks paradise, c'est bon pour les pieds, mais quand on ne vit pas sur des terrains durs, on fait avec. Il manque dans ce bon sens qui veut répondre aux besoins des chevaux, le besoin d'espace : un cheval n'set pas fait pour etre enfermé 23 h sur 24, mais il n'est pas non plus fait pour etre confinés dans de petits paddocks, meme en groupe. Un cheval a besoin de se dépenser, de marcher et de pouvoir galopper vraiment autrement qu'en rond... Comment imaginer le développement optimum et la solidité de l'organisme sans espace ? Il a également un système respiratoire fragile qui fait qu'il ne doit pas non plus respirer de la poussière, que ce soit celle des boxes, mais aussi celle des pins ou encore celle du sable : toutes les formes de poussière font facilement tousser les chevaux sensibles. Après, dans le sud par exemple, a t on le choix en été ? Tout ça pour dire que le cheval a de multiples besoin, mais qu'on fait plus souvent ce qu'on peut que ce que l'on veut, et qu'on offre les conditions de vie les meilleures possibles... De meme, si je plussois le fait qu'il y a beaucoup de charlatans dans les métiers paramédicaux, j'affirme qu'il y a de bons dentistes, de bons ostéos, de bons pareurs etc etc et surtout, que ce sont des métiers qui ont leur utilité en parallèle des vétérinaires. |
Par JuliaRoberts : le 08/08/14 à 14:12:20
Déconnecté Dire merci | J'ai juste cité dans les conseils de bon sens des pareurs le fait de donner un bon foin, si l'on reprends un de mes posts plus haut, j'explique que si en général on donne du bon foin et/ou de la bonne herbe à un cheval associé à un complément du commerce, en général tout se passe bien, donc je n'ai jamais prôné de passer tout à l'herbe ou tout au foin ou de ne pas complémenter, c'est même tout le contraire. Et pour embrayer sur ce que dit Coralie sur notre capacité à évaluer un bon foin, je suis comme elle, sans faire analyser le foin, je suis bien incapable de savoir s'il est "bon" ou pas, c'est à dire de connaître précisément sa valeur nutritive et ses teneurs en oligo-éléments. C'est donc tout l'intérêt de complémenter avec un aliment du commerce qui garantit la présence en quantité adaptée des différents oligo-éléments, pour ne pas se retrouver au bout de quelques années avec des carences en sélénium ou je ne sais quoi. Message édité le 08/08/14 à 14:12 |
Par ninipinou : le 08/08/14 à 17:19:29
Dire merci | je ne fais le drainage hépatique que sur les conseils de mon véto |
Par Loarghann : le 08/08/14 à 17:49:42
Dire merci | Donc, ok, il faut complémenter, mais quid sans connaitre les apports du foin. Ce qui me pose souci dans les compléments, c'est le tout le monde aux mêmes dosages. Hors il y a plein de paramètres qui rentrent en ligne de compte : - qualités intrinsèques nutritives du foin (changent à chaque balot) - qualités intrinsèques nutritives de l'herbe (changent à chaque pré, saison, heure de la journée, en fonction du niveau de tonte aussi, une herbe rase qui lutte pour survivre est plus riche qu'une herbe en grain qui a mené son cycle à sa fin...) -qualité de la flotte -capacité du cheval à retenir/ingérer les nutriments - état de santé mentale du cheval (stress) - état de santé physique du cheval et encore plein d'autres que je n'imagine même pas... Si on ne veut pas passer son temps en analyses en tout genre, de la pds à l'analyse de sol, analyse du foin, de l'eau etc, qui de toute manière ne sont valables qu'au moment m de l'analyse, on fait comment ? Est-ce que une surcharge en vitamines/minéraux peut etre néfaste ? Comment mesurer l'adéquation réelle de l'alimentation donnée de manière factuelle ? Coralie |
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