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Ne pas savoir que faire de sa vie...

Sujet commencé par : sheytana - Il y a 221 réponses à ce sujet, dernière réponse par Assimilee
1 personne suit ce sujet
Par sheytana : le 27/01/12 à 08:24:50

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Le sujet du jour bonjour

Depuis que j'suis, allez, en 4ème, j'ai toujours eu une idée précise de ce que je voulais faire dans ma vie... Et fait tout ce qui était dans mon possible pour converger dans cette direction...

Mais voilà, maintenant, après X années d'études, quand il ne m'en reste plus qu'une... Je doute...

Je sais absolument plus quoi faire après

J'ai aucune vocation, rien ou je suis particulièrement douée qui s'impose comme une évidence... Ni rien que j'ai particulièrement envie de faire...

Reste la solution de faire un boulot alimentaire, je suppose que c'est le cas de plein de gens, mais je trouve ça triste quand même non?

Qui d'entre vous est dans ce cas, de pas savoir quoi faire de sa vie? Ou de commencer à douter de sa voie? Que faire dans ce cas?
Est-ce que ça existe le boulot "fait pour nous"? Ou est-ce que ce sont juste des illusions de jeunesse dans ma tête

Messages 1 à 40, Page : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6

Par Lou Ann58 : le 27/01/12 à 08:27:46

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 Je suis dans le même cas que toi hormis que je n'ai pas fais d'études, j'ai juste mon BAC, ce qui m'handicape assez dans ma recherche de boulot .... il n'y a rien vraiment qui m’intéresse en particulier (mis à part les chevaux) et c'est la galère, ça me saoul !!!!

Désolé je ne suis pas d'une grande aide pour toi

Par sheytana : le 27/01/12 à 08:31:23

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Au moins on se sent moins seule

Moi aussi j'aime les chevaux (sans blague ) mais je ne me vois aaaaaaabsolument pas bosser là dedans... Si au moins j'étais une cavalière talentueuse mais non, même pas

Bref, le serpent qui se mord la queue

Par Maevan : le 27/01/12 à 08:38:24

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 De mon coté : j'ai fait des études qui me plaisaient avec comme volonté de devenir ethnologue (sisisi).

Arrivée en maîtrise coup de massue : j'ai été dégoutée par la manière dont elle s'est passée, donc... j'ai arrêté.

J'ai fait un master pro qui me permettait de trouver un bon boulot, mais que je voyais à ce moment là comme purement alimentaire.

J'ai bossé 3 ans dans un boulot assez peu intéressant, où je me suis drôlement remise en question, où je me voyais clouer à mon poste sans possibilité d'évolution et de changement et où une déprime commençait à poindre.

Et là, j'ai trouvé un travail super intéressant, chouette, avec juste la dose de responsabilité qu'il me fallait.

Alors c'est pas ethnologue, mais c'est pas mal non plus en fin de compte, et je découvre plein de choses.

Ce que je veux dire par là, c'est qu'il y a parfois des opportunités qui se présentent plus tard, après les études, et auxquelles vous n'auriez pas pensé à ce moment là.

Et finalement ce qui peut paraître alimentaire à la sortie des études peut très bien vous intéresser +++ quelques temps plus tard


Par naala147 : le 27/01/12 à 08:38:44

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 tu sais moi j'ai ete dans ma voie.... et je me retrouve dans cette voie tant desirée a faire un taff que je trouve au final alimentaire puisque en 2 ans j'en avais largement fait le tour...

donc bon, le taff miraculeux ou tu t'ennuie pas, j'en reve!

Par sheytana : le 27/01/12 à 08:42:46

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Ben moi je suis dans "ma" voie, mais je commence à me poser de sérieuses questions

Alors une fois que j'aurais fini, je peux décider de me lancer dans autre chose, mais l'herbe sera elle plus verte ailleurs? J'en doute...

Sinon, oui, y'a toujours la solution d'attendre et de voir comment ça s'passe mais bon, faudrait quand même savoir déjà vers quoi postuler....

Ce que je veux dire par là, c'est qu'il y a parfois des opportunités qui se présentent plus tard, après les études, et auxquelles vous n'auriez pas pensé à ce moment là.

Et finalement ce qui peut paraître alimentaire à la sortie des études peut très bien vous intéresser +++ quelques temps plus tard
-----> Ce serait l'idéal, d'avoir du bol et de pas avoir à choisir

C'est cool pour toi en tous cas que ça se soit fait plus ou moins "tout seul"

Par cestmoi2 : le 27/01/12 à 08:55:09

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Pour ma part, j'ai pris la voie de la raison, après avoir tenté la voie de la passion: bosser dans les chevaux, et je me suis rendue compte que c'était dur moralement, physiquement et j'ai perdu mes illusions.

Donc après çà, je n'avais plus trop la possibilité de faire beaucoup d'études, même si c'était mon rêve (j'ai dû m'assumer seule très rapidement)... Alors j'ai choisi quand même de faire des études après le bac, pas trop longues, me permettant de faire un boulot pas trop mal payé, où je serais au chaud sans trop m'épuiser... Donc j'ai fait le parcours que tu connais (si tu te rappelles pas, en MP).

Et de boulot alimentaire et bien payé, je me suis trouvée ma place... Je suis heureuse de me lever le matin pour aller bosser, çà me passionne, chaque jour je m'enrichis et je me dis que bon sang, la vie est belle. Mais surtout j'ai trouvé ce qui me convient, par hasard. Et comme j'ai bien trimé avant d'y arriver... C'est que du bonheur.

Par Uriette : le 27/01/12 à 08:57:29

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 Moi pareil même pour le boulot alimentaire je ne sais pas quoi faire de ma vie
Du coup j'attends les bras ballants qu'il me vienne une idée. Et ça craint.

Par pitichat83 : le 27/01/12 à 09:01:47

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 Tu fais quoi comme études ?

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:04:23

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cestmoi2 je me rappelle plus quel parcours tu as fait

Mais en tous cas, chouette que tu ait fini par trouver ta place, chapeau pour le parcours

Bon, ça donne espoir tout de même, visiblement tout le monde se cherche un peu au début

Uriette>

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:05:51

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Pitichat ça importe peu au final

Par kagnotte : le 27/01/12 à 09:10:11

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 J'ai pas pu faire de longue études, je n'ai qu'un bac +2, l'envie de m'installer trop rapidement avec mon homme.
Je me suis orienté vers la formation, j'ai étais prof en lycée et formatrice pour adultes, c'était sympa c'est ce que je voulais au départ mais au bout d'un moment j'en ai eu marre.

Et là à 35 ans changement total d'orientation je retourne dans ma passion, et je suis en train de passer un CAP sellier harnacheur. Et là je revis, je m'éclates. Même si je ne serais jamais riche je fais ce que j'aime et pour moi ça n'a pas de prix. Mais bon j'ai la chance d'avoir un mari qui a un boulot avec un salaire correct.

Par nouvellevie80 : le 27/01/12 à 09:10:50

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 me concernant j'ai suivi des études qui me permettaient de faire 2 boulots : psychologue et/ou ergonome.
j'ai choisi la facilité concernant mes stages (en fait,j 'ai pris ce qu'on me proposait et c'était en ergonomie) sans vraiment savoir à quel point les stages étaient importants pour une jeune diplomée...
donc le métier d'ergonome était tout tracé pour moi, j'avais le soutien de mes tutrices, j'avais même réussi à trouver un boulot... seulement, j'ai pris quelques jours pour réfléchir... me dire "mais finalement t'as toujours voulu faire quoi?" et là ça a été une évidence... je n'ai jamais voulu être ergonome, dans mon stage j'ai tout donné parce que c'est toujours bien d'avoir des connaissances et certains aspects me plaisaient quand même...
mais je veux être psychologue!
alors me voilà repartie pour 3 ans de formation dès la rentrée prochaine (c'est qu'un samedi par mois!) pour pouvoir m'installer dans le libéral. En attendant, va falloir que je trouve un boulot... mais bon!
je ne me serai absolument pas vu à plus ou moins long terme en tant qu'ergonome! ça peut paraitre idéaliste mais j'ai pas envie d'aller à mon boulot à reculons, j'ai envie d'être heureuse de travailler et d'avoir un travail qui me correspond : être mon propre patron, être en contact permanent avec des personnes, les aider, avoir une vie stable (dans le sens où je n'aurai pas à déménager tous les 2 ans)... bref, je suis sûre que ce boulot est fait pour moi


Par Jasmine : le 27/01/12 à 09:11:57

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Je suis toujours restée dans la même branche, mais j'ai quand même eu des moments de toutes,avant de "trouver" mon poste actuel...

J'ai fais mes études, en alternance dans une boite super. Fin des études, je cherche le même genre de poste que j'avais en alternance (où ils n'avaient pas de place pour moi ). J'ai pas de mal à trouver un poste... mais vraiment pas intéressant finalement, c'est pas du tout ce qui me plaisait. J'y suis restée 1 an, puis j'ai cherché ailleurs. Trouvé un autre poste en CDI : encore moins intéressant...

Là jme suis franchement posé la question, de repartir à zéro et de partir dans une toute autre branche (jme serais bien vu faire un truc genre patisserie, cuisto... rien à voir avec ce que je fais quoi )

Et puis juste à ce moment là, la boite où j'ai fait mon alternance m'a proposé un poste qui venait de se créer. J'y suis depuis 4 ans maintenant, c'est un poste intéressant, la boite est top, ils forment, y'a moyen d'évoluer...

Mais je pense quand même que j'aurais pu kiffer un autre job même si je lacherai le mien pour rien au monde (ou pas grand chose du moins)


Je sais pas si je t'aide bien, mais c'est pour te dire mon "parcours", et que oui, malgré les doutes à une époque, j'ai quand même fini par avoir un job qui me plait.

Par tyoc : le 27/01/12 à 09:15:10

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Reste la solution de faire un boulot alimentaire, je suppose que c'est le cas de plein de gens, mais je trouve ça triste quand même non?

Il y a des boulots alimentaires, qui même si pas passionnnant, où les conditions et l'ambiance font que c'est aussi bien voire même mieux qu'un boulot "à vocation" avec des conditions et une ambiance moyenne. Mais ce n'est qu'une fois le boulot trouvé que on le sait.

L'important c'est aussi ce que te permet de faire le boulot dans la vie privée.

Qui d'entre vous est dans ce cas, de pas savoir quoi faire de sa vie? Ou de commencer à douter de sa voie? Que faire dans ce cas?

J'ai été dans ce cas. Après un boulot trouvé au hasard et un boulot alimentaire en suivant (craquage du premier avec démission, besoin d'un boulot rapidement), j'ai repris une formation niveau bac pro à + de 33 ans. 6 mois pour trouver ce qui me plaisait avec l'aide d'une asso.
Tu peux tout à fait faire une autre formation mais le soucis c'est de trouver quoi et quoi qu'en en dise qui a des débouchés.

Est-ce que ça existe le boulot "fait pour nous"?
Ou est-ce que ce sont juste des illusions de jeunesse dans ma tête


Je pense que oui pour certain qui on une passion ou vocation. Mais comme je l'ai dit plus haut tu peux facilement t'en dégouter. J'ai failli être dégouté suite à 2 patrons pas honnête avec les employés (dans leur comportement).


Par sheytana : le 27/01/12 à 09:15:11

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 me dire "mais finalement t'as toujours voulu faire quoi?" et là ça a été une évidence... -----> C'est bien mon problème!

Quand je me pose la question RIEN ne vient comme une évidence...

C'est juste le flou total, le "Ah oui tiens c'est vrai, si j'avais à choisir, j'aurais fait quoi "

Kagnotte> C'est ce que je te disais sur ton post, et où on se foutait de ma gueule
Je trouve ça vraiment cool que tu puisses faire ça, et je pense que ça m'aurait pas mal plu aussi.... Mais j'aurais du mal à me dire que purée, j'ai fait toute ces X années pour rien, et maintenant j'ai plus qu'à tout recommencer

Par vanou85 : le 27/01/12 à 09:16:56

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J'ai énormément douté pendant ma 2ème année de BTS.
J'ai fait mon stage à l'étranger, très mal encadrée (en faite, pas du tout ) et l'écriture de mon rapport de stage a été super dur. En faite, je me voyais rater mon BTS et si cela se produisait, je me posais la question de redoubler ou non... (est ce que ça valait vraiment le coup?)
Bon, ce BTS, je l'ai eu.

Recherche de boulot dans un domaine qui recrute, mais plutôt masculin... 6 mois de chomage, à peine 2 entretiens d'embauche... J'étais à 2 doigts de reprendre mon boulot d'étudiante (employée chez McDo) et de laisser tomber les recherches dans ma branche... (Toujours pas sur de moi sur ma "vocation"

Je décroche un job, je déménage, je signe un CDI... Tout va bien et pourtant, je me demande toujours si je fais bien d'être là... Et le pire je trouve, c'est que ce boulot, il me plait.

Alors pour répondre à tes questions
Qui d'entre vous est dans ce cas, de pas savoir quoi faire de sa vie? Ou de commencer à douter de sa voie? Que faire dans ce cas?
Je ne me prends plus trop la tête sur mon avenir pro. J'ai un CDI, je vis correctement, mais j'ai toujours un oeil sur les petites annonces... on sait jamais...
Est-ce que ça existe le boulot "fait pour nous"?
Je ne pense pas. Et je ne suis pas pour faire le même boulot pendant 30 ou 40 ans. Enfin je ne me vois pas faire ce que je fais toute ma vie.

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:18:07

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Jasmine> Si si, ça aide de savoir qu'au final effectivement, même dans une même "branche", on peut trouver différentes voies

Au moins, ça fait positiver en se disant que même si ce que je vois en ce moment ne me plais pas, il y a p-e plein de choses qui feront qu'une fois qu'on y sera concrètement, les choses peuvent être complètement différentes....


Par Bryce : le 27/01/12 à 09:19:00

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J'suis un peu dans le même cas ... Je viens d'avoir mon master, j'ai plein d'idées, de projets en tête, mais ils sont vraiment trop durs à réaliser sans moyens

Là pour l'instant je me prends une année sans engagements durant laquelle je vais suivre une école de chinois, ce qui me laisse un an pour développer un de mes projets ... si ça marche, tant mieux, sinon j'étudie la possibilité d'enchainer sur un PhD pour encore retarder l'échéance

Mon problème, c'est que j'ai beaucoup d'entreprises qui me veulent, mais je ne me vois absolument pas travailler sous les ordres de qqun, je ne supporte pas ça J'ai besoin de "contrôler", de toujours pouvoir exprimer ma vision des choses, mon cap, obtenir une finalité telle que je l'imagine quand je bosse, sinon la motivation ne vient pas

Par al : le 27/01/12 à 09:19:53

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je pense que tu devrais finir ton doctorat, commencer à bosser, n"'importe" quel boulot, juste pour te faire une première idée de ce que c'est que le boulot pour lequel tu as fait tes études.
Parce qu'entre être doctorant et réellement employé, y'a un monde, je l'ai vu avec PE. (lui qui au début n'était pas chaud du tout pour ce stage, et qui finalement ne se voit plus trop changer de branche).

d'autant plus que l'entreprise dans laquelle tu t'apprêtes à rentrer, elle a certes ses inconvénients (elle est dans la mauvaise ville à mon gout ), mais elle offre des possibilités d'évolution assez hallucinantes, ce serait donc bête de passer à côté, d'autant plus que tu aimes le sujet principal de cette entreprise (ce qui est à prendre en compte).

tout en sachant que ce que l'on considère comme "alimentaire" dans un premier temps, on peut y prendre gout....

regarde moi en septembre, ce que je disais de mon boulot, que c'était ce dont je me moquais avant, que ça serait un temps, alimentaire, en attendant autre chose...ben y'a moyen que j'y reste maintenant, parce qu'il y a des aspects dont je ne soupçonnais pas l'importance et qui, au final, me plaisent bcp

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:20:08

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 Il y a des boulots alimentaires, qui même si pas passionnnant, où les conditions et l'ambiance font que c'est aussi bien voire même mieux qu'un boulot "à vocation" avec des conditions et une ambiance moyenne. Mais ce n'est qu'une fois le boulot trouvé que on le sait.----> Oui c'est vrai que l'ambiance et les conditions de travail jouent bcp à avoir envie de se lever le matin

Je le vois déjà parce que j'ai deux bureaux, et les deux ambiances n'ont juste rien à voir... Et effectivement, ça joue déjà pas mal... (Un plus relax, et un ou les gens sont plus sur ton dos...)

Par pitichat83 : le 27/01/12 à 09:21:23

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 Pitichat ça importe peu au final

Ben si ça importe parce que ça dépend de tes études si tu peux partir sur autre chose grace à ça ou non.

Maintenant si tu veux pas le dire ça d'accord y'a pas de soucis

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:25:00

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 Je pense que oui pour certain qui on une passion ou vocation. Mais comme je l'ai dit plus haut tu peux facilement t'en dégouter. J'ai failli être dégouté suite à 2 patrons pas honnête avec les employés (dans leur comportement).----> C'est pas faux, ça m'étonne pas vraiment en fait


Par sheytana : le 27/01/12 à 09:25:45

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Pitichat> Oui je peux partir sur autre chose

Par cestmoi2 : le 27/01/12 à 09:26:25

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Je t'ai répondu en MP.

Il n'y a qu'en bossant qu'on se rend compte de ce qu'il se passe réellement.
Mais il est clair que lorsque tout va bien et qu'en plus les sous-sous tombent!!! Cà pèse dans la balance!

Et pourquoi pas aussi faire des jobs entre deux, si pas déjà fait? Tenter de tout.
Pour ma part je faisait du ménage, opératrice de saisie, maquilleuse enfant, etc... Tout et n'importe quoi, parce que déjà çà fait une expérience de la vie (on relativise son travail, ensuite), et qu'ensuite çà ouvre l'esprit. Même si on va en bas de la chaîne, on croise tous métiers et çà ouvre des horizons (pour ma part c'est en faisant le ménage que j'ai croisé quelqu'un qui m'a trouvé la voie, la bonne).

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:29:46

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Cestmoi> Et pourquoi pas aussi faire des jobs entre deux, si pas déjà fait? Tenter de tout.-----> Ça se fait dans la mesure du possible on va dire, entre mes études et mes chevaux, difficile de trouver du temps pour tout, mais je suis webmaster pour une assoc, je fais aussi des affiches pub à mes heures perdues, je donne des cours, j'ai fait du babysitting, et oui c'est net que ça fait rencontrer d'autres horizons de temps en temps, et c'est pas plus mal

Par Assimilee : le 27/01/12 à 09:30:21

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Sheyt, il n'y aurait pas aussi un peu de trouille de te lancer? Je pose la question comme ca si ca se trouve je suis completement à coté de la plaque.

En tout cas si ca peut te rassurer je pense que tout le monde au final a eu des periode de doute. En ce qui me concerne j'ai un BTS commerce un peu par défaut. J'ai eu un gros coup de coeur pour le marketing. J'ai fai mon école juste pour avoir un bac +5 sur mon CV et au final gros bad à la sortie. Galère de trouver un boulot et ce que j'avais trouvé était franchement alimentaire.

Je n'ai trouvé que maintenant un boulot qui me plait vraiment. J'ai le boulot dont je rêvais en BTS Donc au final même en pensant mettre trompée et en me disant que je ferais de l'alimentaire je suis retombée sur mes pieds et je fais quelque chose qui me plait.

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:31:31

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Bryce> si ça marche, tant mieux, sinon j'étudie la possibilité d'enchainer sur un PhD pour encore retarder l'échéance
----> Déjà utilisé cette option là

Tu peux pas te lancer comme auto-entrepreneur toi?
Moi j'aurais pas les c*uilles perso, mais des gens plus audacieux peuvent TB s'en sortir

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:32:24

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 Sheyt, il n'y aurait pas aussi un peu de trouille de te lancer? Je pose la question comme ca si ca se trouve je suis completement à coté de la plaque.----> Y'a sans doute de ça oui... Comme dit Bryce, on retarde l'échéance

Par aline13 : le 27/01/12 à 09:34:24

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 +1 avec Al.....(mais quel magnifique prénom, on te l'a déjà dit ? )

et + 1 aussi avec Tyoc....l'ambiance compte énormément

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:36:14

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Al> Oui c'est vrai aussi l'avantage et l'inconvénient des grosses boites, c'est qu'il y a bcp de possibilités.... Mais ... Trop en fait
Faut avoir de la chance pour tomber pile poil au bon endroit... Ou alors, être vraiment acharné et audacieux, ce qui n'est pas vraiment mon cas

Donc soit faudrait que je m'y mette sérieusement, soit comme on en discutait, je peux aussi partir sur complètement autre chose, ce qui n'empêcherait d'ailleurs pas d'y revenir plus tard

Par tyoc : le 27/01/12 à 09:40:50

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Ou choisir une petite boite innovante.

Par Uriette : le 27/01/12 à 09:42:55

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 Il y a des boulots alimentaires, qui même si pas passionnnant, où les conditions et l'ambiance font que c'est aussi bien voire même mieux qu'un boulot "à vocation" avec des conditions et une ambiance moyenne. Mais ce n'est qu'une fois le boulot trouvé que on le sait.
Exactement, d'ailleurs ça fout un sacré coup au moral de s'en rendre compte. C'est pour ça que j'aie carrément aucune motivation. Je me suis retrouvée à sédimenter seule enfermée dans un placard cradingue dans une équipe de neurasténiques végétalo-anoréxiques-misanthropes.
Du coup j'arrive plus à vendre mes compétences tellement ils m'ont dégoûtée et fait douté de mes capacités.

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:43:31

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J'ai fait mon stage de M2 dans une "petite boite innovante", là encore faut bien tomber

D'ailleurs, ça s'est démantelé peu après... Quand c'est trop petit, il faut vraiment une équipe soudée sinon ça peut pas marcher....

Finalement c'est mon stage de M1 où l'ambiance était vraiment la plus chouette

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:44:44

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Ça fait rêver ton ambiance de travail Uriette

Par Sa_Black_Rah : le 27/01/12 à 09:45:22

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Non non! Pas la seule!

Je suis un peu dans le même cas, et pour le moment, je fais de la fuite en avant.
Il faut dire que je me plais énormément là où je suis, donc je n'ai vraiment aucune envie de partir pour le moment. Donc, j'arrive là en troisième année de licence, et comme je ne trouverai pas de boulot dans ma branche dans mon coin, l'an prochain, on va faire une rallonge avec un master... Puis si toujours pas trouvé, ben, on ira peut-être jusqu'à la thèse quoi!

Le problème pour moi, c'est que je suis tiraillée entre deux réalités: une mal payée, où on t'exploite la plupart du temps, mais où au final, j'ai déjà fais mes preuves et c'est ce qui me plait; l'autre où, j'ai les études, etc... Mais je ne me projette pas là-dedans à l'heure actuelle (pas dit que d'ici quelques années, ça ne sera pas le cas). Et je n'ai pas envie de rester coincée quelque part, résultat, je suis indécise.

Après, c'est d'autant plus difficile que justement, on ne sait jamais trop à quoi s'attendre. On peut se découvrir un intérêt particulier pour tel ou tel branche, sans s'y attendre au final. Et ça dépend de l'ambiance, des possibiliés d'évolution... Bref! Tellement de critères! Par contre, je pense que dans le monde d'aujourd'hui, les chances de faire toute ta carrière dans le même boulot / la même entreprise sont bien minces!

Par lil22 : le 27/01/12 à 09:46:31

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Je pense aussi que la fin des études fait peur, surtout en ce moment où le marché de l'emploi n'est pas au plus haut.

Pour ma part, depuis la 1ère, je voulais faire éthologue (scientifique) et prof en fac. Ma licence se passe trèèès bien, je fais de l'éthologie et je kiffe vraiment. Arrivée en M1 grosse déception, l'éthologie telle qu'elle est pratiquée en recherche ne me convient pas, mauvaise ambiance de promo, que des redites de licence donc je me suis ennuyée toute l'année et je ne voulais plus faire de doctorat. Pour ne pas partir avec juste un M1 recherche qui ne m'aurait rien donné, j'ai fais un M2 aménagement du territoire spécialisé en gestion des milieux naturels.
Sauf que les responsables du M2 ont fait n'importe quoi et on ne pouvait absolument pas le valoriser. Je rêvais de bosser en Natura 2000... au bout de 6 mois de chomage je me suis retrouvée derrière un bureau à faire un boulot chiant mais en rapport avec mes études, dans une ambiance de merde.

CDD terminé, je me retrouve encore au chômage pour 8 mois et là une amie me dit, pourquoi avec ton M2, tu ne te tourne pas vers l'enseignement. Donc là après de nombreuses questions, je me retrouve à faire un travail à des lieues de ce que je voulais, hyper mal payé mais qu'est-ce que je kiffe!!!!

Donc comme quoi, le boulot de rêve peut se trouver là où on ne l'attend pas.

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:47:25

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 Par contre, je pense que dans le monde d'aujourd'hui, les chances de faire toute ta carrière dans le même boulot / la même entreprise sont bien minces! -----> Ah ben ça....

Enfin, ça dépend cela dit, parce que ici, y'a bcp de chances pour que, même si tu n'es pas techniquement dans la même entreprise, tu sois quand même en train de travailler pour elle donc bon

Par sheytana : le 27/01/12 à 09:48:31

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lil c'est génial


Par Maevan : le 27/01/12 à 09:49:01

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 ce que je voulais dire surtout, c'est que le job pas intéressant d'abord peut s'avérer hyper chouette, et inversement

Ce n'est qu'en pratiquant que tu verras si ça te convient ou pas.


Par Assimilee : le 27/01/12 à 09:50:11

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Comme dit Bryce, on retarde l'échéance  A mon avis tu ne perds rien à te jeter à l'eau. Au pire si ca ne te plait pas tu pourras reprendre des études après, plutôt que de le faire avant

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