Dificulté à se faire des amis
Sujet commencé par : Digora - Il y a 22 réponses à ce sujet, dernière réponse par lutine88Par Digora : le 01/07/16 à 13:28:17
| Dire merci | Bonjour Je viens ici pour partager mon expérience, écouter vos conseils, échanger avec des personnes ayant connues ma situation. A l'heure actuelle, je souffre de solitude, j'ai beaucoup de mal à me faire des amis et ceux, depuis mon plus jeune âge. J'ai toujours été reservée victime sur moi-même (j'ai été victime de maltraitance de la part de mes parents : père absent, mère qui devait tout gérer seul qui a fait des crises et violences). A l'école primaire, j'avais quelques copains, copines mais sans plus. Au collège pareil, quelques copains, copines et parfois je me retrouvais seule. J'avais une meilleure copine jusqu'à fin de ma troisième, puis elle a fait son chemin. je ne connais pas vraiment la raison de cet éloignement. Parfois, j'avais quelques copains, copines qui venaient me chercher à la maison. Ma mère ne voulait pas que je sorte, ou rarement donc quand mes potes sonnaient à la maison, elle disait que je n'étais pas là alors que je leur avait demandé de passer ou ils venaient de eux-même. Si je sortais un après-midi avec une copine, je me prenais des réflexions (tu n'aimes pas ta mère, tu préfère tes copines, tu n'es qu'une trainée...) Au lycée, retrait social, je parlais à quelques personnes de ma classe mais peu d'amis (trois, quatre qui n'était pas dans ma classe). Je mangeais donc souvent seule le midi, hors cantine, puisque je ne voulais pas y aller seule.Les pauses inter-cours,je les ai passées souvent seules aussi. Toujours brillante à l'école, pas de souci particulier. Tout le monde me voyait comme la fille timide, réservée, peut-être même coincée alors que j'adore m'amuser, faire la fête, rigoler... Personne ne pouvait voir, que je me faisais maltraité jusqu'à ce que je décide de quitter la maison à mes 19 ans. Je me faisait frapper sans raison mais il n'y avait jamais de marques, de blessures. Il y avait également la violence psychologique etc... qui aurait pu s'apercevoir de quelque chose ? Peut-être que pendant que les autres enfants s'amusaient, je me posai trop la question de savoir pourquoi ma maman me donnait des coups alors que je n'avais rien fait... ??(il n'y avait souvent pas de raison, je pouvais me lever le matin et elle se déchainait sur moi alors que je n'avais même pas prononcer un mot) Puis je suis arrivée en licence, je me suis juste fait une copine avec qui j'étais pendant deux ans et m'a laissé tomber quand elle a intégré un groupe de nenette avec qui elle s'entendait super bien. Je n'arrivais pas à nouer contact avec les autres personnes, je ne sais pas quoi dire, quoi raconter, je n'arrive pas à blaguer. Aujourd'hui j'ai 25 ans. Je suis dans la vie active, et je trouve que le collège et le lycée étaient les endroits proprices pour nouer des liens d'amitié et que cela a été un échec. Aujourd'hui je n'ai qu'une SEULE AMIE que je voit deux/trois fois dans le mois à cause de la distance. Quelques copines : jamais elles ne m'invitent, jamais elle ne prennent de mes nouvelles; Toujours moi qui essaie de les voir, d'organiser quelque chose... Par mon chéri, avec qui je suis depuis un an, je vois des personnes. Je leur parle mais je n'arrive pas à créer des liens d'amitié forts, de la complicité, de me lâcher, de rigoler (sauf une soirée éventuellement où j'ai bu quelques verres) J'ai l'impression que les gens ne m'apprécient pas, qu'ils croivent qu'on ne peut pas me faire confiance etc... Je souffre de ce sentiment de solitude et je le vis très mal, je suis très anxieuse par rapport à ça et ça m'arrive même de pleurer de temps à autre. Je ne sais pas quoi faire, j'aimerai bien avoir de vrai amis, ne pas me sentir seule et être aimée... |
Messages 1 à 22, Page : 1
Par 4patt : le 01/07/16 à 13:45:09
| Dire merci | franchement je pense que tu ne prend pas le problème dans le bon sens. ton problème c'est que tu souffres car tu n'acceptes pas ta solitude lié a ton problème de sociabilité. honnetement déjà apprend a accepter cela en allant voir un psychiatre car personne ne pourra t'aider la dessus sur le forum  pour le reste tu n'es pas seule a "être" seul, personnellement mes vrais bonne amies sont a 2 hr de route de chez moi et entre celles qui ont des enfants, qui sont en couple etc....ben si on se voit 5f/an c'est déjà bien, mais c'est des supers moments du coup car on profite a fond. chez moi j'ai des copines mais cela ne va pas plus loin car je n'ai pas spécialement l'envie de créer des liens. mais contrairement a toi je ne souffre pas de ce manque de sociabilisation car je n'en ai pas besoin spécialement. j'ai la sensation en te lisant que tu as envies profondément d’être aimé des autres, hors c'est impossible car les liens se créent pas affinités pas par besoin. |
Par Gepjoyhades : le 01/07/16 à 13:45:38
| Dire merci | Coucou Digora, tu as bien fait de te "vider", ça fait du bien parfois. Sache déjà que tu n'es pas seule dans ta situation. Je n'ai jamais été maltraitée (loin de là), mais j'ai également énormément de mal à me lier d'amitié avec les gens. Une méfiance assez profonde qui fait que (et là, c'est pour moi et pas pour toi, apparemment) je mets beaucoup de temps à m'attacher et faire confiance. Personnellement, je sais que ça vient principalement de moi. Petite et ado, c'était l'inverse. J'étais un peu l'équivalent du gamin de la cicatrice. Je voulais tellement que tout le monde m'aime et m'apprécie que j'étais collante, énervante et aussi (voire surtout) la victime de choix pour les "petites méchancetés de gosses"... A ton âge, j'avais deux amies et c'était bien suffisant. Mais oui, je peux comprendre qu'avec la distance, ce soit difficile à gérer. Aujourd'hui, j'en ai 5. Des personnes que je peux appeler jour et nuit, que je peux embêter avec mes histoires, avec qui je peux partager mes délires, etc. Ma chance à moi, c'est ma passion. C'est grâce à elle (et à ce forum d'ailleurs) que j'ai pu rencontrer Vinver, par exemple, qui est devenue une amie très chère. Et c'est grâce à mes chiens que j'ai rencontré les autres (à part une amie d'enfance mais qui habite looooooooin). Tu sais, c'est un peu comme en amour. C'est quand on ne cherche pas qu'on trouve. Mon seul "conseil" (si on peut appeler ça un conseil) sera donc de te trouver tes centes d'intérêts propres, ceux qui te feront oublier tes réserves, ta timidité probable, tes peurs... Ca te permettra de sortir de ton train-train quotidien et de rencontrer des personnes avec qui tu partageras des affinités. Et comme dirait une dame âgée rencontrée il y a peu " Sors de ta zone de confort, on ne vit qu'une fois !" Message édité le 01/07/16 à 13:48 |
Par Digora : le 01/07/16 à 13:55:32
| Dire merci | Oui j'ai ce manque de sociabilisation, car pour moi c'est important. J'ai déjà pensé à consulter un psy mais je n'ai toujours pas franchi le cap. Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs... peut-être que j'ai peur de raviver des sentiments trop douloureux alors je refoule. Gepjoyhades, je rencontre aussi la difficulté que tu cites, je n'arrives pas à faire non plus confiance au gens. Aujourd'hui, ça va, je me dis que j'ai une amie qui est quand même là quand ça va pas, on se voit beaucoup, elle connait pas mal de chose. Elle ne connait pas non plus mon passé car je n'arrive pas à en parler. Et même si je l'apprécie énormément, que je lui fais confiance pour beaucoup de chose, je n'arriverai jamais à lui faire confiance à 100% et mon homme c'est pareil. J'ai déjà aborder un peu le thème avec mon chéri, quelques étapes de mon passé... mais il ne comprend pas mon mal-être et mes attitudes liées à mon vécu... |
Par Gepjoyhades : le 01/07/16 à 13:57:45
| Dire merci | Faire le deuil de son passé est pourtant une étape nécessaire afin d'envisager pleinement le futur ! Es-tu encore en contact avec ta maman ? |
Par Digora : le 01/07/16 à 13:59:49
| Dire merci | Oui je suis toujours en contact avec elle, je lui écris des SMS de temps en temps et je vais lui rendre parfois visite. J'ai déjà essayé de parler des problèmes d'autrefois avec elle, elle ne veut rien entendre. Elle fais un déni complet. |
Par Gepjoyhades : le 01/07/16 à 14:12:39
| Dire merci | Le fait qu'elle refuse de t'entendre ne doit pas t'empêcher de te décharger de ce poids, au moins un maximum. Mettre par écrit tes souvenirs, tes ressentis pourraient être un bon début. Tu peux écrire comme si tu lui écrivais à elle. Cela te permettra d'exorciser quelques démons... Tu dis avoir peur qu'aller voir un psy fasse remonter des souvenirs difficiles, mais je n'ai pas l'impression que la vie que tu t'imposes (c'est ton choix, même si ton passé et tes blessures n'aident pas) actuellement soit meilleure. Alors, clairement, se souvenir d'événements traumatisants est loin d'être réjouissant, mais pouvoir remettre ces événements dans leur contexte peut permettre de les remettre à leur place, soit bien au chaud dans le passé afin qu'ils ne reviennent pas continuellement te mettre des bâtons dans les roues. De plus, un thérapeute est fiable et tu vas donc pouvoir te confier en toute confiance, sans crainte de jugements. Tu sais, refuser de l'aide, c'est un peu agir comme ta maman qui refuse de voir la vérité en face. C'est effectivement ton choix dans tous les cas, mais via ton message, j'ai l'impression que ta difficulté à te faire des amis n'est pas la seule chose qui te pose souci pour le moment. |
Par sheytana : le 01/07/16 à 14:14:18
| Dire merci | C'est effectivement ton choix dans tous les cas, mais via ton message, j'ai l'impression que ta difficulté à te faire des amis n'est pas la seule chose qui te pose souci pour le moment. ---> J'ai aussi l'impression que c'est juste une conséquence... |
Par SweetFee : le 01/07/16 à 14:21:55
| Dire merci | Ton histoire personnelle n'est pas facile  Et je comprend que du coup ce soit difficile pour toi de créer des relations.Après je pense que c'est un peu comme avec les gars, si tu te sens nulle pas interessante etc forcément ça ne donne pas "envie" d'aller vers toi. Il faut que tu prennes confiance en toi. Tu as des copines, une amie plus proche et un chéri, c'est bien que tu as des choses intéressantes à dire et que tu as une personnalité intéressante  Apres c'est difficile de se former un groupe d'amis solidaires qui organisent des choses etc. On ne tombe pas forcément directement sur les personnes avec qui ça "match". Je suis très sociable et pourtant les vrais amis je les compte sur les doigts d'une main. Si tu fais des activités ou du sport tu rencontreras des gens naturellement, il ne faut juste pas t'enfermer en te disant que tu n'es pas interessante |
Par sheytana : le 01/07/16 à 14:28:24
| Dire merci | Apres c'est difficile de se former un groupe d'amis solidaires qui organisent des choses etc. On ne tombe pas forcément directement sur les personnes avec qui ça "match". Je suis très sociable et pourtant les vrais amis je les compte sur les doigts d'une main. ---> +1 Moi je ne crois pas avoir le genre d'amie "absolue" comme tu as l'air de le rechercher... Pourtant je suis plutôt sociable... Mais j'imagine que ce qui te fais souffrir, c'est le sentiment d'être en échec quand tu es en société ? De ne pas réussir à te faire des potes ? Et d'être seule dans le quotidien ? L'impression de pas être aimée ? Message édité le 01/07/16 à 14:39 |
Par Ludivine73 : le 01/07/16 à 14:39:08
| Dire merci | Si ça peut te rassurer je suis super sociable mais le college est le pire souvenir de mon enfance et je ne revois, à 33 ans, que deux copines du lycée. Mes vrais amis je les ai rencontré à la fac ! Donc tu as encore plein de temps pour nouer des amitiés ! Et comme dit Sheytana des amitiés de toute la vie c'est comme les amours y en a peu ou pas mais au final c'est pas très important on rencontre sans cesse de nouvelles personnes. |
Par stephy92 : le 01/07/16 à 15:01:54
| Dire merci | Je ne suis pas sociable non plus, j'ai plutôt des connaissances que des amies véritables... pourtant j'ai eu une enfance heureuse mais mon souci se situe ailleurs (mode de raisonnement / fonctionnement différents des autres). Néanmoins je suis habituée (et c'est surement dans mon mode de fonctionnement) et n'en souffre pas contrairement à toi. Je pense que ton passé t'empêche peut être d'avancer et que d'aller voir un pro peut t'aider à vider ton sac et à aller de l'avant |
Par 4patt : le 01/07/16 à 17:00:21
| Dire merci | Oui j'ai ce manque de sociabilisation, car pour moi c'est important. J'ai déjà pensé à consulter un psy mais je n'ai toujours pas franchi le cap. Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs... peut-être que j'ai peur de raviver des sentiments trop douloureux alors je refoule. voir un pro (un bon psychiatre) reste indispensable pour pouvoir te reconstruire sur des bases saines. ton manque de confiance en les gens je le connais et le vie au quotidien......je suis atteinte d'un syndrome un peu spécial que je n'étalerais pas ici mais clairement je suis un peu le summum de l'anti sociabilité. je me suis battue toute ma vie pour en arriver au maigre niveau de sociabilité que je possède aujourd'hui et je continuerais encore chaque jours jusqu’à la fin tel est mon unique objectif, mais honnetement sans un bon psy pour m'accompagner sa serait une chose bien plus difficile. et laisse les gens parler, laisse tes éventuelles hontes a la poubelle car aller voir un psy ne veux pas dire qu'on est folles,  on est différente c'est tout et parler a quelqu'un de neutre qui ne te jugera pas ça fait du bienun conseil va voir un pro et j'ai envie de te dire "sens le" avec tes tripes, car et si tu n'as pas confiance va voir ailleurs car tu n'avancera a rien avec lui. Parler de ces problèmes aux proches oui pourquoi pas mais comme tu l'as si bien remarqué ils ne comprennent pas forcément, moi j'ai quelques très bonnes amies mais seule l'une d'entre elle me connait vraiment |
Par sabah12 : le 01/07/16 à 17:20:00
| Dire merci | Avant d'aller voir un psychiatre (qui relève plus du médical) ou un psychologue tu peux trouver d'autres personnes, il existe des personnes très bien dans les CMP et c'est gratuit |
Par 4patt : le 01/07/16 à 20:19:52
| Dire merci | Avant d'aller voir un psychiatre (qui relève plus du médical) ou un psychologue tu peux trouver d'autres personnes, il existe des personnes très bien dans les CMP et c'est gratuit alors je ne suis pas du tout d'accord avec ça, non un psychiatre n'est pas qu'un médecin qui s'occupe des personnes ayant des maladies psychologique, c'est très réducteur après oui il existe d'autre type de personne médicale en effet a qui l'on peut parler |
Par pascale : le 01/07/16 à 21:48:04
| Dire merci | En tt cas, à ton âge, il n'est pas trop tard pour te constituer un cercle d'amis/de copains. Je n'ai gardé contact avec personne connue au collège ou au lycée, où j'avais pourtant de vrais amis: en grandissant, je m'en suis éloigné car plus trop d'atomes crochus. En revanche, ce auquel il faut faire gaffe, c'est que plus on vieillit, plus c'est difficile de se lier à des gens, donc ne traine pas si tu penses pouvoir changer cela avec un pro |
Par sheytana : le 01/07/16 à 23:05:14
| Dire merci | Je n'ai gardé contact avec personne connue au collège ou au lycée, où j'avais pourtant de vrais amis---> Idem... Ni à la fac, ni en école, ni en thèse... Ni vraiment du boulot d'ailleurs... |
Par Colomba : le 02/07/16 à 09:04:30
  DéconnectéDire merci | Bonjour Digora, Ce que tu vis est normal. Au fond de toi reste la peur, très certainement. Tu as grandi avec un sentiment de rejet, tu as peur de t'ouvrir, de communiquer, de faire confiance. Tu as perdu toute confiance en toi dans tes relations avec les autres, tu as peur de mal faire, de ne pas etre aimée (pas acceptée) et certainement que très souvent, tu regardes les gens vivre autour de toi en te demandant comment ils font pour etre si légers, comment partager ces codes sociaux qui ne sont pas les tiens? En général, on ne peut pas avoir l'insouscience des autres jeunes de son age quand on a été maltraité et cela créé un décalage, on se sent différent.... Alors oui, il faut parler, parler parler, de ce que tu ressens. Et puis peut etre aussi pourrais tu essayer de calmer les émotions qui je suppose doivent te submerger parfois meme si personne ne le voit comme la peur, la panique, la colère, la honte, le désespoir ou la déprime en t'aidant avec une pratique de relaxation comme le yoga. Car de mon point de vue, l'un avec l'autre : notre subconscient nous submerge d'émotions qui entravent notre interprétation de la réalité. Et ces memes émotions jouent sur aussi sur ce que l'on dégage et donc sur nos relations. Je pense vraiment que les techniques de relaxation pourraient t'aider. Message édité le 02/07/16 à 09:05 |
Par sabah12 : le 02/07/16 à 14:47:51
| Dire merci | Euh 4patt où ai-je écris qu'ils s'occupaient que de personnes à maladies psycho?  J'ai dit que ça relevait plus du médical car habilités à prescrire des traitements.Seulement qd tu as juste besoin de voir qqn pour vider ton sac c'est pas la personne à aller voir dans une première démarche. |
Par 4patt : le 02/07/16 à 18:16:21
| Dire merci | Sabah je ne suis toujours pas d'accord, certes le psychiatre fait partie des rares habilité a donner des médicaments mais la encore c'est loin d’être sa fonction première c'est avant tout un thérapeute |
Par Ramdam : le 02/07/16 à 22:30:21
| Dire merci | un psychiatre est avant tout un médecin; il est psychothérapeute seulement s'il le choisit, il ne l'est pas de facto, il a seulement la possibilité (et le droit) d'en revendiquer le titre le psychologue l'est presque toujours également, mais pas forcément la différence tient surtout à la formation de l'un et de l'autre, et à l'approche théorique de chacun l'épistémologie n'est pas vraiment le souci soulevé par Digora, je crois Elle a le choix de rencontrer un psy- chiatre ou chologue ou chothérapeute ou même encore un thérapeute tout court, ça n'a pas vraiment d'importance en soi; ce qui compte est avant tout qu'elle trouve quelqu'un à qui elle a envie de se confier et avec qui elle va construire des solutions pour résoudre les difficultés qui la préoccupent Message édité le 02/07/16 à 22:32 |
Par Ramdam : le 02/07/16 à 22:35:30
| Dire merci | après oui il existe d'autre type de personne médicale en effet a qui l'on peut parler ou non médicale un psychologue n'est pas un médecin, par exemple |
Par lutine88 : le 04/07/16 à 09:54:46
| Dire merci | J'ai pas un grand cercle d'amis non plus depuis environ 5 ans. A 18/19 ans à la fac j'avais une bonne bande de copain de lycée et avec mes colocataires on était toujours ensembles. Puis j'ai perdu mon père, j'ai eu un grand besoin de retourner auprès de ma mère pour me reconstruire et les copains n'ont pas trop compris. J'ai été mise à l'écart, on ne m'invitait plus, y a juste mes colocs qui m'appelaient . Vu que je suis assez entière au quotidien, j'ai tout plaqué, j'ai fait mes études dans ma ville de départ et j'ai fait une croix sur eux car punaise j'aurais eu besoin d'eux a ce moment là et ils ont pas été à la hauteur, je leur demandais juste de ne rien changer mais ma compagnie devait leur faire peur. Je me suis refais des copines à l'école d'infirmière, je n'ai gardé de lien avec qu'une seule personne ! Car plus d'atomes crochus hors école avec les autres. Donc j'ai une amie d'enfance (ça fait 20 ans), une amie de lycée (ça fait 10 ans) que je n'ai pas vu depuis 2 ans études oblige mais on est tjs contente de s avoir par messages même si nos vies deviennent très différentes ! J'ai des copines mais avec la vie active on ne se voit pas bcp. J'habite dans une petite ville, je travaille avec des horaires un peu chiants donc c'est pas évident de rencontrer de nouvelles têtes! |
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