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Quelle est votre premier souvenir de cheval?

Sujet commencé par : MarieGeorgia - Il y a 38 réponses à ce sujet, dernière réponse par BountyB
Par MarieGeorgia : le 15/11/16 à 23:45:29

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Bonsoir,
Je m'appelle Marie et je poste ce message car j'aimerais avoir votre avis sur la relation que nous entretenons avec nos chevaux.
La question que je me pose c'est d'où nous vient cette amour pour cet animal? J'imagine que vous avez tous des raisons très personnelles et cela m'intéresserai beaucoup de vous lire à ce sujet.
Quelle est votre premier souvenir de cheval? Qu'est ce qu'évoque le cheval pour vous? Pourquoi les aimez-vous? Que vous font-ils ressentir?
C'est questions peuvent paraître très personnelles mais je me demande de quelle manière le cheval peut attirer autant de passionnés et d'amoureux.

Je vous remercie à l'avance chaleureusement pour vos réponses.

Très bonne soirée,

Marie

Messages 1 à 38, Page : 1

Par nanette : le 15/11/16 à 23:53:53

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[merci de ne pas créer le même post dans les diverses rubriques du forum, un post suffit]

[les autres ont été enlevé]

Par EmeraudeElite : le 16/11/16 à 08:59:42

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le cheval remonte à aussi loin que mes souvenirs
j'ai fait parti de ces chanceux qui ont toujours eu des chevaux chez eux.
j'ai toujours été fascinées par ces animaux qui malgré leur force et leur poids sont capables d'être aussi doux que des agneaux. Je suis fascinée aussi par le fait qu'ils sont près à accepter presque n'importe quoi de nous comme de nous porter de nous tirer de se laisser attrapper et enfermés, de se laisser transporter.... alors qu'on serait à leur place, il y a belle lurette qu'on aurait tout envoyer paitre.
en plus d'être grand , fort et serviables, ils sont magnifiques, quand on les voie se déplacer on dirait souvent qu'ils volent.
je crois bien que c'est pour ça que pégase et les licornes sont issus des chevaux

Par naala147 : le 16/11/16 à 10:29:46

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il y a tjrs eu des chevaux dans ma famille, de pres ou de loin, on a tous monté dans l'enfance. certains continuent, d'autres non.
des ascendants qui etaient marechal ou eleveurs.
donc c'etait plutot dans la logique des choses.... on a ca dans le sang je dirai

Par Erzebeth : le 16/11/16 à 12:29:45

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Ben moi clairement, j'en ai aucune idée !
Personne n'est cavalier dans ma famille, bien au contraire. Donc je n'ai pas été habituée à côtoyer les chevaux enfant, ni rien de ce type.
Il parait que petite, je voulais toujours aller caresser les chevaux, que j'étais attirée par eux. Je ne m'en souviens pas spécialement et je me dis que bon... c'est le cas de beaucoup d'enfants quand même.

Mais j'ai un souvenir très distinct par contre, mon plus vieux souvenir lié à un cheval je pense. C'était lors d'une brocante dans un grand pré (mes parents avaient acheté des appliques style ancien ). Il y avait des gens en costume traditionnel et un cheval. Sans doute une animation quelconque ?
Le cheval me semblait gigantesque, un cheval de trait peut-être? Dans mon esprit, j'avais gardé la taille de 2 m de haut. Mais bon, quand on est petit, tout nous semble grand, forcément.
Il y avait une petite fille qui avait été mise sur le dos du cheval, et elle me semblait minuscule dessus.
En tous cas, ça m'avait fascinée. Je ne sais pas quel âge j'avais ni où c'était ni rien, mais je me souviens très bien de la scène par contre.

Par kefiretlome : le 16/11/16 à 12:34:50

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Moi, c'est à cause de Poly
Je ne sais pas non plus ce qui a déclenché mon amour des chevaux, il n'y avait pas de cavaliers dans ma famille, mais petite, je dévorais les bouquins, à 4 ans, je lisais couramment, et j'étais insatiable de lecture. Parmi mes premiers livres après les OuiOui, il y a eu les aventures de Poly, puis c'est également passé à la télévision, et à partir de là, j'ai toujours voulu avoir mon Poly...

A presque 40 ans, j'en ai enfin eu 2, sauf que ce ne sont pas des Poly, ils sont noirs, et beaucoup plus gros

Par kefiretlome : le 16/11/16 à 12:35:58

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Par Loarghann : le 16/11/16 à 13:51:27

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Personne n'a jamais été cavalier dans ma famille, ni mes grands parents, ni mes arrières grands parents, ni mes oncles et tantes ni mes arrières oncles et tantes.

Par contre mes deux sœurs et moi adorons les chevaux...

Et ca a commencé toute petite. Près de chez ma grand mère, qui habitait à la campagne, il y avait un pré avec un cheval noir que nous appelions Frisko, et qui avait un cavalier d'au moins 70 ans qui se prénomait Sire. Nous allions donner des carottes à Frisko avec l'accord de son cavalier qui nous emmenait parfois faire un tour devant lui.
Il y a une vieille photo de moi dans mon vieux porte feuille, je dois avoir deux ans à tout casser, et ce vieux monsieur avec sa trogne toute frippée, qui me tient moi devant sa selle, avec ma bouille toute ronde et ma fossette au menton, et ces horribles cagoules que l'on nous faisait porter l'hiver...
Puis il y a eu le meilleur ami de notre papa, qui avait deux chevaux chez lui, qu'il avait débourré lui même et dont la première, mouche, une vieille jument noire elle aussi, était une crème sur le dos de laquelle on nous mettait régulièrement quand nous allions chez eux pour faire quelques tours de prairie au pas (ma grande sœur, plus agée, pouvait trotter, elle, comme on l'enviait !).
Et puis on a voulu toutes les trois que nos parents nous inscrivent à l'équitation, mais trop cher et trop dangereux, nos parents ont refusé.

Alors à 15 ans, l'âge auquel on pouvait légalement commencer les boulots d'étudiants, j'ai trouvé un manège qui a bien voulu de moi comme palefrenière, et je dépensais tout mon argent de poche gagné en tant que monitrice de plaine de jeux en leçons d'équitation. Puis je suis passée monitrice encadrant les mômes sur tout ce qui se faisait à pieds, puis monitrice pour les cours débutants enfants, puis débutants adultes, et ca s'est arrété là puisque j'ai commencé à travailler réellement, et à 28 ans, je me suis offert Hidalgo.

Voili voilou... Aussi loin que remontent mes souvenirs, j'ai toujours aimé les chevaux, cherché à les carresser, rentrer en contact avec eux en prenant des risques parfois réels (je rentrais dans les prairies, je suis même montée à cru sur le dos d'une jument qu'une amie de notre age prétendait posséder, alors que l'amie en question n'avait ni selle ni bride...)...

Coralie

Par sheytana : le 16/11/16 à 14:07:00

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Personne n'est cavalier dans ma famille non plus, donc je sais absolument pas d'où ça sort.

Par contre, l'amour des chevaux est là depuis aussi longtemps que je me souvienne. Même si j'ai du attendre d'avoir 11 ans pour pouvoir faire du cheval

Par dilou : le 16/11/16 à 14:10:46

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Quand j'étais très petite (3-4 ans) mon père avait encore sa jument de cavalerie et le poulain de celle-ci. Mais je ne peux pas dire que je m'en souvienne.
Toutefois, il y a une "fibre équestre" dans la famille, deux de mes frères et une de mes sœurs ont monté à cheval.
Et j'ai dévoré "Mon amie Flicka" en rêvant d'être Ken !
Mais moi, j'ai dû attendre mes 20 ans pour monter pour la première fois.


Message édité le 16/11/16 à 14:11

Par Nirvelli : le 16/11/16 à 14:39:17

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Pas de cavalier dans ma famille non plus (enfin si, mon grand-père mort avant ma naissance... des suites d'une chute de cheval, autant dire que l'équitation fut un sport banni). Mais quand j'étais bébé (jusqu'à l'âge de 2 ans), mes parents louaient une petite maison dans une propriété ou il y avait un élevage de chevaux de course. Je n'ai pas vraiment de souvenir de cette époque, mais des flashs avec mon frère qui avait eu le droit de monter sur un des chevaux... moi, j'étais plus attirée par les 2 bergers allemands de la maison et je montais sur leur dos aussi.
J'a vraiment commencé à monter quand je suis arrivée en Bretagne, il y a donc 18 ans, j'avais déjà 25 ans, mais j'ai toujours adoré les chevaux et eu besoin d'être en contact avec eux.

Par cyberds : le 16/11/16 à 15:49:24

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Depuis toute petite, mon père me parlait de sa petite jument d'attelage avec des étoiles dans les yeux, il la menait alors qu'il n'était qu'un enfant et elle était douce et jolie d'après lui Elle s'appelait Fanny je crois! Je me souviens qu'il faisait la guerre aux gens qui mangeaient du cheval aussi...
Ma première expérience, c'est dans une ferme, vers 6 ou 7 ans, j'ai été hissée sur un énormissime cheval de trait, on m'a dit "accroche toi aux crins", et ils ont laissé le cheval sortir et se diriger vers l'abreuvoir au milieu de la cour, j'avais trouvé ça extraordinaire !

Par Chrysalis : le 16/11/16 à 15:59:13

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Aucun cavalier dans ma famille mais je le rappelle qu'à 8 ans , j'accourrais quand j'entendais un cheval à la télé
Mes barbies montaient à califourchon sur les peluches aussi ...
À 10 ans, premier souvenir sur un cheval. Yu' stage avec l'école , avec des cours de cheval pour ceux qui souhaitaient . ..j'ai monté Princesse , une grosse jument grise et placide...j'ai même trotté en fin de stage! ( Et ai perdu une étrivière au passage...) je pourrais redessiner les écuries les yeux fermés tellement ça m'a marqué.

Puis j'ai demandé à monter à cheval...mes parents n'ont pas voulu...
1 an plus tard , après avoir fait un caprice par semaine à base de " je veux monter je veux monter ouin ouin vous m'aimez paaas" mes parents ont cédé pour un stage estival d'une semaine...renouvelé pdt 6 ou 7 ans.
La première jument montée la bas s'appelait Laou .

Sitôt sortie du giron familial, à 19 ans j'ai monté de façon hebdomadaire , eux qui pensaient que ça allait me passer ...

Je sais pas que représente le Cheval pour moi...c'est juste "normal" d'être sur un cheval . Je me sens entière . Ça m'a permis de m'exprimer puis de m'assurer . Le contact des chevaux a été ,est et sera un besoin viscéral

Par sheytana : le 16/11/16 à 16:05:17

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Le contact des chevaux a été ,est et sera un besoin viscéral

C'est exactement ça... Je ne saurais absolument pas l'expliquer pourtant. Pour moi la vie ne vaut juste pas la peine d'être vécue sans chevaux...

Par Mystic2 : le 16/11/16 à 16:20:27

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6 ans, sur le dos de Diana, jument demi trait de mon grand oncle... Tous mes gds oncles avaient des chevaux, mais les autres avaient des PS, lui avait deux chevaux demi trait bais, Diana et son fils Quidam...
Chouette souvenir!


Par Quiche : le 16/11/16 à 16:55:33

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C'est trop mignon, je me reconnais dans plein de vos récits.... Poly le petit polisson, mon ami Flicka... mes parents qui se mordent les doigts de m'avoir offert une leçon d'essai pour ma première communion... vu que j'étais un peu neuneu ils se sont dit que ça me ferait passer l'envie de les harceler Ben c'était raté

J'ai pas de souvenir précis, mais ça a toujours été là, et comme beaucoup d'entre vous j'ai aucune idée d'où ça sort !

Par Erzebeth : le 16/11/16 à 17:10:38

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mes parents qui se mordent les doigts de m'avoir offert une leçon d'essai pour ma première communion... vu que j'étais un peu neuneu ils se sont dit que ça me ferait passer l'envie de les harceler Ben c'était raté

Idem !

Par sabah12 : le 16/11/16 à 17:13:22

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Je ne me souviens pas exactement du 1er souvenir, mais je me souviens de ma 1ère gamelle et j'étais petite au trot sur une jument dans un rond de longe, j'ai glissé, j'ai bouffé le sable et je me souviens même qu'on m'a rincé la bouche avec le jet d'eau ça m'a pas dégoutée
Mon père montait quand il était plus jeune, du coup depuis toute petite il m'a amenée voir des poneys/chevaux, quand on partait en vacances y'avait toujours un moment où je faisais une balade à dos de poney. J'ai été inscrite dans un centre equestre à 4 ans. Je me souviens que très vite je cherchais tous les moyens possibles pour m'acheter un poney et je rêvais devant les magazines décathlon qui présentaient des poneys à 6 francs...jusqu'à ce que ma mère casse le mythe en me disant que non c'était pas le poney qui coûtait 6 francs mais le licol qu'il portait
J'ai 3 chevaux qui m'ont marqué, Canaille, petite ponnette perlino avec qui j'ai fait mes 1er concours, une ferrari ! Malheureusement j'ai grandi, je n'ai pas pu la monter éternellement.
Gloire, une anglo avec qui j'ai beaucoup progressé et Filou un grand noir que je travaillais car sa proprio en avait peur.
Mes parents m'ont offert ma jument pour mes 16 ans, le plus beau jour de ma vie je crois. Je retrouve en elle tout ce que j'aimais chez Canaille, Gloire et Filou. Même si aujourd'hui, 9 ans après, elle me cause beaucoup d'angoisses au vue de cette année catastrophique concernant sa santé...je ne me vois pas sans elle, elle m'a tout appris, elle m'a forgée un caractère et ma donnée confiance en moi.
On a eu 3 autres chevaux qui ont partagé la vie de ma jument, mais dont on s'est séparés parce que la vie à fait que.
Maintenant il me reste ma grosse bourrique et j'espère qu'elle partagera ma vie encore un moment !

Par PIROU : le 16/11/16 à 17:47:24

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mes touts premiers souvenirs, c'est un cheval de trait et deux mulets avec qui mon oncle travaillé la terre et sur lesquels on ma souvent perché.
il y a aussi les souvenirs ou mon père, qui n'était pas cavaliers, nous amenait voir des concours hippiques , et on était accompagné d'un vieux voisin du village qui avait fait la guerre de 14 dans la cavalerie, ce voisin était fou de chevaux et il nous expliqué beaucoup de chose sur eux.
toutes ces choses vues et entendues m'ont donné envie d'avoir des chevaux.

Par paddy33 : le 16/11/16 à 18:15:03

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mon premier souvenir c'est de m'être fait croquer la joue par un poney, et j'ai gardé la marque longtemps, je revois ma famille qui regardait les dégâts .Sinon, les chevaux me faisaient rêver car mon parrain que je ne voyais que rarement en avait un ( que je n'ai jamais vu mais il me l'a dessiné ) et mon autre oncle était garde forestier et faisait ses tournées à cheval, il m'a fait monter derrière lui une fois, je devais avoir 5-6 ans.

Par lapatateuh : le 16/11/16 à 18:49:04

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Mes parents comme toute ma famille n'était pas forcément super partant pour des animaux.
Un jour mon grand père m'a emmène voir des poneys d'un club juste comme ça. . Je devais avoir 2 ans d'après leur dire.

Et après c'était devenu le rituel de m'y emmener une fois par semaine pour les voir et faire un tour au pas....
J'ai de vagues souvenirs qui reviennent avec les photos de l'époque du baby poney.
Ce qui m'a fait drôle, j'ai revu un "poney de grand" il y a quelques mois. Autant dire que c'était un poney a. Mais cela m'a fait sourire car pour moi c'était mon rêve d'un jour pouvoir le monter.
Il a maintenant 30ans passés et est la mascotte des premières écuries où j'ai monté.


Quelques années plus tard... ma famille à poils pèse plusieurs tonnes au total....

Mon père s'en mord les doigts... ma mère a récupéré les retraitès et est la plus heureuse.


Par swann : le 16/11/16 à 20:22:07

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On est dans les années 60,si si...


Est-ce un film ( j ai appris sur ce forum même qu il était japonais: Takirou...), Les westerns...? Ou juste une rencontre, en Afrique où je suis née?

En tout cas à 6 ou 7 ans je vis en hlm, mes parents endeuillés refusent de me voir sur un cheval ( et pourtant mon père médecin militaire, des cours gratuits possibles, mais bon, ça m aurait peut-être dégoutée )

Et je ne rêve que de ça, je mets des étriers en ficelle sur mon coffre à jouets

Je fais des rêves, l un qui me reste: j ai la réelle sensation de monter, mais voilà que mon cheval n a plus d arrière train, je ne monte qu une moitié de cheval

Ma 1 ere rédaction me permet de partager : " votre plus grand rêve"

Mamère pense me consoler en m offrant un tour de poney à la foire... De pauvres poneys enchaînés qui tournent infiniment
Je suis aux anges

C est sans doute ce rêve définitivement ancré en moi qui a alimenté une passion qui ne s est jamais démentie et pour être assouvie aujourd'hui est toujours aussi vivace



Message édité le 16/11/16 à 20:26

Par swann : le 16/11/16 à 20:26:41

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Par Oc : le 16/11/16 à 21:50:56

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comme Erzie aucune idée


aucun souvenir, et surtout à part une photo dont je ne me souviens pas, je sais pas pourquoi les chevaux

la photo en question, c'est une visite aux HN de Pompadour en 1987 (ma soeur était tout bébé), où il y avait encore des tas de chevaux dans les boxes, avec des chevaux au boulot dans les carrières, je suis avec ma mère devant un box et je cherche désespérément à toucher le nez d'un cheval sans succès

on est 2 à faire des chevaux dans la famille, mon oncle paternel que je connais que depuis 10 ans, il éleve du cheval de trait...

après cela ne vient ni de ma mère ni de mon père, donc mystère...

et comme Sheyt, j'ai du attendre mes 10 ans pour prendre ma 1ere année de cours, puis abandonner (à force de prendre des gueulantes à chaque semaine) et reprendre à 12 ans chez un ancien copain de classe de mon père qui était ATE et qui m'a tout appris sur l'extérieur et la gestion du cheval

en tout cas, maintenant le cheval c'est à la mort..... je ne m'en passerais jamais, ne pas voir les miens 24h c'est juste impensable


Message édité le 16/11/16 à 21:54

Par Keanjha : le 17/11/16 à 00:10:16

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Mon père a toujours aimé les chevaux, gamin il montait le cheval de labour du voisin. Mes parents avaient un ami maquignon (en fait l'époux de la meilleure amie de ma mère), mon père lui a acheté un trotteur un jour, qui devait aller à la boucherie. On passait toutes nos vacances chez eux, leur fille avait une ponette, c'est la première fois que je montais. Je ne devais même pas avoir 6 mois
A 5 ans, mes parents ont voulu que je fasse une activité sportive, je ne voulais rien faire. Ma cousine montait à cheval déjà, ils m'ont proposé et voilà, 26 ans après, je fréquente toujours le même club.

Par Gishouw : le 17/11/16 à 09:52:42

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Personne, absolument personne dans ma famille n'a de lien avec les chevaux et ma famille la plus proche n'aime pas vraiment les chevaux ou en a peur.
Mais le meilleur ami de mon papa qui élève pour le plaisir quelques haflingers (et il avait une shetland du nom de Caroline), depuis tout bébé, à chaque fois que j'y allais m'a mise en contact avec ses juments et me grimpait dessus.
Quand j'ai eu 3/4 ans, j'ai commencé à trimballer cette bonne vieille Caroline un peu partout avec moi lorsque j'allais chez son proprio, environ une journée tous les 2 mois. Et bien sûr, je la montais, il me tenait en longe et on allait se balader en forêt. Il me faisait également monter sur ses deux juments haflingers qui me paraissaient immenses.
Mon plus vieux souvenir, c'est la naissance d'une pouliche quand j'avais 3 ans... Elle jouait avec le berger allemand et elle n'était pas du tout sauvage, une petite merveille, j'en étais restée scotchée pendant des heures et je n'ai parlé que de ça des jours durant

A partir de là, j'ai commencé à tanner mes parents, et c'est 6 ans que j'ai commencé les cours d'équitation hebdomadaire.
D'abord dans un petit club de campagne mais qui ne convenait pas vraiment.... Et ensuite dans un des plus gros clubs de la région, une usine, à 8 ans j'ai dit "maman, je veux partir de là, les poneys ne sont pas heureux et moi je veux faire de la balade, comme chez Patrick".
Et c'est ensuite que j'ai découvert l'endroit pendant lequel j'ai monté pendant 11 années et que je suis devenue une cavalière orientée vers l'équitation d'extérieur.
A 19 ans, marre de monter en étant en groupe, je me prends une DP sur 2 juments, une qui sait tout faire et avec qui j'ai beaucoup appris en équitation classique et une autre complètement zinzin avec qui j'ai beaucoup appris en terme de relationnel.
A 22 ans, je m'offrais mon rêve depuis gamine, ma pouliche... qui m'a malheureusement quittée 8 mois plus tard. Mon monde s'est effondré ce jour, encore aujourd'hui je ramasse les miettes de mon petit coeur mais je ne regrette rien, elle était tellement géniale ma poulichette. J'aurais simplement aimé pouvoir faire un long bout de chemin avec elle...
J'ai plus d'un an à retourner là où elle est décédée, elle était en pension là où j'ai monté pendant 11 ans, les gérantes ce sont d'ailleurs bien inquiétées. J'étais incapable de leur donner des nouvelles tant le souvenir de cette nuit horrible où sa mort est survenue me hantait.
Aujourd'hui, mes copines me prêtent des chevaux qui ont besoin de travailler ou bien juste comme ça pour se faire une balade entre potes.
Je ne sais pas si je repasserais un jour le pas de redevenir propriétaire, si cela se réalise ce sera qu'un coup de coeur aura lieu, comme ma poulichette qui n'était pas du tout prévue au programme à la base

Monter à cheval pour moi n'a jamais été un besoin, je peux passer une longue période sans monter, ça ne me manquera pas. J'aime les chevaux avant d'aimer monter à cheval. C'est leur contact si particulier qui me rend bien. Je me sens bien à côté d'un cheval, apaisée, ça me vide la tête comme rien d'autre n'est capable de le faire. Il me faut ma dose, même juste aller faire un câlin vite fait dans le pré, régulièrement. Et même, parfois, simplement regarder 5min un cheval que je connais pas évoluer dans son pré me remplit de cet apaisement étrange que je ressens auprès d'eux.
Je les aime depuis toute petite et je crois que je suis mordue à vie, et tant mieux !

Par Erzebeth : le 17/11/16 à 10:05:45

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Cela dit, autant j'ai pas d'idées précise sur ce qui fait que j'ai été attirée par les chevaux à la base, autant il y a quand même eu un déclencheur qui a fait que j'ai suffisamment gonflé mes parents pour qu'ils m'inscrivent dans une colo "cheval" (en espérant me dégoûter donc ) à l'âge de 9 ans.
C'est le film "heureux qui comme Ulysse" avec Fernandel.
Après l'avoir vu, c'était fini, il fallait absolument que je fasse du cheval.

Par lilibal : le 17/11/16 à 11:20:51

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aussi loin que je me rapelle, je faisait du cheval. Mes parents en avaient un peur bleue, mais a chaque fête du village, deux filles faisaient faires des balades sur "surprise" et "cadeau" , et a quelques ois on était déjà dessus. Ma soeur en faisait en club, du coup, et ma mère pour notre anniversaire louait deux poneys pour la journée ( c'était génial ! ) ! et quand j'ai eu 3 ans, j'ai intégré le cours des 6 ans ( j'étais très grande) . De là, j'ai rencontré "gavroche" qui é été mon poney de coeur, et j'ai plus jamais arreté. Aujourd'hui, je suis cassée de partout, et pourtant, même si on me dit souvent "du coup tu vas arreter le cheval là ? " c'est quelque chose qui ne m'est jamais venu à l'lesprit.
je suis quelqu'un de très calme, de très tranquille, mais je sai spertinnemment que c'est le contact des chevaux qui m'apaise .

Par sandrine5483 : le 17/11/16 à 12:53:45

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je me retrouve aussi

pour personne n'a jamais eu de chevaux chez moi ,meme personne ne les aimaient

mais au plus jeune que je peux me souvenir je les ai toujours adoré
genre a 3 ou 4 ans je voulais que des chevaux livre ,le cheval de barbie mais pas la barbie

j'ai pu monter que très rarement parent s'en un sous et qui s'en foute mais la passion est rester

mes chevaux en se jour sont ma bouffé d'owygene si il etait pas la je pense que je serait deja passe par dessus un pont

et maintenant j'ai mes filles qui partage ma passion et sa s'est mon bonheur

Par sheytana : le 17/11/16 à 14:20:29

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erzebeth Je connais pas ce film

Mais effectivement il y a aussi eu un déclencheur pour moi aussi... J'ai rencontré une fille qui faisait du cheval
Du coup j'ai absolument voulu y aller à son club, et mes parents ont ENFIN dit oui pour que j'essaie. Et c'est fou je m'en souviens comme si c'était hier, de mon premier cours. Je montais une jument aubère qui s'appelait Passiflore. On a fait un cours aux 3 allures, c'était trop bien
Et puis ensuite mon inscription au club tous les vendredi soir. Et de l'achat de ma bombe et de mes premières bottes en plastiques. J'étais trop heureuse ! Et je comptais à chaque fois les jours jusqu'au vendredi suivant

Et au final, ma copine ne monte plus à cheval depuis des années elle. C'était sa passion aussi pourtant...


Message édité le 17/11/16 à 14:21

Par Loarghann : le 17/11/16 à 14:52:00

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le coup des étriers sur le coffre à jouets, je nous reconnais mes sœurs et moi. Des souvenirs mais aussi des photos : on attachait une longue chaine en travers du siège de la balançoire de manière à faire une boucle devant et une derrière le siège, et on attachait une corde à la barre horizontale de la balançoire en la faisant passer entre les cordes de la balancoire pour faire des renes. On n'avait qu'une balancoire alors c'était le seul cheval, le plus souvent monté par ma grande sœur, mais le trapèze était une mule montée par moi et la baignoire en plastique qui nous baignait bébés se tranformait en attelage. Ma grande sœur incarnait robin des bois sur son cheval, moi petit jean sur sa mule et ma petite sœur lady mariane dans son attelage...
Mes parents ont encore quelque part une photo de nous trois en pleine action, avec les arcs à flèches que notre papa nous avait fabriqués et les flèches en bambous tuteurs...

Le plus amusant, c'est que mes filles, sans qu'on aie quoi que ce soit à leur dire, font la même chose, mais elles ont un meilleur équipement : elles accrochent le licol à la balancoire et leurs longes servent de renes tandis que leurs tapis taille shetland sont fixés par des cordes/étrivières sur les deux balançoires de la maison... Je ne pense pas qu'elle jouent à robin des bois, et j'ignore quel est leur jeu quand elles équipent leurs balançoires, mais c'est là que je me dit que l'arret de leurs leçons d'équitation faute de temps (elles devaient apprendre à nager avant...) entre autre ne durera pas toute leur enfance...

Je trouve ca génial de les voir reproduire nos jeux, d'elles mêmes en plus...

Coralie

Par Erzebeth : le 17/11/16 à 15:48:14

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Roooh tu ne connais pas ce film ?

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C'est l'histoire d'un vieux valet de ferme qui doit amener le vieux cheval de son patron aux arènes, mais qui, finalement, ne peut se résoudre à abandonner son vieux compagnon à son sort. Ca raconte tout son périple, à pied, avec Ulysse, le cheval, jusqu'en Camargue.

Tu peux être sûre que je chiale à chaque fois que je le revois.

Par sheytana : le 17/11/16 à 15:58:24

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Mais il est bien ou c'est juste pour la nostalgie ?

Par kefiretlome : le 17/11/16 à 17:10:03

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C'est un joli film, oui

Par monreve : le 17/11/16 à 20:12:47

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Aucune idée d'où ça vient, personne n'a/n'est passionné de chevaux dans la famille.
Par contre, comme dit précédemment, ça a toujours été là. Déjà toute petite...

Bon par contre je n'ai jamais eu le droit aux cours payés par les parents (trop cher). J'ai réussi à m'en offrir quelques-uns en rendant de menus services étant gamine mais je n'en garde pas de bons souvenirs !
Forcément, comme j'y allais très peu, je n'avais pas l'équipement adéquat. Un jour on m'a refilé une vieille paire de "bottes de ch'val" (des bottes noires en plastique, quoi ), trop grandes pour moi... J'étais tellement FIERE que je voulais ABSOLUMENT les mettre les rares fois où j'allais au centre équestre ! Elles me brûlaient le creux du genou car trop hautes... et j'ai fini par les perdre dans le sable lors d'une séance sans étriers. Humiliée par la monitrice en prime, je m'en souviens comme si c'était hier.
J'en ris mais quelle honte à l'époque... Le club m'a fait prendre conscience très tôt qu'on était "pauvres". J'en ai gardé des séquelles : je n'aime pas les centres équestres

Vous aussi vous connaissez cette sensation si particulière, comme une explosion dans le ventre, des papillons, appelez ça comme vous voulez... à la simple vue d'un cheval dans un pré ou au bruit des fers sur le bitume ?

"MAMAN, UN CH'VAL !!!"

Vous aussi vous avez enregistré et re-re-revisionné les épisodes de la série "L'étalon noir" grâce au magnétoscope ? Lu des tonnes de livres (Flicka, Le club Grand Galop, Avoir un poney, Le Grand Livre de l'Equitation, etc...)

J'ai heureusement pu vivre ma passion durant plusieurs années grâce à un vieil homme de ma commune, qui avait 3 chevaux, dont j'allais m'occuper. Et on partait très souvent en balade, lui sur son vieux SF, moi sur sa fjord obèse... J'en ai passé des heures et des heures dans ses prés, à gratouiller, panser, tirer l'eau du puits ! Il est décédé subitement quand j'avais 13 ans, et ses chevaux peu de temps après. Je ne m'en suis toujours pas remise...

Si seulement il savait quelle importance il a eu dans ma vie...










Message édité le 17/11/16 à 20:13

Par mounia : le 17/11/16 à 20:13:11

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Mon grand père est décédé quand j'avais 5 ans je l'ai peu connu pas vraiment de souvenirs mais il rachetait les trotteurs à la sortie des courses et son chalet et terrains c'était l'arche de Noé je pense que cela explique que dès que j'ai pu j'ai fait des sauvetage d'équidés. Après mon 1er souvenir c'est que je faisais tellement de foin à mes grands parents qu'ils m'ont amené faire du poney mais moi je voulais monter à cheval... RDV pris je me suis retrouvé face à un grand cheval nommé Burgos. A la fin du 1er cours le moniteur a dit à ma mère : faut qu'elle persévère ! ma mère qui a passé sa jeunesse à s'occuper des rescapés de mon grand père donc son père a tout fait pour me décourager à poursuivre. Pas pu donc à 48 ans je suis toujours à cheval et propriétaire. Burgos c'est le 1er cheval un grand bai pur sang je le revoie dans le manège j'avais 7 ans et je le souvenir est encore si frais je crois que ce jour j'ai épousé la passion du cheval à jamais

Par sheytana : le 17/11/16 à 21:29:14

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Lu des tonnes de livres (Flicka, Le club Grand Galop, Avoir un poney, Le Grand Livre de l'Equitation, etc...)

Ahahahah oui !!!!
L'atlas du cheval, les cartes avec les races, dresser mon cheval, accueillir son cheval chez soi...

Par patatrac : le 19/11/16 à 11:03:23

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Une après-midi équitation à côté de chez mes grands parents alors que je devais avoir 6/7 ans. J'ai encore la photo (la tronche!!!!!!!!).
A cette époque j'habitais en région parisienne, mes parents n'avaient pas de sous et pour moi les chevaux c'était le monde des courses à la télé ou sur l'hippodrome de Vincennes (on habitait près). Alors quand, en vacances chez Pèpère et Mèmère, on m'a amenée dans un centre équestre de campagne et que j’ai pu monter sur un poney.. Whaou révélation!!!!
Suite à cela j'y allais souvent pendant les vacances aussi (mais je ne montais pas à chaque fois) et puis ensuite en colo à partir de mes 10 ans. Quand nous avons déménagé dans l'Oise, à la campagne, j'avais 11 ans, dans ma classe au collège beaucoup de filles montaient en club et une avait même sa ponette et sa jument chez elle (impensable pour moi ^^). Maman m'a inscrite dans un petit club pas cher et j'ai fait mes premiers pas en tant que cavalière. J'y suis restée jusque mes 14 ans, et ensuite j'ai fait d'autres clubs, puis des dp (une fois majeure) puis j'ai eu ma propre jument à 22 ans (une fois mon concours d'instit en poche).
J'ai transmis ma passion à 3 personnes de ma famille et j'ai initié la famille de mon homme aussi. J'espère transmettre ça à mes futurs enfants et connaître le bonheur d'être à nouveau proprio un jour!

Par BountyB : le 22/11/16 à 12:20:51

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Pour moi aussi, personne ne côtoie des chevaux de près ou de loin dans ma famille, et pourtant j'ai toujours été viscéralement attirée par les chevaux.
Mon premier souvenir, c'est que la première photo que j'ai faite de ma vie, c'était une photo d'un cheval dans son pré, pendant une balade en nature avec ma maman! Je devais avoir 4 ou 5 ans.
On était dans les années 80, et il ne faut pas oublier qu'à l'époque, on ne prenait pas beaucoup de photos hors moments exceptionnels (fêtes, vacances).

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