Je compassionne...mon roman , vos avis !^^
Sujet commencé par : satana - Il y a 94 réponses à ce sujet, dernière réponse par polachePar satana : le 07/07/08 à 14:31:32
Dire merci | ouverte à tout type de conseils , et autres... Introduction La pluie tombait drùe sur le petit village de Mauron , en Bretagne . Les goutes dévallaient les facades des maisons , creusant dans leurs sillages des rainures noires . Les flaques s'amoncellaient lentement sur la chaussée , la route , si elles ne s'écoùlaient pas dans le canniveau . Les nouvelles larmes du ciel renouvellaient les lac miniatures , crépittant à la surface . Tout était gris . Sombre . Mélancollique . Un ronronnement de moteur parvenait à filtrer à travers le rideau de pluie . La Lune même ne parvenait pas à éclaircir les contrées , qui restaient plongées dans cette obscurité morbide et sinistre . Ce fut à proximité de l'hippodrome que le véhicule apparù . C'était un monospace bleu , et pas de première jeunesse . La voiture tournat dans un virage ombragé par les arbres sur le bas-côté : chênes , frênes et chataigners se disputaient la meilleure place pour grandir paisiblement . Auprès d'un carrefour perdu au beau millieu de la campagne , le clignotant du monospace se mit en route . La voiture bleue se garra lentement sur le côté . Et la pluie continuait de tomber . La portière avant , côté conducteur s'ouvrit . Apparù un pied , chaussé d'une paire de basket , bientôt suivit du reste de la jambe . Puis , le buste , les bras , la nuque et la tête . L'homme sorti entièrrement de sa voiture , et referma la portière pour éviter d'innonder l'intérieur . Ce n'était pas qu'il tenait à son véhicule . Il avait trop d' àge , et tombait en ruine . Mais il était son seul moyen de transport . A part le vélo . Mais le vélo fatigue , et au trot ... . L' homme resta là , le visage tourné vers une Lune invisible , cachée derrière les nuages emplis de tristesse . La fraicheur de la nuit fit frissoner l'homme . Il ressera autour de lui son blouson en jean , et soupira . Trop de choses passées . Trop de travail . Trop d'enfants . Trop de souffrances.... Trop de tout ! Un sourire mélancolique passa furtivement sur le visage de l'homme . Il ne cesserait jamais de dramatiser . Apres un drnier regard vers l'étendue boueuse qui s'étendait dans les champs , l'homme remonta dans sa voiture , pas mécontent . Mais sa fille lui avait demandé de regarder pour elle la campagne sous les pleurs des nuages . Son enfant . Sa fille . Marie . |
Par Maihime : le 08/07/08 à 15:41:20
Dire merci | la suiteeeee looool ^^ |
Par satana : le 08/07/08 à 15:50:04
Dire merci | ben attend , je l'écris (donc je quitte 1cheval quelques minutes) et je reprend ...patience patience , heuuuuu !!! |
Par satana : le 08/07/08 à 15:50:37
Dire merci | mais autrement , t'aime bien ou pas ? il n' ya pas encore trop d'action , là... pour le moment.. |
Par satana : le 08/07/08 à 16:20:27
Dire merci | - Mais je dois te parler , Marie . Tu as abusé de mon état pour me dérober quelques informations qui n'avaient aucunes raison de t'aller . Je suppose que tu as enquètté sur ce misérable Théo ? Marie sentit le sang se glacer dans ses veines . Elle allai prendre une sacrée roustée...!! Elle préféra se la jouer relaxée : avec un peu de chance , son père tomberai dans le panneau et concluera qu'il vait rêvé . - De quoi tu parles ? Mathias la regarda sévèrement , et répondit : - Tu t'es jouée de moi , ce matin même ! Je n'étais pas complêtement défoncé après m'être endormi , figure-toi . Défoncé ? Oulala....si son père commencait à parler dans le language familier , Marie s'attendai au pire... -....... - Ne fais pas l'innocente , jeune fille . Tu ne vaux guère mieux que ta stupide Tante !! Je ne serais pas étonné que tu te mettes à penser comme elle : l'argent , encore et toujours ! Cesses-donc de me regarder avec ces yeux de merlan frit . Tu n'es pas sotte . Dù moin , je l'espère... Le ton froid et dùr de son père transfigura Marie . Elle se mit à trembler . Ses dents claquaient , comme si elle se trouvai en Arctique...et son père était un ours polaire , près à lui sauter dessus . Non , cela n'avait aucun sens . Elle ne faisait qu'empirer les choses avec ses idée de folle !! - Tu seras punie . Interdiction de monter Alwais jusqu'à dernier ordre . Corvée vaisselle tout les soirs . Travail innintérompù avec Mr Duchemin... - Qui ? la surprise se peignait sur le visage de Marie . Duchemin ? Pourquoi pas De l'autoroute , tant qu'elle y était...Son père voulait-t'il la forcer à construire des sentiers sur les terres du manoir ?! - Victor Duchemin . Un homme parfait pour t'apprendre les bonnes mannières . Il a travaillé dans l'armée avant que je ne le mette au repos . C'est un homme honnêtte , il ne te laissera certainement pas vaquer à des occupations ...peu convenable toute la journée , comme le fesait Mme Hortense... Soudainement , sns que Marie n'eu pù prévoir une telle attaque , elle explosa : - Je ne me livre pas à des occupations peu convennables , comme tu le dis si bien !! Et Mme Hortense n' avait pas à me surveiller constament ! C'était mon professeur , pas mon garde du corp ! Et si tu te plains que je ne travaille pas assez , tu n'as qu'a être un peu plus présent ! Tu passes ton temps dans ton bureau , là-haut ! Je te retrouve en train de boire , completement îvre , et tu te plains que je ne travaille pas assez ? C'est sùr , avec un père qui montre tellemnt bien l'exemple...je devrais avoir 20 sur 20 à tous mes contrôles ! Et bien non ! Figure-toi que tu places en l'institution une trop grosse charge sur mon éductaion ! Ce n'est pas à un prof de me dicter ce qui est bon pour moi ou non...mais les parents ! " La tirade de Marie avait été désordonnée , vibrante comme une bougie souflée par le vent . Mais elle avait fait mouche . Mathias dù prendre sur lui pour retenir une giffle . Mais la violence ne ferait qu'engendrer la violence . Il le savait si bien... Non . Il n'ariverait à rien par cette manière , Marie finirait par faire une fugue , ou pire . Mais...une fugue en fauteuil roulant ? Egoistement , Mathias félicita cet accident de voiture d'avoir eut lieu : cela lui permettait d'être certain que sa fille ne ferait pas une chose terrible , ou qu'elle ne lui fausse pas compagnie . Et , de plus , aucun ami problématique à l'horizon : aucun garçon censé ne voudrait cotoyer une handicapée . Oui , de ce côté , Mathias était tranquille . - Tu retournes dans ta chambre . Elisa t'apportera ton dîner . Pas d'équitation , pas de sortie .... - ...je ne sors jamais , de toute façon ! ... - ...et pas de temps libre . Tu resteras dans ta chambre jusqu'à...ce que je te le fasses parvenir . " Le débat houleux était clos . Marie dirigea son fauteuil vèrs l'ascenseur , qui descendit à destination avec un roulement sinistre . Marie fit monter son fauteuil à l'intérieur , et les portes se refèrmèrent sur elle . voilaaa !le début du 5 demain , si tout se passe comme convenu... |
Par Maihime : le 08/07/08 à 17:39:20
Dire merci | c'est pas plutot "jusqu'a nouvel ordre"? sinon oui j'aime bien et moins prend un "s" lol |
Par Maihime : le 08/07/08 à 17:42:12
Dire merci | - Qui ? la surprise se peignait sur le visage de Marie . Duchemin ? Pourquoi pas De l'autoroute , tant qu'elle y était...Son père voulait-t'il la forcer à construire des sentiers sur les terres du manoir c'est pas plutot tant qu'il y etait? |
Par satana : le 11/07/08 à 15:07:50
Dire merci | heuu , si , pardon ! bon , ben la suite va falloir l'attendre un peti peu...tout compte fait... mais je vous donne le résumé de ce qui va suivre : Marie va se faire fuguer suite à une encore plus grande engueulade avec son père. elle croiser la route de Alice , Hugo et Ambre , trois jeunes adolescents qui disent qu'elle a des pouvoirs magiques . marie ne les croit pas , elle se débat , refuse de les suivres...ils la kidnappes . elle découvre qu'elle a VRAIMENT des pouvoirs magiques...et apprend que les trois kidnappeurs ont besoin d'elles...passque leur chef a un problème sentimental : il s'appelle Tristan , et veut demander la main à Yseult (simple coincidence pour les noms...)mais le père d'Yseult refuse...le jeune homme décide d'attaquer la demeure du père d'Yseult grace aux pouvoirs magiques d'Hugo , Alice , Ambre et Marie . .... |
Par naturalhorse : le 13/07/08 à 22:01:43
Dire merci | Super !! j'adore ton histoire ! Bon c'est vraie qu'il y a des fautes de grammaire et de syntaxe mais sinon j'ADORE vite vite la suite ! |
Par satana : le 13/07/08 à 22:11:10
Dire merci | merci natural horse a part maihime , y avait pas d'autres demandes ! je viens juste de commencer le chapitre 5 , je te le met de suite |
Par satana : le 13/07/08 à 22:12:05
Dire merci | Chapitre cinquième Les portes se refèrmèrent sur Marie dans un crissement sonore . Tandis que l'ascenseur entamait son ascension , Marie réfléchissait . Elle tremblait d'émotions , de fureur et de tristesse . Tout se mélangait ! Son père était saoul , mais ensuite il se souvenait de tout... Comment ces choses si complexes pouvaient-t'elles s'entreméler pour ne former qu'une seule énigme ? Mais d'ailleur , pensa Marie . Quelle énigme ? Que faut-t'il comprendre ? Elle n'en savait fichtre rien . En arrivant sur le palier , Marie croisa Elisa . La jeune femme venait du bureau de son père . Et elle avait un air hautain que Marie ne lui connaissait pas . Elle levait le menton , et ses yeux lançaient des éclairs de jubilation . Subitement , sans le comprendre elle-même , Marie se mit à lui hurler avec haine : " - TU VEUX MA PHOTO , ESPECE DE PEAU DE VACHE ??? " Elisa batti rapidement en retraite , son tablier blanc de propreté battant ses flancs minces et graciles . Mais Marie la trouvait beaucoup moin belle , tout à coup . La jeune fille pénétra dans sa chambre , et s'effondra sur son lit , plus parce-qu'elle désirait pleurer un bon coup que parce-qu'il lui était impossible de rester debout sans support . Bientôt , les larmes coulèrent à flot sur ses joues pàles et douces comme une peau de pèche . |
Par satana : le 13/07/08 à 22:12:27
Dire merci | Minuit . Dans le manoir des Orasiels , rien ne bouge , tout dort d'un sommeil profond . Mais les diaphgrames énergétiques des chevaux , de la chatte et des chiens montre à Hûgo qu'ils ne dorment pas . L'adolescent , perché sur une branche d'un chêne imposant , épie les environs . Le vent frais de la nuit bas doucement la campagne . L'orée du bois est un peu effrayante , avec ses masses sombres et larges , et la Lune se reflètte sur les feuilles d'argent des peupliers . Hûgo respire cet air vivifiant et bon de la nuit , celui qu'il préfère . Un mouvement futile dans un buisson trois mètres plus bas lui apprend que Alice est juste en desous-de lui . Bientôt , un murumure l'interpèlle : " - Hûgo ? " L'adolescent se retourne légèrement , de manière à cacher son visage à sa soeur . Précotion inutile , puisqu'il fait nuit noire ... " - Ouais ? " Un bruit de feuillage qui craque lui répond , suivi d'un rapel à l'ordre . " - Je te signale qu'on a des horaires à respecter ! En trainassant ainsi , tu risques de tout faire échouer... Hûgo soupira , et dit à voix haute , comme pour argumenter ses paroles : - Faire échouer quoi ? Y a rien qui bouge , dans cette baraque , à part les chevaux et les chiens... - Je sais , lui répondi la voix d'Alice , l'air exédée . Mais Tristan veut absolument qu'on s'en tiènne au plan prévu . Donc , pas d'improvisation ..d'ailleur , je crois que je suis de son avis... - Ouais , t'es bien une fille... - Tristan est une fille , peut-être ? Allez , Hûgo , arrètte de glander , il est déja minuit cinq..." Tandis-que le jeune garçon descendait d'une manière surprenant de son perchoire , sa soeur observa le manoir . Tristan avait raison . C'est vrai qu'il était beau , avec ses tourelles et ses écuries toutes de pièrres... Un bruit mat semblabe à un objet lourd percutant le sol moussu de la forêt apprit à Alice que son frère venait de descendre de l'arbre . Quand il se fut approché sufisament près , elle lui reprocha son manque de discrétion . Hûgo rétorqua vivement : |
Par satana : le 13/07/08 à 22:13:00
Dire merci | - Je t'ai déja dit qu'ils dormaient tous , non ? Et puis , de toute façon , le muccus a absorbé le plus grand bruit de mon saut... - Le plus grand , peut-être . Mais pas tout . Imagine qu'un domestique se soit réveillé ! On aurait dù attendre qu'il se rendorme ! Mais durant ce temps là , le passage aurait eu le loisir de se refermer ! - Et après ? Tristan nous aurait bien enguirlandé , mais un bon remontage de bretelles , ça fait de mal à personne... - Surtout pas à toi !" Persiffla Alice . Les deux jumeaux continuèrent à sechamailler comme des vendeurs de poisson pendant encore quelques minutes , mais une sonerie stridente le interompit . Ils s'arrêtèrent brusquement au beau millieu d'une phrase , et échangèrent un long regard suspicieux . Enfin , Alice lanca à Hûgo : "- Ho non . J'espère que tu n'as rien fait de grave qui puisse nous valoir un apel de Tristan..." Elle sorti de la poche de sa veste en jean un petit apareil futuriste , à l'apparence d'un téléphone portable . La jeune fille éleva l'antenne , et une voix d'homme sorti de l'appareil au moment où la sonnerie s'arêttait . " - Alice . Où êtes-vous ? Sur mes écrans , vous n'êtes qu'à l'orée de la fôret ? Et bien ? J'attend des explications . Et vite . Alice lança un regard assasin à son frêre , qui haussa les épaules , l'air de dire " pourquoi tu m'accuse " ? " - Nous ne sommes qu'à la fin de la fôret , c'est vrai . Mais Hûgo nous a fait perdre du temps... - Comment cela ? - Quoi ? Mais elle raconte n'importe quoi ! s'emporta Hûgo . C'est elle qui passe son temps à rêvasser en regardant ls étoiles !..." Alice leva les yeux au ciel , et répondi quelque chose à Tristan dans une langue étrangère à celle des Terrestres , un mélange de sons mélodieux et de syllabes entre-coupées de siflements . Le tout était assez agréable à entendre . Mais malgré ces sons anormaux , Hûgo ne bougea pas . Alice continua encore un peu cet échange spécial , et replia l ' antenne de son appareil . Elle jeta une oeuillade furibonne à son frère jumeau . |
Par satana : le 13/07/08 à 22:13:20
Dire merci | - J'espère que tu es fier de toi , frèrot ?! Tristan est furieux ! Il menace de nous retirer la mission à la prochaine bévue . Je lui ai assuré qu'il n'y en aurait pas d'autres...je compte sur toi pour ne pas contrdire mes propos !! " Sur-ce , la jeune fille tourna les talons et s'avança vers le manoir , toujours dans l'ombre des bâtiments . En traînant les pieds , Hûgo la suivit , comme un prisonier allant au pénitancier . Dans sa chambre , Marie s'affairait . Elle avait pris une grande décision . Peut-être un peu périlleuse , pour une adolescente en fauteuil roulant , mais qu'importe ! Elle en avait jusque là des bonnes manières ! Vivement qu'elle soit avec ce Théo , sur la plage à Mihami !... Bon , peut-être pas les Bermudes , d'accord . Mais au moin , elle serait loin de ce fichu manoir où régnaient les règles , et les interdictions ! Marie fit rouler silencieusement son fauteuil jusqu'à son armoire , et attrapa son sac à dos . Elle entrepri de le remplir de vêtements divers , et d'une lampe torche . Ensuite , direction la cuisine ! Mais au moment de passer la porte , Marie entendit des bruits de pas annonciateurs d'ennuis . Elle fit marche arrière , fourra son sac sous son lit , se jeta comme une pièrre sur son matelas , et replaça vite fait bien fait son fauteuil où il était auparavent . La porte de bois lambrisé s'ouvrit , et Elisa apparù dans l'ambrassure . Elle avait toujours son tablier blanc . Marie retint son souffle pendant les quelques secondes qui dùùrèrent l'inspection méticuleuse de la servente . Au grand soulagement de Marie , elle ne trouva rien d' anormal et sorti de la pièce sans un bruit . Marie attendit deux minutes pour être certaine que la femme de chambre s'était bien éloignée avant de re-sauter dans son fauteuil . Elle reprit son sac , et ouvri doucement la porte . Elle jeta un dernier regard triste à sa chambre , la pièce aceuillante et douillètte qui ne serait bientôt plus que pour elle qu'un souvenir heureux . Elle referma la porte sans bruit , déterminée à en finir avec cette histoire de dingues . Elle emprunta l'ascenseur , qui , à son soulagement , fù aussi silencieux qu'un chat dans la nuit . Marie emprunta un couloir carrelé , et arriva sur la cuisine . Les éviers fraichements nettoyés luisaient de propreté , et une odeur de citron flottait dans les airs . Marie fit coulisser le mécanisme de son " véhicule " pour aller devant le frigo . Celui-ci se tenait là , dans un angle , gigantesque . Marie se surpri à le comparrer à un grand arbre... Mais ce n'était qu'une grosse boîte blanche et froide , qui contenait des centaines de mets surgelés . Marie ouvrit la porte , farfouilla un instant dans le contenu du frigo . Elle en ressorti les joues rougies de froid , et un tas de nourriture dans les bras . Elle posa les vivres ( bouteille d'eau , pomme , un peu de fromage , shandwitch empaqueté et tablette de chocolat ) dans son sac à dos . Enfin , elle dit adieu à cette cuisine , à ce hall froid et sombre , et....se heurta à un problème . La porte d'entrée refusait de s'ouvrir . Marie se forca au calme . Ce n'allait pas êtres un tour de clée qui allait la mettre hors-jeux . Apres une minute de réflexion , elle trouva la solution . Risqué , certes , mais c'était sa seule issue de secours . Elle roula discrètement jusqu'à la chambre de Tante Sophie , et frappa trois coups à la porte . Rapidement , celle-ci s'ouvrit et Tante Sophie apparu , en robe de chambre et pantouffles à froufrous roses pailletés . Marie retint un éclat de rire tellement la tenue de sa tante était drole à voir . Mais son envie de faire de l'humour lui passa vite quand elle croisa le regard de buldog de sa tante . |
Par satana : le 13/07/08 à 22:13:52
Dire merci | " - Qu'est-ce-qu'il y a ? grinca-t'elle d'une voix qui n'annoncait rien à part de l'entiepathie et du dégoùt . Marie prit un air affollé , et s'exclama : - Ho ! Ma tante , venez , c'est urgent ! - Voyez-vous ça ? C'est urgent parait-t'il... - Oui , ma tante ! Alwais s'est blessé ! Je l'ai entendu heurter la paroie de son box ! Il faut aller le voir , vite ! - Pourquoi cela ? demanda Tante Siophie l'air suspicieux . - Car si on le laisse seul , il risque de se coincer encore plus , de se tordre je-ne-sais-quoi et de rester boîteux toute sa vie ! - Cela peut attendre . Marie avait prévù ce genre de réaction . Elle anticipa la suite : - Oui , mais , ma tante , si je peux me le permettre , mon père n'apprécierait pas tellement de perdre un des ses chevaux...Un cheval bpîteux n'et plus bon à rien , et je refuserai en bloc qu 'on abatte Alwais , sauf s'il est condamné à souffrir de restant de ses jours . Je vous en supplie , ma tante ! - Cela peut attendre , répéta Tante Sophie . - Mon père n'apprécierait certainement pas non-plus que je lui rapporte des choses ...désagréables . Du genre que sa soeur ne fait rien pour sauver le cheval de sa fille , par exemple..." L'argument avait fait mouche , la femme se résigna à ssuivre sa nièce dans le jardin . voila pour l'instant et merci encore ! |
Par naturalhorse : le 13/07/08 à 22:21:01
Dire merci | Super !! vivement la suite !!!!!! |
Par satana : le 13/07/08 à 22:23:02
Dire merci | tu l'as déja lù ? et ben t'es une rapide ! on se parle un peu par mp ? ou alors , tu acceptes le tchat ? t'aimes bien lire , àce que je voix ? |
Par Maihime : le 14/07/08 à 19:54:44
Dire merci | pas mal pas mal Miami pas mihami lool |
Par satana : le 14/07/08 à 22:07:09
Dire merci | merci maihime vos conseils me sont d'une grande utilité pour vous je fais rêver avec cette histoire commencée que j'écris à longueur de journée . pour vous |
Par Maihime : le 15/07/08 à 23:20:45
Par satana : le 16/07/08 à 11:26:04
Dire merci | moi aussi je vous zaimes tres tres tres fort les fiiiiilllleeeeeessss |
Par naturalhorse : le 16/07/08 à 20:08:38
Dire merci | He miss ! alors la suite, tu nous fais languire la, enfait tu es sadique ? Lol non je rigole, prends ton temps pour ecrire ton roman . Bisous |
Par satana : le 16/07/08 à 20:12:28
Dire merci | que nous donne le temps si on on ne donne pas de notre temps je vé manger |
Par satana : le 19/07/08 à 21:58:22
Dire merci | Chapitre sixième " - Attends , Alice ! " crie Hûgo en ratrapant sa soeur . Il sauta au-dessus d'une touffe d'herbe gênante , et esquiva allègrement un lièvre appeuré . Les deux adolescents avaient presque terminé de longer le manoir d ' Ourangour , et se frayaient à présent un passage dans les épis de blés d'un champ pret à être moissonné . Alice ne prit pas la peine de s'arretter , mais pesta tout de même contre son frêre . Quel triple crétin ...on lui annonce qu'il va participer à une mission secrète , donc silencieuse , et il se met à crier à tue-tête... Hûgo tomba face contre terre , la faute à un terrier ( à présent écroullé ) de lapin de garrènne . " - Et crotte !!!!! " De concert , Alice leva les yeux au ciel et supplia le Seigneur de rendre son jumeau moin stupide , ou bien encore plus demeurré pour qu'o puisse le prendre pour un taré et l'enfermer en institution . Au choix . Dans l'écurie principale , deux silhouette se tenaient . L'une avancait d'un air lourd et mal réveillé , tandis-que la seconde était en fauteuil roulant . En arivant dans le couloir où il y avait le box d'Alwais , Marie senti son coeur accélérer . Elle voulait prendre la fuite , oui , c'était bien joli tout ça ! Mais avec des jambes H.S et un cheval dans ses valises... Difficile de ne pas se faire repérer . Mais il était trop tard pour reculer , à présent . " - Box numéro 18 , c'est ça ? grinca la tante . Marie sursautta , mais se reprit en exellente comédiènne qu'elle était : - Oui , exactement , ma Tante . " Les deux personnages s'arêtèrrent devant le box tant recherché . Le silence s'installa . " Et après " ? se demanda Marie . Ce fù sa tante qui déclancha la débandade : " - Mais...qu'est-ce-que vous faîtes avec ce sac , chère nièce ? Hooo....je vois...Tu voulais filer en douce !... Marie sursautta de nouveau . Sa tante avait aperçu le sac-à-dos caché dans le panier sous le siège de son fauteuil . Et de plus , sa tante venait de se rendre compte qu'ele était habillée ! Tout semblait tomber en lambeau lorsque la jeune fille se souvint d'une chose : Alwais réagissait aux sifflements aigus . Il restait peut-être une chance d'échapper au piège à étaux dans lequel elle s'était fourrée . Au moment où Tante Sophie tendait vers elle ses doigts crochus comme ceux d'une sorcière de conte de fées ( sauf qu'elle n'avait pas de toile d'araignée sur son chapeau ) Marie ouvrit la porte du box d'un coup , et siffla , mais un sifflement ! Gigantesquement aigu conviendrait , en tout cas...Alwais réagit comme convenu : il se cabra à demi dans on box , et sorti en trombe de sa stalle . Marie eu juste le temps de s'accrocher à son encolure , au risque de se faire piétiner . C'est avec ravissement qu'elle passa la porte de l'écurie au triple galop , avec le martellement des sabots de son poney et les hurlements de frustations de sa tante comme fonds sonores . |
Par satana : le 19/07/08 à 21:58:43
Dire merci | Marie guida d'une main experte son cheval adoré à travers les sentiers du manoir , filant comme une flèche de part et d'autres . Elle passa en coup de vent devant la fenêtre du bureau de son père.... La lumière était allumée , et elle voyait nettement la silhouette de son paternel se détacher à travers les épais rideaux . Elle détourna les yeux , tentant de refouller les larmes de joie et de tristesse mélangée qui lui venaient aux yeux . Le vent lui fouetait le visage , créant de minis- cyclones dans ses chevaux noirs , de la même couleur que la crinière de son fier destrier . Alwais n'avait jamais couru aussi vite . On aurait cru qu'il participait au Grand Prix de Diane ! Il était tout simplement heureux . Pour lui , rien de plus normal que cette soirée ordinnaire : il partait se balalder au grand galop dans des champs qu'il était interdit de traverser , et sautait à coeur joie dans les flaques . Oui , il était splendidement , stupéfiamment content . Il passa à travers des herbes folles , et sentit le poid de sa cavalière déniveller vers le côté . Rien de grave ; Marie s'emparrait juste de son sac-à-dos qu'elle avait saisi de justesse . Le rescapé lui était indispensable ! Lorsque Alwais commenca à montrer des signes d'essouflements , Marie le forca à revenir au trot . Même si lui voulait continuer à galoper à en perdre haleine , elle refusait de le voir s'écrouler de fatigue . Elle venait de comprendre qu'il lui serait impossible de voyager au triple galop toute la journée et toute la nuit , toute la semaine , comme dans les livres d'histoire . La réalité était beaucoup moin drole ( et profitable ! ) à son goùt... Mais il fallait penser pratique : en y pensant de plus près , il était impossible qu'Alwais galope toute la nuit . Marie répartit son poid du corp sur l'arrière et recula ses épaules . Alwais réagi immédiatement et repassa au pas . Le duo s'arrêtta auprès d'un chêne immense . Ils étaient arrivés à l'orée de la forêt . |
Par satana : le 19/07/08 à 21:59:06
Dire merci | Marie descendit de son cheval , et se laissa choire par terre , en tombant à la façon d'une pièrre . Tandis que son cheval commencait à brouter , Marie s'allongea sur l'herbe tendre annonciatrice du printemps . Elle grelotait . Comment avait-t'elle pu être aussi sotte ? Ce n'est pas ce que lui avait apris son père ... Elle imagian un instant la manière dont il réagirait lorsque Tante Sophie lui annoncerait qu'elle avait fugué . Il serait furieux . Il se mettrait certainement à crier , et il s'inquiéterait pour elle ! Oui , il aurait peur qu'il ne lui arrive quelque chose... Un craquement sonore intérompi Marie dans sa réflexion . Elle fouilla la forêt des yeux , mais tout était sombre , malgré l'aube qui approchait . Un vent glaçé laissa Marie pentelante , toute étourdie de froid . Un second craquement se fit entendre . Cette fois , la jeune fille tatonna à la recherche d'une arme au cas-ou.. Au cas-ou quoi , d'ailleurs ? Elle ne pù trouver de réponse car un hurlement la fit sursautter . C'était un cri semblabe à celui d'un humain , mais étonnament aigù , comme si son prpriétaire souffrait énormément . Le sang de Marie se glaça dans ses veines , elle agripa l'encolure de son cheval , qui avait lui aussi sursautté au son du cri affreux . Ses oreilles s'agitaient en tout sens , signe qu'il était inquiet et attentif au moindre bruit , au moindre chichotement . Soudain , à travers un rideau de branches basses , des voix montèrent . Marie ne comprenait pas , et ne parvenait pas à identifier la provenance de ses sons . C'était un mélange de sifflements mélodieux et de chantonnements , comme des mélodies provenant d'une autre planette . Marie se mit à trembler de tout son corp , dans son jean et dans son léger pull . Soudain , deux yeux rouges luisants apparùrent sur sa droite . Elle restait fixée sur ses gobes occulaires rouge sang , et était incapable d'en décrocher le regard . Marie était comme hypnotisée...Mais elle resentait des tas de choses étranges , la peur , le désarroie et la fureur d'être ainsi innactive . Les yeux la fixaient , elle aussi . Mais d'une manière...sanguine . Aussi soudainement qu'ils étaient apparù , les yeux mystérieux disparùrent et marie retrouva concience , même sin elle n'avait pas dormi . Tout d'abord , sa réaction fù de se demander si elle n'avait pas rêvé . Mais ce regard était si persistant , si réel....non , elle n'avait pas rêvé . Tout aussi surprenant que cela puisse paraître , elle était sure et certaine de ce qu'elle vait vù . Au moment où elle se disait cela , Alwais piaffa de nervosité . Il dardait de son doux regard attentif les fourrés , droit devant lui . Marie demanda d'une voix tremblante autemps de froid que de peur |
Par satana : le 19/07/08 à 21:59:44
Dire merci | " - Qui que vous soyez , montrez-vous ! " Tout d'abord , un silence . Puis , des chuchottements se firent entendres . Et , enfin , leurs propriétaires se montrèrent . Au clair de Lune , il était difficile pour Marie de clairement les identifiers , mais il lui semblait que ce n'étaient que deux adolescents , comme elle . L'un deux avait l'air un peu ennuyé , et c'était certainement u garçon , car il avait des cheveux courts et raides , de couleur blonds . La seconde silhouette , elle , ressemblait plutôt à celle d'une jeune fille , fine et élançée . Elle ressemblait beaucoup à l'autre garçon , mais elle avait les cheveux plus longs mais tout aussi raides et blonds . Une lueur doré émanait d'eux , comme si ils étaient éclairés de l'intérieur . Marie leur demanda ce qu'ils fesaient là , et comment ils s'appellaient . Elle ne les avait jamais croisé auparavent . " - Je suis Alice , et lui , c'est mon frêre , Hûgo . Nous sommes là pour venir te chercher , Marie Orasiel . - Me...chercher ? - C'est un ordre donné par notre chef , notre , patron , notre boss ou notre maitre , je ne sais pas comment vous dîtes , dans votre langue , répondit de nouveau Alice . Marie ne savait que répondre . Ils étaient venùs la chercher ?! Hûgo , qui n'avait encore rien dit jusque-là , intervint : - On est des gamins pas ordinnaires , tu voix . On est du genre à voler , des trucs comme ça ... Il se prit un grand coup de poing dans les côtes . Alice reprit plus calmement : - Tu n'as pas besoin de savoir trop de choses pour le moment , tu dois juste nous suivre , Marie . Juste nous suivre , et venir avec nous , tu comprends ? " Non . Elle ne comprenait pas . Qui étaient-t'ils ? Et ce Hûgo avait dit qu'ils pouvaient voler ? ... Marie réfléchit quelques instants , et décida : " - Je viens . Mais je ne sais pas marcher . Hugô et Alice échangèrent un regard stupéfait . - Comment ça , tu ne peux pas marcher ? - Ben oui...mes jambes sont incontrolables , tu vois ? - Non , répondit sincèrement Hûgo . Marie le trouva immédiatement bouché et un brin idiot . Alice , en revanche , ne se départissait pas de son calme : - Tu ne peux pas te lever ? - Je peux monter sur Alwais ..." Soudainnement , un second hurlement résonna dans la fôret , faisant trembler le plus épais des chênes , vibrer la moindre petite flaque d'eau . Marie sursauta , lanca un regard à Alice et à son frere . Tous deux n'avaient pas l'air effrayés ...Pourquoi ? Marie , qui craignait que les deux yeux rouges ne réaparraissent ne nouveau , décida de presser un peu ses " kidnappeurs " . Ceux-ci la hissèrent sur Alwais , pas mécontents de savoir leur proie en sureté . Alice ordonna à Hûgo de partir chercher les deux montures , mais Marie ne comprit pas comment elles s'appellaients . Alice avait dicté leur nom dans le même language étrange de sifflements et de chants . Mais Hûgo répliqua qu'il en avait marre de faire toutes les sales besognes , et il refusa net de bouger de là . Après nombres de siflements méprisants , Alice accepta d'aller chercher les deux montures , mais en bouguonnant dans sa barbe - innexistante - . Dès que la jeune fille se fut évanouie dans les fourrés , Marie , talonna Alwais . Le cheval , en monture bien dressée , partit au triple galop . Avec amusement , Marie entendit Hûgo la supplier de revenir , mais sa voix se fù bientôt perdue à travers le rideau de la fôret . voila , j'ai rien d'autre |
Par naturalhorse : le 20/07/08 à 13:43:33
Dire merci | Super Super Super ! Merci misss !! |
Par Maihime : le 20/07/08 à 14:29:07
Dire merci | pas mal.. |
Par satana : le 20/07/08 à 20:13:49
Dire merci | pas mal.. c'est pas super , ce passage , faudra que je retravaile ça apres |
Par Maihime : le 20/07/08 à 20:41:26
Dire merci | oui ca fait trop d'un coup apres le pas grand cose si tu vois ce que je veux dire |
Par satana : le 20/07/08 à 21:52:40
Dire merci | oui , mais je vais le re-travaillerc'est juste un apercu , un brouillon , comme en dessin , tu comprends |
Par naturalhorse : le 20/07/08 à 21:53:04
Dire merci | Moi je trouve sa bien, c'est pas facil d'ecrire une histoire, j'en ai fais les essais !! J'ai hate de lire la suite ! |
Par satana : le 20/07/08 à 22:02:58
Dire merci | merci Manon mais des critiques il enf aut de tous genres |
Par Maihime : le 20/07/08 à 23:34:19
Dire merci | yep ^^ j'te fais confiance va ^^ |
Par luciole76190 : le 21/07/08 à 09:54:24
J'ai trouver ca très bien!!!! Moi j'ai adorer! |
Par Maihime : le 28/07/08 à 20:34:31
Dire merci | suite? ^^ |
Par satana : le 29/07/08 à 14:43:33
Dire merci | heuu...pas forcément la suite...un autre roman qui à de la suite.... j'explique : ce roman-ci , " je Compassionne " est peut-être super , mais je ne lui voit pas d'avenir . Au contraire ! Il est cool....mais je n'arrive pas à imaginer une suite qui concorde avec le début . Donc , prochainement : Angel . |
Par satana : le 01/12/08 à 19:14:24
Dire merci | dsl du retard , mais l'ordi est tombé en panne quelques temps...et puis j'avais plus trop envie de venir , en fait . mais comme certains d'entres-vous aimaient bien mon roman , et que avant d'écrire pour soit , et ben c'est aussi pour les autres , voila la suite... Marie galopa à en perdre haleine , pressée de semer ceux qui risquaient de la poursuivre . Peu de chevaux ordinaires seraient capables de vaincre Alwais à la course , mais ces deux là lui avaient paru sufisamment bizarres que Marie ne se serait pas étonnée qu'ils la pourchassent à dos de serpent géant . Ce fu seulement lorsque les lumières pàles de de la ville lui parvirent que la jeune fille forca de nouveau son cheval à ralentir l'allure . Le principal objectif de Marie était de se trouver une cachette , à l'abri des regards indiscrets . Elle fouilla un moment dans sa mémoire pour se rappeller que son père et elle étaient allés visiter une zone touristique , faisant partie de Brocéliande , la superbe et célèbre forêt . Le tombeau de Merlin . Pas tres loin pour y accéder rapidement , mais assez éloigné pour que la police n'aille pas la chercher là . Marie talonna donc Alwais dans cette direction , certaine qu'il lui faudrait changer de planque régulièrement pour que sa fugue dùre sufisament longtemps . Le temps que son père prenne en compte des erreurs passées , des erreurs pas si vieilles que ça... Alwais gravissait une colline escarpée , lorsque un champ magnétique lui bouleversa ses cinq sens . Le sol fu parcouru un instant par de fortes radiation sensorielles , que lui-seul , doté d'un sens plus aigu que les humains , pouvait ressentir . Aussi , Marie ne sursautta-elle pas le moins du monde quand une onde puissante déstabilisa les herbes sauvages . Le vent , c'est tout . Si elle avait été aussi sensible que son cheval , elle en aurait conclu que ce n'était certainement pas le vent qui courbait ainsi la végétation , surtout si elle avait pris la peine de remarquer que le vent allait en sens contraire à ce phénomène étrange.... Le cheval arriva en haut de la côte et , essouflé , s'arrêtta auprès d'un arbre . Marie le laissa souffler un moment . En réfléchissant ( qu'avait-elle d'autre à faire dans un moment pareil ?! ) , la jeune fille reconnu qu'elle avait été stupide . D'abord , s'enfuir de la sorte comme une sauvageonne à travers bois et prairie n'était pas digne d'une jeune comptesse . Ensuite , elle aurait dù emporter plus de vivres et d'objets utiles . Elle avait à peine de quoi tenir jusqu'au lendemain , sauf si elle sautait plusieurs repas , ce que son estomac à moitié vide refusait obstinément . Elle serait donc forcée d' acheter de la nourriture dans un village , mais les autorités la cueilleraient comme une pùeche trop mùre . Si jamais elle se faisait attaquer , elle serait en mauvaise posture . Son père ne lui avait-il pas expliqué et répété que l'on n'était à l'abri de rien ? N'était pas certain qu'il n'y ai pas un fou furieux dans la coin , habité de mauvaises intentions...Dans tout les cas , se rebeller aussi soudainement ne lui aura apporté que des ennuis . Alwais releva la tête , alerté par un craquement sonore . Marie scruta l'obscurité , à l'afu du moindre bruit suspect , prete à détaler comme un lapin . Quand elle fu certaine que l'origine de ce bruit ne l'importunerait pas plus , l'adolescente pria sa monture de se cacher plus avant . Ce recoin de fôret était trop visible . Ils seraient bien plus en sécurtité à couvert , sous le toît végétal des arbres . Marie avisa les divers sentier qui s'offraient à elle . Le premier menait à un parking désert , mais qui se remplissait des voitures de visiteurs lors des saisons touristiques . Le second bifurquait vers le sud , c'était d'où elle venait . Le dernier serpentait un instant parmis la végétation luxuriante , et donnait sur une clairière , qui tenait en son centre un tombeau , censé contenir le cercueil de Merlin l'Enchanteur . Marie décida de couper au beau milieu de la fôret , sans suivre de chemin précis . Elle finirait bien par arriver quelque part , non ? Avec de la chance , dans une grotte vide , avec un point d'eau à proximité !! Alwais se remit donc en route . Il espérait bien pouvoir s'arreter vite fait , pour enfin dormir ! Envolé , le fier destrier d'il yavait peu ! Il ne se sentait plus le courage ni pour galoper , ni pour continuer à marcher . Mais sa jeune cavalière l'y forcait...s'il ppouvait trouver un moyen de le lui faire comprendre...?! |
Par satana : le 01/12/08 à 19:15:45
Dire merci | Chapitre septieme Lorsque Marie se réveilla , elle ne reconnu pas l'endroit où elle se trouvait . Le toît était obstrué par une sorte de mur sombre , rocailleux , et sa chambre n'était pas agréablement chauffée comme à l'ordinaire . Marie mit quelques secondes pour se rappeller qu'elle avait élu une cachette provisoire dans une sorte de cavité , au pied d'un énorme précipice . Le Val sans Retour . Marie avait tourné , tourné , tourné inlassablement à la recherche d'un abri où passer la nuit . Hélas ! la forêt côtoyant le tombeau du magiçien était trop éparse , pas assez dense pour protéger un cheval des regards indiscrets - ou non . Alwais s'était donc dirigé vers un paysage plus sauvage , ou la seule règle était de ne pas trépasser face à l'urbanisation . Le Val sans Retour . Au creux de sa falaise vertigineuse , une rivière coùlait lentement , pour déverser son eau pure dans un lac , où se refleterait parfois l'image d'un grand cerf blanc ; lac , au dessous d'une colline . Sur cette colline , pas tres haute , mais sacrée , s'élevai un arbre entièrement en or massif . L'Arbre d'Or , le Val sans Retour , le Lac au Cerf Blanc ...toutes ces zones touristiques étaient bondées de badins à la belle saison . Marie se releva sur un coude péniblement . Un glougoutement indistinct lui parvint : il s'agissait de son poney qui s'abreuvait de facon paisible , dans un ruisseau . Marie le siffla . Pour pouvoir avancer se débarbouiller au point d'eau , il allait lui falloir un support mobile . Le dos d'Alwais ferait l'affaire !! |
Par polache : le 01/12/08 à 19:20:20
Dire merci | moi je le lirai quand tu l aura publié |
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