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Le forum endurance équestre

Utilisateurs selles Hugues Petel

Sujet commencé par : veronik - Il y a 1343 réponses à ce sujet, dernière réponse par lyra
11 personnes suivent ce sujet.
Par veronik : le 24/09/08 à 08:07:03

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 Ici va se trouver un terrain d'échange pour les cavaliers qui veulent monter autrement.
Une monte de sensations, comme dit HP.

On est déjà 2 petelistes! (mais il y en a tellement d'autres hors ce forum) et j'espère que d'autres suivront.

J'espère que nous serons bien guidés dans notre travail!

Je pense qu'on devrait commencer pendant la période de pause hivernale!

[Titre modifié par Yann22_modo]


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Par karine : le 15/05/09 à 07:34:45

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 Cutacandy.. je sais pas si c'est la réponse que tu attendais... elle est claire!
Tu k'auras compris le modèle en soit n'a pas une grande importance... tu essayeras l'une ou l'autre c'est la seule façon de savoir si elle te convient mieux qu'une autre dans ce que propose HP... l'important c'est l'usage que l'on souhaite en faire...

Par veronik : le 15/05/09 à 15:00:52

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 Cutacandy: je reviens sur un truc: comment et pourquoi dis-tu vouloir une Flash?
C'est un choix qu'on ne peut faire quáprès essai ou/et étude de ses caractéristiques par rapport à toi ET ton cheval??

donc, ce que les autres en pensent, de la Flash, c'est à mon avis, la même chose que de demander ce que l'on pense des HP dans leur globalité.

Car un type de selle (Flash.....) correspond à un choix perso.

Par Cutacandy : le 15/05/09 à 16:21:09

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Je voudrais une selle pour la rando et aussi pour l'endurance. J'ai dëjà essayé une Flash et une Yvon Ollivier et je ne me sens pas bien sur la Y. Ollivier par contre super bien sur la Flash. Je voudrais juste connaître votre avis.

Par veronik : le 15/05/09 à 16:24:32

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 Si tu es bien, tu as donné la réponse.

Toutes ces selles ont des géométries qui t'invitent à la meilleure position, au meilleur ressenti.
Donc globalement: oui, ce sont des selles extrèmement bien concues!

Donc en final, TU choisis comme tu viens de le faire.

D'autres avis ne te donneront rien de + ni de -, selon que la selle convient à la personne ou non.

Par Cutacandy : le 15/05/09 à 16:32:44

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Merçi, ça me rassure dans mon choix.

Par karine : le 16/05/09 à 08:58:10

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 Je reviens sur la venue de l'ostéo pour aborder un sujet avec Hp s'il passe par là et d'autres qui le souhaiterons.
Nous discutions en fait du "développement " du garrot qui était souhaité par HP (entre autre réduction des trapèzes autour du garrot). Il était donc plutôt d'accord sur le principe avec cette idée dont ils avaient discuté il y a quelques années déjà et qu'il trouvait interessante. Par contre il trouve que l'endurance a beaucoup changé ces dernières années et qu'on s'éloigne beaucoup de cette possibilités. Il a l'impression (lui qui accompagne femme et fille sur de grosses épreuves) qu'il a changé de sport... que les chevaux sont devenus de gros galopeurs par rapport à 5-10 ans en arrière, et que l'on ne peut plus obtenir ça, si on cherche la "gagne" en endurance aujourd'hui...
Des avis?

Par veronik : le 16/05/09 à 13:34:07

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 Je ne te suis pas trop:
développement du garrot / réduction des muscles trapèze??

on s'éloigne de cette possibilité: de quelle possibilité?

2Les chevaux sont devenus des galopeurs": oui, car il est clair que le galop "use" moins que le trot, donc c'est quoi le sujet?
Sur 80 Km, je dois bien être 55 Km au galop, si le terrain convient...

"On ne peut plus obtenir ca": quoi?

Obtenir quoi si on cherche la gagne?

Je n'ai pas trop compris l'argumentaire...ou j'ai le citron confis?

Par SDE : le 16/05/09 à 14:12:25

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 moi même questions, j'ai pas compris !

Par karine : le 16/05/09 à 15:23:39

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Véro t'es pas vraiment concernée car tu ne cours pas "assez vite"
Le principe est simple... les chevaux d'HP ont un garrot très "sorti", des trapèzes quasi inexistant, bref un développement musculaire très différent de la plupart des chevaux, du à un travail dans ce but là.
Bref l'ostéo approuve cette idée mais constate aujourd'hui que les courses ont changées, plus rapide, les chevaux avant étaient plutot au trot( ou galop moins rapide )... aujourd'hui c'est du pas et du galop dès que possible le trot est inexistant et le galop est de plsu en plsu rapide, les chevaux courent régulièrement à de très hautes vitesses. Il a l'impression qu'avec ce type de courses, les developpement musculaires qu'ont les chevaux d'HP ne sont plus tout à fait compatible...


Message édité le 16/05/09 à 15:23

Par veronik : le 16/05/09 à 17:59:04

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 ???
je ne comprends toujours pas bien

tu dis:
A) "les chevaux d'HP ont un garrot très sorti..."

et

B) "différent de la plupart des chevaux"

puis:

"dû à un travail dans ce but là"

Cette dernière phrase va avec A ou B???


Puis:
"Les développements muscu des chevaux HP ne sont plus compatibles"....avec les courses au galop je suppose, oui?

Mais HP est un cavalier qui privilégie autant que possible l'allure du galop.

Donc si tu trouves une incompatibilité, l'expé prouve que ce n#est pas confirmé.

Sur 3 chevaux, j'en ai un au garrot puissant, et les 2 autres ont un garrot saillant.
Mais ca, c'est de la génétique, le cheval a telle ou telle morpho de base.

Et mes 3 font leurs courses avec beaucoup de galop......

Je ne vois pas ton interrogation.... désolée

Par karine : le 16/05/09 à 18:22:49

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La question est pour HP... il comprendra!
Véro comme je te l'ai dit tu cours à allure bien trop faible pour rentrer dans ce qu'essaye de décrire Lionel Payen...

Par sésame : le 16/05/09 à 18:28:04

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 drôle de lieu: quelqu'un demande des informations sur une selle,

un jeu de mots suit, parfois fin, parfois compliqué, mais très recherché! Même si c'est selon K. une réponse...??? à la demande précédente....

Mais pourquoi cette ironie caustique, K, tu es porte parole ou membre acctif de soutien....ou...fan...ou ??.
Pourquoi rire ironiquement de ce que tu penses être LA réponse? Et surtout pourquoi l'envoyer dans les dents de C.?

Ah les relations humaines et leurs circonvolutions, ca me laisse perplexe....dubitatif!
enfin, pas tant que celà, car il faut savoir lire entre les lignes, entre les mots.

Je reste attentif à ce sujet, car parfois j'y trouve des développements interessants


Par veronik : le 16/05/09 à 18:40:21

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 Re- Karine:

je ne vois pas le rapport entre ne pas courir très vite sur les courses, et ne pas comprendre un sujet de morphologie, et aussi ne pas comprendre ton texte.
Et quand nous faisons 90 Km à 16, c'est trop lent pour toi? moi je trouve que c'est bien....même si je ne suis pas la plus rapide.....

Et tu demandais des avis divers sur ce forum, .....et ensuite tu dis que la question est pour HP....

je suis vraiment à côté de la plaque , ou il manque quelque chose...?

Bon, à Lundi, j'ai une course à préparer!

Par veronik : le 16/05/09 à 18:41:43

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Non, je reviens pour préciser que les trapèzes chez le cheval n'ont pas le même rôle que chez les humains....il y a un os en moins dans l'assemblage. 

Par karine : le 16/05/09 à 21:27:50

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 Bon Véro... tu peux répondre ... hein je te dis juste que l'interrogation porte sur l'augmentation des vitesses, la morphologie de tes chevaux avec lesquels tu cours plus lentement n'est pas donc en question...
Il ne s'agit pas d'un jugement de valeur sur la vitesse de course (sur le principe ça ne me concerne absolument pas courir 160 km à 18 ou 20 km/h n'est pas à mon programme )
Morphologie oui tu as raison... mais l'hypothèse de base est quelle est l'influence de la vitesse sur le développement musculaires...
Quand au garrot... je crois bien qu'il faut avoir vu les chevaux d'Hp pour prendre la mesure de la question...

Par jean yves 01 : le 17/05/09 à 08:41:42

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en fait lionel payen parlait des courses aux niveau mondial telle la dernière course a bahrein 160 km faite a 27 km/h . et des course avec du dénivelé ou les concurrents étaient aux pas dans les montées et souvent a pied et le reste a fond au galop 25 - 30 km/h .

donc avec des chevaux très musculeux .

il disait avant nous avions des trotteurs et maintenant des galopeurs .

lui qui est aussi éleveurs prends se fait en compte pour le choix de ses croisements futurs .

hugues a toujours été favorable au galop , mais petit galop 12 - 20 km/h contre le trot a 15 km/h .

mais maintenant c'est un autre monde des boucles entre 25 et 30 km (surtout la dernière boucle)

Par veronik : le 18/05/09 à 07:36:31

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 Je ne me permets pas d'apporter ici des réponses, mais juste des pistes et des réflexions sur le sujet, même si des choses m'échappent dans ce que tu écris (K).

HP est favorable au galop, bien sûr.

Il entraine et monte aussi dans des conditions bien différentes que les raids dont tu parles (JY),
en Europe, nous n'atteignons pas de telles vitesses extrèmes, et ne le souhaitons pas, je pense!

Et ses 2 chevaux principaux ont des morpho totalement différentes.

Pour galopper, je pense qu'un cheval n'a pas besoin de développer son systéme Trapèze (partie costale)

Le garrot est un os (!) et son développement n'est pas modifiable.
un garrot sorti est lié à la courbure et à la taille des apophyses épineuses, et sa largeur aux apophyses transversales

Son leitmotiv est d'abord la préservation du potentiel, de l'intégrité de l'animal.
D'ou le choix du galop, plus efficace et de rendement meilleur.

Quand à avoir des chevaux musculeux: là je ne crois vraiment pas: le muscle (la masse musculaire) est par ses caractéristiques biologiques/physiologiques, ennemie de l'Endurance,
je précise:

** Masse muscu en regard de la surface corpo
(évacuation de la chaleur)

** Capacité à fabriquer de l'AL, ammoniaque....

** Capacité d'irrigation et donc de détoxification

** Type de cellules musculaires

** Type de muscles

Autres points, relatifs aux personnes qui développent depuis des décennies, pour certaines courses, la puissance, et pour d'autres la vitesse pure. Je parle de vitesse maxi possible, et non d'une vitesse moyenne comme en Endurance extrème

Puissance va avec vitesse de pointe, et non vitesse pure, sur 2/5 Km
Vitesse pure est autre chose.

La puissance et la vitesse de pointe sont les apanages des Galoppeurs sur courte distance et des QH.

Quelles sont leurs caractéristiques morpho?

** musculeux (on y est)
** croupe inclinée.

La vitesse pure:

** beaucoup moins musculeux
** croupe droite.

Ces gens, à la pointe du sujet n'ont jamais parlé de garrot.

Voilà, ce n#étaient que des anotations perso, en attendant qu'une personne de science nous éclaire mieux.

PS: ta dernière phrase (K) reste pour moi nébuleuse: pas compris.

Voilà pour ce matin!

bonne journée!





Par karine : le 18/05/09 à 10:56:51

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moi je vais méditer le message d'HP qui m'étais destiné... pendant quelques jours, je reviendrais peut-être après quand j'aurais tout saisi... ça risque de prendre longtemps d'ici là bonne continuation!


Message édité le 18/05/09 à 10:57

Par veronik : le 18/05/09 à 11:32:07

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 J'ai oublié un truc important: le angularisations.

Nous te laissons méditer...

Par hugues petel : le 19/05/09 à 14:07:29

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 Bonjour à tous et toutes,

Sésame,
Je suis heureux de vous lire à nouveau.

La cession de mâchoire est un jeu avec la locomotion par la médiation de la langue.
Il est essentiel de comprendre que les doigts s’adressent aux membres et non à la bouche, qui n’est qu’un vecteur.
Vectrice, médiatrice, elle est un logos (raison, logique, langage) essentiellement indirect. De ce fait, elle tire sa puissance sur le psychisme du cheval.

Miroir.

Le discours humain est un jeu avec autrui par la médiation de la langue.
Par la médiation, il acquière sa puissance dans l’indirect.
La médiation introduit nécessairement le tiers.
L’image renvoyée par le miroir n’a pas d’ombre, donc pas de tiers.
Le souvenir du tiers, dès lors, se dilue en évanescence.
Il est une langue pour dire que l’Homme est (h)ombre.
Par élision de H, logique psychique et linguistique, le tiers devient pénombre.

Ne faut-il pas cesser de chercher à qui s’adresse le jeu pour en comprendre les règles ?


Le problème soulevé par Karine et Véronik mérite attention. Le sujet, bien que paraissant anodin, est complexe, et d’une portée peut-être insoupçonnée.

Il est vrai (relativement…) que, il y a quelques années, les courses étaient gagnées par des chevaux éduqués à galoper à 300 m/mn (l’époque de l’endurance au trot est bien antérieure, 15 ans en arrière). C’était la théorie de Pierre Cazes. Celle-ci avait l’avantage de faire percevoir aux cavaliers l’état a priori de résistances minimales du galop, donc celui auquel le cheval était capable d’aller le plus loin dans cette allure. Son défaut (à mon sens, donc dans une optique purement équestre) était de partir non sur la construction des allures mais sur un ralentissement progressif de la cadence.
Depuis quelques années, il est clair qu’il faut un cheval capable de galoper les trente derniers km d’une 160 en une heure pour gagner (Il y avait déjà des chevaux –et des cavaliers- avec un potentiel de galop à 30km/h à n’importe quel moment de course. Aujourd’hui, les chevaux ayant ce potentiel sont probablement plus nombreux, entraînés en conséquence, et privilégiés dans le choix des cavaliers -on verra pourquoi plus loin-). Il y a encore 4 ou 5 ans, des techniques de course s’apparentant à des bouts vite aurait fait sourire tout cavalier de nationale. Cela change, semble-t-il.
Indéniablement, la locomotion induit un développement musculaire en conséquence. Des chevaux répétant des bouts vites vont logiquement développer une musculature privilégiant les fibres courtes (explosives, plus résistance qu’endurance), ainsi que les groupes musculaires responsables de ce que Daniel Olivier appelle l’impulsion pull (le concept développé est intéressant : l’impulsion serait push-pull, partagée de propulsion postérieure et de traction antérieure), dont le plus « évident » (au moins pour un sellier cavalier) est le trapèze thoracique. Sans même parler du cheval monté, l’observation montre que ce muscle est particulièrement développé chez les chevaux à dos naturellement concave et court (beaucoup d’arabes), ainsi que, pour ceux qui sont montés, chez les victimes de la rêne d’ouverture et de l’épaule en dedans (le trapèze thoracique est encore plus inducteur de la flexion latérale de l’encolure –antagoniste du trapèze cervical et du groupe splénius-serratus- que de la concavité du dos –antagoniste par l’intermédiaire des dorsaux du groupe gluteus attaché à la partie supérieure du fémur, cette connexion expliquant la contraction simultanée de ces muscles dans les soutiens des diagonaux associés-. Attaché à l’arête centrale du scapulum, il est foncteur de la tentative contrariée faite par le cheval à chaque pas de retrait vers l’arrière de l’antérieur que l’épaulendedantiste s’évertue à vouloir avancer).
Le trapèze thoracique contracté est le syndrome de la concavité (on envisagera autrement que comme dues à une « mauvaise selle » à partir de là les marques blanches sur le garrot…), de la douleur physique et de la résistance mentale.


Par hugues petel : le 19/05/09 à 14:09:06

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  Pour ma part, sans souci de performance, j’ai toujours privilégié le galop (plus efficace, moins fatiguant). Je n’ai donc jamais eu de chevaux avec une morphologie « de trotteur » (la diagonalisation associée est le summum du push pull, partant de l’observation qu’un cheval ne peut pas se tirer plus avec les antérieurs qu’il ne se pousse avec les postérieurs).
Je ne pratique jamais la rêne d’ouverture (vous souvenez vous, Ladd, de la désespérée cavalière qui essayait de faire tourner mon cheval en écartant la main?), ni l’épaule en dedans. Mes chevaux ne peuvent donc pas avoir ce type de morphologie.
L’équitation que je décris a entre autres buts d’amener la convexité du rachis du cheval, par la cession-décontraction de la mâchoire entraînant une certaine capacité d’élévation du dos, laquelle favorise la possibilité de flexion des articulations postérieures (cm, reculer).
La convexité latérale est obtenue par la rêne externe et les effets latéraux.
Sur le plan anatomique, le lien entre les deux extrémités du cheval est réalisé par le ligament suprarachidien qui est inélastique.
Rendre ce ligament convexe, par un développement musculaire approprié lié à des mouvements basés sur l’absence de résistance, entraîne ipso facto l’ouverture des apophyses supérieures des vertèbres du garrot et l’aplatissement du trapèze thoracique (ce n’est pas « ce que je souhaite », même si je trouve toujours préférables les chevaux à garrot, mais un fait consécutif à mon équitation, que je prends en compte). C’est ce que Karine et Jean Yves ont constaté sur mes chevaux, notamment ceux qui sont montés (j’ai deux jeunes juments issues de Fadasir –lignée Persik- qui ont une morphologie toute différente –garrot épais, dos musculeux- ; dans quelques années elles seront changées. Celle que je débourre actuellement est passée du licol –admettre un homme sur son dos- au pelham bouclé en bride dès les premiers pas montée -cm, quand tu nous tiens-…Donc au final des chevaux différents, mais avec des lignes de dos semblables).
Bien sûr, la dimension des apophyses est une donnée génétique, immuable. En revanche, la hauteur générale de ces vertèbres, dans les limites de ce que peut la nature, est une construction équestre (qu’il n’y ait pas de littérature sur le développement musculaire du garrot relativement à l’équitation pratiquée ne montre qu’une chose : le manque de selliers cavaliers « écrivains ») due à l’absence de clavicule et à la tenue uniquement musculaire de la ceinture scapulaire.
Pratiquer une équitation privilégiant la propulsion non réceptionnée par l’appui sur la main (cm), donc refusant la dimension « pull » (laquelle existe aussi bien chez les « dresseurs à l’appui » que chez les galopeurs en course dont on sait qu’ils nécessitent également la tension des rênes) ne peut que participer à l’amenuisement du trapèze thoracique.

La déhiscence horizontale globale du rachis, supérieurement bénéfique pour le cheval, ne peut pas laisser insensible un ostéopathe (j’ai eu l’occasion de faire une randonnée avec une ostéopathe qui m’a dit après quelques jours : « Toi, avec ton équitation, tu n’auras jamais besoin d’ostéo pour tes chevaux », sous-entendu, hors des pathologies « naturelles »).

La question de l’adéquation de cette morphologie, donc de cette équitation à « l’endurance » est intéressante.
Si l’on entend par « endurance » la capacité du cheval à aller loin, le plus vite possible, en conservant son intégrité physique et mentale, cette équitation est de loin la meilleure (je ne fais évidemment pas là référence à mes propres chevaux : il suffit d’un peu de culture équestre et d’observation des chevaux en général).
Si l’on entend par « endurance » la discipline officielle, les choses se compliquent sérieusement.
En effet, rendre un cheval capable de soutenir l’effort (y compris un galop rapide et long, la morphologie « garrot sorti » n’y est pas du tout incompatible) en conservant une attitude globalement convexe demande une « construction » de quatre ans. Les arabes étant des chevaux à maturité tardive, un cheval commencé à 6 ans est prêt à allier vitesse et distance à 10 ans.

Par hugues petel : le 19/05/09 à 14:10:44

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 Or, la logique de rentabilité commerciale des éleveurs (je ne leur jette pas la pierre, on sait qu’avoir des stocks, de chevaux ou d’autres choses, coûte cher) alliée à la logique de représentation de l’institution (vitale pour elle : l’inertie de la structure fait qu’elle croit encore qu’il faut paraître pour être. De fins analystes de la crise générale actuelle commencent à comprendre que le changement des habitudes de consommation est lié à un changement dans la hiérarchie des valeurs ; pour ma part, il y a déjà longtemps que je sais que la valeur est liée au sens, et le sens à l’usage : c’est pourquoi je considère toujours les cavaliers comme des gens intelligents) a conduit « l’endurance » à des aberrations comme les « épreuves jeunes chevaux » (que l’on réfléchisse à la portée sémantique de cet oxymore…) ou le « mondial des 7-8 ans ».
Il est parfaitement évident que des chevaux de cet âge ne peuvent pas courir autrement que sur leurs qualités génétiques, et certainement pas sur une construction des allures et d’une morphologie. En ce sens, « l’endurance » actuelle n’est pas une discipline équestre (la schizophrénie qui la porte depuis quelques temps explose aujourd’hui avec le ridicule de la multiplication des licences, des épreuves clubs –à quand 2 fois 5 km dans une carrière ?-, etc. La « multiplication » -des pains, par exemple- comme facteur de propagande à l’expansion des structures post-thaumaturgiques n’est pas un fait original : il est logique que l’institution veuille sa part sous prétexte de redistribution à ses affidés), mais une discipline d’élevage où les courses ne servent qu’à sélectionner les chevaux les plus « représentatifs » rapidement (le jihad moderne armé n’est là que pour mieux masquer le jihad financier, beaucoup plus intelligent).
Que des cavaliers se spécialisent dans l’optique de promouvoir des élevages n’est évidement pas condamnable (chacun doit vivre avec ce qu’il sait faire).
Ce qui est plus regrettable, c’est que structurellement (et de ce fait, c’est probablement inchangeable) l’institution n’enseigne pas la différence (il paraît que l’on s’aperçoit « à haut niveau » de la nécessité d’éduquer les chevaux, après avoir compris la nécessité d’instruire les cavaliers. Encore quelques temps et on se posera peut-être la question de savoir quelle éducation il faut donner aux chevaux –qui sera d’abord, en toute logique, celle institutionnelle, du pli- Pour l’autre, il faudra une certaine remise en question –vétérinaire, entre autres-).
Ce qui est regrettable pour certains cavaliers et pour l’institution l’est encore bien plus pour les chevaux.
Que deviennent ceux qui, nécessairement passés par le système officiel, n’ont pas les qualités requises ?
Va-t-on vers des « réformés des épreuves qualificatives d’endurance » comme il y a des « réformés des courses » (si l’on préfère, vers des chevaux vieux à huit ans)?


Grande histoire, passée et à venir, d’un petit muscle.



Par pascale : le 19/05/09 à 14:47:00

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 "Va-t-on vers des « réformés des épreuves qualificatives d’endurance » comme il y a des « réformés des courses » "

vs pensez que ce n'est pas déjà le cas? j'ai hélas l'impression que depuis 2/3 ans, on en est déjà là...

pour le reste, c'est un axe de reflexion trés intéressant....

Par veronik : le 19/05/09 à 16:18:17

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 À lire et re-re-re-lire
Merci Monsieur HP!

Par veronik : le 20/05/09 à 18:03:36

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 [Edité par Yann22_modo]

Par veronik : le 23/05/09 à 09:59:33

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 [Edité par Yann22_modo]

Par chris : le 23/05/09 à 17:36:33

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 Oui, pour les annonces, faut aller dans les ......... annonces

Par Yann22 : le 23/05/09 à 22:21:23

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 [Véronik, en effet, les annonces sur le forum sont prohibées]

Yann22_modo

Par veronik : le 26/05/09 à 11:55:46

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 Bonjour,
parfois les questions et les interrogations viennent
un peu à l'emporte-pièce.
En voilà une:

Dans la transition descendante trot-pas on agit en accompagnement.
Mais....l'accompagnement n'est-il pas le signe de confirmation d'une allure ou d'un geste?
Or là, dans cette transition, on ne confirme pas le trot, au contraire on veut le transformer en pas...

alors pourquoi un accompagnement?

MERCI!

Par SDE : le 26/05/09 à 12:19:23

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 Samedi j'ai fait une balade dans les sentiers doux et peu de dénivelés. J'ai commis l'erreur de surestimer mon cheval... je suis partie sans mors.
Mais (mea culpa) cheval pas travaillé depuis longtemps, il n'avait pas envie de partir, traînait, puis il s'est mis en tête de finir la balade le plus vite possible.

Du coup je me suis retrouvée secouée sur son dos, marchant à toute allure, poids en avant, lourd aux aides, bref je n'ai pas tardé à remettre le mors. après quelques minutes de travail, cessions, la précipitation s'est transformée en impulsion bien utilisée, le dos est monté, la légèreté s'est retrouvée,

Le cauchemar est redevenu rêve, on s'est fait de beaux galops arrondis,

pourtant le fond d'inquiétude était toujours là, en découvrant un tas de pommes talées jetées dans un coin, Lotus n'a pas voulu les manger, pendant la petite pause, il a refusé de brouter. Il ne pensait qu'à rentrer.

Ce qu'on a fait, en ordre et non plus en désordre.

Du coup, ça m'a encore plus remotivée pour travailler, car que de temps perdu !

Par veronik : le 27/05/09 à 10:31:08

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 Pour lutter contre la pression capillaire de mon "Alezan!", j'ai mis une épaisseur de mousse cahoutchouc.

Oui, pour le cheval c'est plus "soft", mais pour le cavalier, ca amenuise terriblement tous les ressentis entre cheval et mon assiette!
Pas terrible!

Mais quoi d'autre?

Par veronik : le 02/06/09 à 12:22:02

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 Je remonte le post par des reflexions sur les selles:

D'abord, j'ai viré cette épaisseur de mousse, car je me trouvais juchée sur un cheval! Trés mal!!

J'ai repris ma selle "Endurance", je précise, une vieille, donc avec siège dur (Là c'est sans vraiment de différence), et panneaux aussi en mousse dure.

Alors que je trouvais que j'étais vraiment bien sur la YO, (ce qui demeure), je suis passée à la Endurance sans aucun souci, sauf que ma position de bassin est venue plus verticale, spontanément.

Mais surtout je viens de remarquer une différence (pour moi) de taille:

Je trouve dans la Endurance une grande précision , qu'il me semblait ne pas être aussi aigue sur la YO.
Rêve ou réalité?

Comment peut-on être bien sur 2 selles si différentes?
Mauvaise équitation?
adaptabilité?

Ce matin nous avons fait des exercices de: Pas-Arrêt-Galop, Pas-Arrêt-Reculer-Galop.
Je sais que c'est ce que vous conseillez de faire avant le trot, mais....je n'étais pas prête, je n'osais pas......

Eh bien, ca n'a rien à voir avec ce que je faisais quand je préparais mon 2d degré et après (Eh oui, les degrés, ca date ), ou le cheval pour partir de l'arrêt au galop s'extrirpait de l'arrêt pour galoper.

Ici, sans doute avec le travail antérieurement fait (?), il ne se passe rien, sauf que le cheval déplace ses 4 "pattes" dans la séquence du galop, au lieu de prendre la séquence du pas....c'est aussi simple que celà!

Vous pouvez me repréciser les différentes positions de bassin dans cet enchainement afin que je purifie mon attitude, et faire un parallèle avec les 2 selles, ainsi que le timing des doigts.

Merci infiniment de vos conseils!

Par hugues petel : le 02/06/09 à 12:56:26

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La transition trot/pas est une excellente approche didactique, par la symétrie de l’allure, de la nature spéculaire et temporelle du rachis.


Le cheval répond toujours à la dernière indication perçue compatible avec une traduction en terme de locomotion.
La locomotion est transformée par le cheval pendant le soutien du membre, pour être effectuée dans le poser suivant.

Accompagner le poser d’un diagonal au trot confirme la diagonalisation, donc la continuation dans la structure de l’allure, tant que la fermeture des doigts ne va pas au delà du temps du poser (avec un peu de finesse, on peut jouer avec la durée du poser –antérieur en avant ou en arrière de la verticale-, ou plus subtilement encore avec le futur poser en anticipant dans le soutien précédent ; les effets sur la vitesse et l’impulsion du trot peuvent ainsi être considérables).

Si la fermeture des doigts perdure au delà du temps du poser (un « instant » suffit), le nez maintenu (chez un cheval éduqué à la cm, le « maintien » est possible par la seule variation de la demi-tension de la rêne) du côté du poser suffit à créer un pli au delà de la logique temporelle du trot, lequel pli suffit pour dissocier le diagonal au soutien -poser plus tôt du postérieur et/ou plus tard de l’antérieur- et provoquer le pas.
Il est essentiel de comprendre que l’effet indirect créé par le diachronisme de l’accompagnement prolongé et/ou décalé est infiniment plus puissant sur le corps/psychisme du cheval que l’action directe de l’accompagnement limité au temps du poser (structure mentale identique à l’approche latérale).

Dans la logique structurelle du trot, où le nez va du côté de l’antérieur au soutien par rotation du rachis, accompagner le poser dans la limite de sa durée revient à s’opposer au mouvement naturel du nez –d’où l’effet sur les corollaires de l’allure- mais non à la logique temporelle -d’où l’absence d’effet sur la structure-.
Cette « inversion » des effets d’une logique à l’autre consécutive à l’hystérésis au sein de chaque logique est un résultat de la particularité rachidienne du cheval, qui, par delà les lois invariantes de la locomotion, est conative de la représentation que le cavalier a de soi-même.
Le miroir inverse les logiques comme il inverse les latéralités (le côté droit de l’image spéculaire est le côté gauche de la représentation mentale du réel).
La latéralisation étant un corollaire du langage, il est dès lors assez facile de comprendre la résistance mentale du cavalier aux signes (en termes saussuriens le signe est l’association bilatérale du concept et de l’image mentale) du cheval (voir sur le forum dressage « rébellion contre la muserolle », ou le forum éthologie en général).

Un autre exemple de l’inversion spéculaire des latéralités nous est donné par Karine :
Lorsqu’elle est venue avec son cheval, nous avons constaté qu’il « manifestait » son incompréhension en pliant son encolure vers la gauche (un cheval monté rênes tendues n’aurait pas cette liberté d’expression, ce qui rassurerait peut-être le cavalier mais masquerait le problème du cheval). Je lui ai expliqué la technique employée par les ostéopathes pour résoudre ceci (ce qu’a dû faire Lionel Payen) et indiqué une méthode simple pour amener le cheval à se redresser (essentielle sur les chevaux au débourrage qui montrent souvent ce comportement).
Ce qui est intéressant, c’est que Karine nous dit dans un message qu’elle pensait (donc qu’elle se représentait) le problème du côté gauche, et non à droite.

L’inversion des logiques, facile à percevoir et à comprendre sur le plan latéral, fonctionne également au niveau horizontal, sur un diachronisme plus court (interne à la foulée) et un diachronisme plus long (plusieurs années), comme je l’ai indiqué dans mon précédent message.
Ce sera d’autant plus facile que la verticalité de la selle sera plus marquée et la transmission plus rapide.

 

Par veronik : le 02/06/09 à 15:40:00

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 Merci pour ces explications sur l'accompagnement, je réfléchis pour bien intégrer!

Par veronik : le 08/06/09 à 13:30:52

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 Bonjour,

Vous avez un jour dit ici, que c’était positif quand les cavaliers cherchent à réfléchir.
Mais c’est aussi très perturbant, car quand on croit avoir compris quelque chose, on se rend compte que l’on est face à une terre encore inconnue. Je parle de mes propres ignorances, bien sûr.

Alors je reviens sur l’accompagnement.

Dans vos “jeux”, vous dites: „au poser d’un Ant., au pas, fermer les doigts“ et ceci est un accompagnement.
Comme le cheval tend son nez du côté ou l’Ant. se lève, quand il lève à gauche, l’Ant. droit est en fin de poser.
Donc si on ferme les doigts au poser de cet Ant. Droit, on „contrarie“ le mouvement naturel du nez qui part à ce moment à gauche.

Alors le mot “accompagnement”.......... c’est l’accompagnement du movement du membre du cheval, et non pas du mouvement naturel du nez??
Donc c’est un accompagnement du mouvement des membres, et par consequence un “contre-accompagnement” du mouvement naturel du nez du cheval.

Et c’est donc par la contrariété du mouvement naturel du nez du cheval qu’il crée une action ralentissante.??

Si c’est correcte, je dois dire que je me suis bien remué les méninges pour enfin comprendre accompagnement de quoi, avec quelles consequences…..

Merci de m’aider dans cette comprehension.


Autre question, pour la selle Endurance: pourquoi quand mon cheval est bien arête (les 2 post. Ensemble sous la masse) alors que l’arrière main, étant engage, je devrais la sentir plus basse, pourquoi cette attitude “force” l’antéversion??
C’est le ressenti de ce matin.

Par veronik : le 08/06/09 à 15:10:57

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  Oh lá là, j'avais préparé un texte Word pour ne pas avoir de soucis.........
Et Word ne passe pas!!!!!!
Ou mal!!
En fait il faut enlever tout ce qui est chiffres et signes qui se sont intercalés, je ne sais pourquoi.
Désolée, je n'ai même pas accès au texte: pas d'édition possible!




Par veronik : le 09/06/09 à 11:17:57

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 Bonjour,
suite:

Monter avec un tapis épais sous la selle: définitivement non!....ou alors autant avoir une selle fabriquée au Pakistan....!

Selle Endurance/YO:
sur la selle Endurance, mes jambes se posent plus en arrière...?? que sur la YO: logique ou faux?

Par lyra : le 09/06/09 à 12:12:42

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Bonne question-analyse Véro!

ça m'intéresse aussi de savoir pourquoi fermer les doigts a la pose de l'antérieur!

je n'ai pas tout suivit au sujet du tapis mais perso j'ai acheté un tapis chez HP avec pad! ils sont très bien dégarrotés ....moi j'aime....
tellement que j'en ai pris un autre + long pour faire de grandes randos chargée....
et pour que les crins ne se coincent pas sous le tapis au cas où, je rase 10cms de la crinière ....

je n'ai pas tout lu alors je suis peu être HS!
excusez moi si c'est le cas!

Par veronik : le 09/06/09 à 13:43:54

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 Salut lyra.....ca faisait longtemps.

La réponse pour le fermer des doigts à la pose e l'ant., HP l'a fait un peu plus haut. remonte et tu verras.

mais je me suis turlupiné l'esprit entre ce qui est "accompagnement d'un geste" (fermer doigts au popser, , et par conséquence qui est aussi "contre-accompagnement du mouvement naturel du nez du cheval (qui va de l'autre côté, celui ou l'ant. se lève.

Alors quand on dit "accompagnement".....de quoi parle-t-on: de l'accompagnement du mouvement des membres (ca semble être ca) ou accompagnement d mouvement naturel du bout du nez??????????
Car au pas, ce qui est accompagnement de l'un est de facto contre-accompagnement de l'autre!

Grave les cavaliers qui réfléchissent trop ou mal

Quel est l'épaisseur du tapis rembourré de HP?
Car je viens de faire des tests: une horreur, j'ai l'impression d'être à 10 km du dos de mon cheval......
À bientôt

Par lyra : le 10/06/09 à 09:43:23

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Moi j'aime bien quand les cavaliers réfléchissent, malheureusement parfois je me perd et je décroche!


Oups..... là j'y vais avec des pincettes avec les chiffres...corrigez moi si je fais erreur!

disons 2 cm d'épaisseur (pad + les couches de sympatex)

ce sera toujours trop épais pour la communication avec le cheval......
peu être que HP a une solution....

peu être sans pad!
peu être sans tapis du tout?

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