Comment gérer sa mère?
Sujet commencé par : camille967 - Il y a 147 réponses à ce sujet, dernière réponse par lapatateuh2 personnes suivent ce sujet.
Par camille967 : le 23/07/15 à 19:09:51
Dire merci | Je créé ce post pour exposer une situation conflictuelle et pour avoir des avis, des conseils, des partages d’expériences ou qu’importe ce qui vous passe par la tête et qui peut être pourra m’aider à y voir clair. Alors désolé le texte est assez long mais la situation est difficile à décrire. Je comprends que vous n’alliez pas jusqu’au bout. Pour comprendre la situation, une petite présentation s’impose. Voilà, j’ai 24 ans, je suis la dernière d’une famille de 3 enfants (j’ai deux grand frères) et je vis toujours pour le moment avec ma mère et mon petit copain. Mes parents ont divorcé lorsque j’étais toute petite et j’ai toujours vécu avec ma mère et mes frères. Ma mère a « refait » sa vie avec un homme. En fait je crois qu’ils ont dû se séparer et se remettre ensemble une 15aine de fois (en ce moment ils ne sont plus ensemble mais se voient régulièrement pour mon plus grand malheur). Le problème est le suivant : ma mère fait toujours des « crises ». Comment décrire cela en quelques lignes… Disons que dès que quelque chose ne va pas lui plaire (cela peut être n’importe quoi, je donnerais des petits exemples) elle va se mettre à me le faire payer… Par ailleurs cela est réalisé de manière plus ou moins subtile. Pour illustrer : Aujourd’hui mon ex beau-père devait planter un arbre dans le jardin mais finalement il a du se déplacer pour voir son fils. Du coup, depuis ce matin elle me fait la gueule. Elle ne m’adresse plus la parole, me parle de manière agressive, s’enferme dans sa chambre pour bien montrer qu’elle est fâchée. Elle mange sans moi et fais exprès de faire à ma place mes tâches du jour pour me faire culpabiliser.. En fait c’est très dur à décrire comme comportement. Par exemple elle m’a demandé un chèque. Comme je l’ai pas fait à la minute, elle entre dans ma chambre sans me parler et ouvre tous mes tiroir pour le prendre (soit dit en passant elle sait très bien dans quel tiroir il se trouve mais ça fait plus théâtral de tout ouvrir et jeter par terre). De plus, elle a tendance à tout détourner sur elle. Par exemple, cette année je passais un diplôme très important pour moi et j’étais très stressée du coup elle pleurait en disant que je ramenai tout ce stress à la maison et que j’avais qu’a abandonné c’était plus simple. Dès que je fais une sortie avec des amis ou encore pire la famille de mon copain, elle me reproche de préférer faire des trucs avec eux et que si je les préfère j’ai qu’à aller habiter chez eux, l’abandonner, la laisser mourir (ben oui vu qu’elle a eu un cancer il y a 15 ans bien soigné : dès qu’elle a un rhume ca y’est c’est un cancer du nez, quand elle pète c’est un cancer des intestins, quand elle est fatiguée c’est un cancer du cerveau et j’en passe…). Depuis toute petite elle me fait du chantage au suicide et j’en suis évidemment très sensible. Du coup, je n’ose plus rien faire ou du moins je ne lui en parle pas sinon elle va faire une crise. Je passe mon temps à essayer de lui faire plaisir, à peser tous mes mots, mes actions. Et j’avoue n’en plus pourvoir. Ce qui me fait rager c’est qu’en présence d’autres personnes elle se transforme en personne charmante, très drôle et agréable. De plus, elle peut également l’être dans la vie quotidienne mais cela n’est que passager avant la prochaine crise qui apparait pour un oui ou un non… De plus, elle à réellement un bon fond et est toujours prête à aider les gens. Je suis complètement lassée, énervée, déprimée, triste (rayer la mention inutile) de cette situation je ne peux me reposer sur personne. Mon père, bien que très gentil, reste très discret peu joignable et surtout hermétique a tout ce qui touche de près ou de loin à ma mère qu’il déteste par-dessus tout et ne lui a plus jamais adressé la parole depuis le divorce. Mes frères me direz-vous : voilà tout ce que je possède : Un frère extrêmement lunatique, qui enchaine les conneries et apparait que lorsqu’il a besoin d’argent ou de l’aide pour des papiers. Le second est diagnostiqué schizophrène et n’est pas capable de gérer ce genre d’émotion et cela se transforme en dépression. Il est donc tenu à l’écart de ces considérations. Du temps ou mon beau père était là, il prenait pas mal de crises sur lui et c’est bien ce qui l’a fait partir mais désormais il n’y a plus que moi sur qui passer ses nerfs (surtout que je suis du genre gentille toujours de bonne humeur donc c’est plus facile d’attaquer quelqu’un comme ça) Mon copain m’a souvent dit que lui il n’hésiterait pas à l’envoyer chié si c’était sa mère. Mais j’en suis incapable j’ai toujours peur qu’elle soit triste, qu’elle veuille se suicider comme elle le dit. Je sais que ma mère n’a pas eu une vie facile avec notamment un « abandon » de ses parents dans l’enfance puisqu’élevée par sa grand-mère les premières années de sa vie, un divorce, de multiples ruptures avec le même homme, un cancer du sein, le suicide de son père et doit gérer constamment sa mère qui est réellement méchante et dépressive. Je ne sais pas ce que j’attends de ce post, peut-être un moyen de faire sortir toute la colère que j’ai en moi, l’espoir de trouver une solution ou je ne sais quoi mais j’avoue qu’en ce moment j’ai juste envie de l’assassiner (ce que je ne ferais pas évidemment je l’aime trop :ange… |
Par Loarghann : le 07/08/15 à 13:00:30
Dire merci | bonne route camille ! et bonnes vacances ! |
Par Colomba : le 07/08/15 à 13:01:55
Déconnecté Dire merci | Les filles concernées, que ce soit avec ou sans votre consentement, vous etes sous "emprise" de votre mère, meme si vous en etes conscientes (ce qui est déjà bien). J'ai vécu ça aussi, dans un cadre et face à une personnalité totalement différentes, vos mères vous "tenant" plutot par le chantage affectif qu'autre chose. Moi c'était autre chose, mais l'emprise était très forte aussi, et j'étais partagée comme vous entre des sentiments très négatifs et des sentiments positifs, le tout faisant un joyeux méli mélo affectif... Et du coup, je rejoins la personne (Camille je crois) qui dit que cette situation, vécue depuis l'enfance, influence l'évolution des personnalités. Je dirais meme "inscrit les chaines dans notre subconscient". On est comme de la pate a modeler, modelée avec ça... très dur de s'en défaire, comme tout ce qu'on a mis dans notre "biberon". J'ai mis heu.......... près de 40 ans, et en présence de cette personne, je n'ai jamais le recul nécessaire. |
Par Pampille : le 07/08/15 à 22:51:34
Dire merci | Très intéressant ce rejet total du statut de "victime" de la part de tout le monde... Ca fait l'unanimité dans les deux camps, personne ne veut en être... Et pourtant?!? Victime, forcèment que tout enfant enfermé et contraint à se construire à l'ombre d'une telle relation néfaste l'a été, à un moment ou à un autre. Et même par la suite: Mettre 40 ans à panser ses plaies, être instable dans ses relations amoureuses, être obligée de passer des années par la case thérapie pour pouvoir vivre sereinement, mentir, cacher ses bonheurs... Si c'est pas un préjudice ça? Si c'est pas être une victime quelquepart? Faut qu'on m'explique... Mais bon, unanimité du propos chez Kat, chez Camille, chez Déjàvu: "Moi, je ne suis pas une victime". Effectivement, on appuie sur le point qui fait mal. Y a bien une dizaine d'années de ça, je discutais régulièrement cinéma avec un collègue cinéphile (et je l'étais énormément aussi à cette époque). Notre dada, c'était les films indépendants à tendances sociales et de nos échanges, mon collègue m'avait dit un jour: "C'est étrange mais dans toutes tes analyses, tu es complètement intransigeante envers la faiblesse chez les femmes". Il avait posé ça, probablement sans savoir quel echo ça aurait chez moi... Mais ouais, c'est le point commun à toutes ces mères: Elles mettent en avant leurs faiblesses et se posent toujours en victime... Pas étonnant qu'aucun de leur progéniture ne supporte d'être renvoyé à ce statut, quelle que soit la façon dont il l'exprime, chacun à sa manière, en mode offensif ou en mode défensif. Message édité le 07/08/15 à 22:51 |
Par coccina : le 07/08/15 à 23:04:22
Dire merci | Une victime elle subit, et elle se sent coupable de pas réussir à changer ça. Puis ya ceux qui les font culpabiliser, en sous entendant une faiblesse (ce qui est particulièrement idiot). On a l'impression qu'on est con quand on est victime. Et on se sent plus fort quand on n'en est plus. Message édité le 07/08/15 à 23:04 |
Par Pampille : le 07/08/15 à 23:07:03
Dire merci | Ca c'est ton interprétation Coccina. En réalité, une victime, c'est une personne qui a subi un préjudice, rien d'autre. |
Par Kat... : le 08/08/15 à 00:24:50
Dire merci | Il avait posé ça, probablement sans savoir quel echo ça aurait chez moi... Mais ouais, c'est le point commun à toutes ces mères: Elles mettent en avant leurs faiblesses et se posent toujours en victime... Pas étonnant qu'aucun de leur progéniture ne supporte d'être renvoyé à ce statut, quelle que soit la façon dont il l'exprime, chacun à sa manière, en mode offensif ou en mode défensif. Je trouve ces propos de pampille particulièrement interressants . Tu soulèves une vérité, en tout cas quelque chose dans lequel je me reconnais. Je suis dans l'opposition totale (je ne le nie pas du tout) vis à vis de ce comportement qu'à ma mère face à "l'adversité" . Je cite un exemple, j'avais 13/14 ans : un jour que la voiture avait du mal à démarrer alors que nous partions simplement faire une course sans quelconque caractère d'urgence, je l'ai vu remonter en trombe à l'appart, hurler (aussi fort que quelqun puisse hurler!) et pleurer toutes les larmes de son corps en se frappant la tête avec un annuaire (les pages jaunes - je reverrai cette scène complétement disproportionnée toute ma vie je crois) à une trentaine de reprise en maugréant "pourquoi la vie s'acharne toujours sur moi ?" "qu'est-ce que j'ai donc fait au bon dieu pour mériter ça"... et j'en passe... Tout ça pour une voiture qu'elle avait juste noyé en insistant et qui a redémarré 10 minutes plus tard sans difficulté.) . Bref, j'ai pris le contre pied complet en faisant de chaque contrariété, une épreuve pour avancer, et les sentiments de colère qui en découlent un moteur pour changer les choses. Je crois que ça dépends de ce qu'on met derrière le mot de "victime" en fait, car malgré l'explication de texte ensuite qui me contait par A + B, que ça voulait juste dire "être en souffrance", ce qui m'a fait bondir sur les propos de départ c'était le "tempérament de victime". Cette locution là, elle est traitre, car elle ne suggère pas que l'on est victime par essence / naissance / hasard de la vie, mais qu'on se ressent/comporte comme tel. Et pour moi la nuance elle est énorme. |
Par Colomba : le 08/08/15 à 09:29:24
Déconnecté Dire merci | C'est très bien vu Pampille Dans un autre genre, le mari d'une amie m'a mis une énorme claque il y a quelques années, en me disant un jour (ou ça n'allait pas du tout): "Tu es responsables de ce que tu acceptes. Si ce que tu acceptes n'est pas acceptable, tu n'es plus respectable, et surtout pas pour toi meme". Il avait entièrement raison, et j'ai réalisé a quel point j'étais, depuis toujours, derrière ma faculté a encaisser depuis toujours, responsable de l'évolution de certaines situations répétitives. C'est là qu'on touche a la véritable estime de soi... |
Par coccina : le 08/08/15 à 09:32:11
Dire merci | "Si ce que tu acceptes n'est pas acceptable, tu n'es plus respectable, et surtout pas pour toi meme". Et voilà le genre de mec qui mérite un poing dans la gueule : la victime coupable. ça m'énerve ça, et pas qu'un peu. |
Par sheytana : le 08/08/15 à 09:37:03
Dire merci | Je le prends pas forcément comme une façon de culpabiliser la victime, mais surtout de faire comprendre qu'on ne peut pas changer les gens. Par contre, on peut changer notre relation avec eux, notre attitude, et ça fera changer aussi la leur... Dans ce sens, c'est à nous d'agir, et de ne plus tolérer... Et HEUREUSEMENT !!!! Sinon ça voudrait dire qu'il n'y aurait aucun moyen de s'en sortir... |
Par coccina : le 08/08/15 à 09:48:03
Dire merci | ça tu peux le dire sans violenter la personne en face. Parce que dire à qq1 qu'il est pas respectable, c'est violent. C'est tout. |
Par Kat... : le 08/08/15 à 10:32:43
Dire merci | Ah ben voilà qui redevient intéressant et constructif ! Victime on l'est dans le sens où on a été parachuté là sans rien demander à personne... Quelque part on l'est tous par notre naissance avec des séquelles plus ou moins graves. Maintenant là où le terme victime est dur à entendre (mais en grande partie par rapport à ce que met pampille en avant), c'est qu'on se débat pour s'en sortir et que malgré tout, même avec des bases bancales on arrive à se construire plutôt bien. Par contre comme tout château de carte ou de sable avec des fondations "bricolées", il faut reconnaître que de temps en temps tout de casse la gueule, alors on reconstrui tout, pierre après Pierre en essayant d'améliorer ce qui a failli. Des fois ça marche, des fois non... On tâtonne. Il manque des données essentielles alors on improvise au mieux. |
Par karine : le 08/08/15 à 12:13:44
Dire merci | coccina , je suis pas d'accord avec toi c'est pas la victime coupable mais simplement accepter que si on accepte quelque chose que l'on considère soi même comme inacceptable on ne se respecte pas derrière ça il y a des milliers de choses ... pas du tout culpabilisantes au contraire... Culpabiliser c'est l'inverse d'agir (et pour le coup je connais bien ce sentiment qui est la base de ma vie et dont j'ai affreusement besoin de me séparer j'y travaille! ), j'ai l'impression que ça nous oblige à l'inaction parce que dans cet état faire qq chose nous amène à la culpabilité ! Donc pour moi il faut commencer par ne plus culpabiliser, après on peut discuter action Et oui le statut de victime est mal considéré dans notre société entièrement, il n'y a qu'à voir comme il fait réagir être victime ce n'est pas être inférieur à l'autre |
Par Kat... : le 08/08/15 à 13:01:32
Dire merci | Sauf que quand on a été élevé dans un contexte ultra culpabilisant, s'entendre dire qu'on n'est pas respectable ne vient qu'enfoncer une porte ouverte quoi ... Toute notre vie on a entendu qu'on faisait du mal à notre entourage, qu'on n'était pas de bons enfants, alors finalement, un peu plus ou un peu moins... Les mots ont de l'importance, et dire qu'on n'est pas respectable raisonne différement dans la tête de celui qui le reçoit que '"tu ne te respectes pas". Donc pour moi il faut commencer par ne plus culpabiliser, après on peut discuter action Ne plus culpabiliser passe déjà par pas mal d'actions ! Par ce que si ça n'était qu'une simple question de volonté, nous n'en saurions pas là |
Par karine : le 08/08/15 à 13:27:03
Dire merci | kat... Pour le coup je parlais essentiellement pour moi quant au fait de déculpabiliser d'abord Je en suis pas dans vos vie et je n'ai pas la prétention de les comprendre, je ne peux que faire un parallèle ! Maintenant je n'ai pas vos histoire familiale, c'est un vécu personnel qui fait que j'ai tendance à la culpabilité et que je sens que c'est un vrai blocage dans la vie (ou une vraie excuse pour ma part ce qui est certainement un autre problème). Pour la respectabilité, je comprend tout à fait que c'est difficile à entendre/écouter et de premier abord c'est effectivement assez dérangeant, maintenant je ne suis pas certaine que cela eut été la volonté de ce monsieur... parfois il faut aussi se faire secouer un peu, le prendre mal être écoeurée pour aller mieux ensuite... |
Par Kat... : le 08/08/15 à 15:23:34
Dire merci | On ne peut plus éditer ses propres messages ? Mes fautes d'orthographe me brûlent les yeux |
Par coccina : le 08/08/15 à 15:41:26
Dire merci | Je rejoins kat, ya une grande différence entre "tu ne te respectes pas toi même " et "tu n'es pas respectable". si on n'est pas capable d'être psychologue on se tait... même si on veut bien faire. Des remises en questions difficiles, j'en ai eu des tonnes, chez les psy que j'ai vus, pas un seul ne m'a bousculée, jugée, forcée, c'est venu de moi, parce qu'ils ont su m'y amener en temps et en heure. Quel intérêt de forcer les choses? Et je suis certaine que n'importe quel bon psy est capable de ça. Alors si on sait pas faire, on s'abstient, parce que si des fois ça marche, souvent on fait des dégâts supplémentaires et inutiles. |
Par camille967 : le 26/08/17 à 11:19:47
Dire merci | Bonjour, bonjour, Je remonte mon post pour donner quelques nouvelles. Avec mon copain nous avons déménagé et la ... magie.... la relation s'est beaucoup apaisée. Mon copain qui est capable de relativiser m'a beaucoup aidé a prendre mes distances. C'est sur qu'il y a eu quelques crises mais étant donné quelle ne pouvait pas me voir pleurer, ou voir le mal quelle me faisait, je ne suis plus restée sa petite chose sur qui passer ses crises.. Hélas toute bonne chose a une fin. Nous avons acheté un appart avec mon copain mais il est actuellement en travaux. Pour éviter d'avoir a payer le loyer et le crédit en même temps, nous sommes retourner vivre chez ma mère. Ça fait maintenant 4 mois. Jusqu’ici tout allait bien. Et la.... catastrophe, ça recommence. Elle est rentrée de mauvaise humeur et tout ce qu'on a pu dire dans la soirée a été enregistré et déformé dans sa tête. Elle a attendu ce matin que mon copain parte faire des travaux pour me sauter dessus et ne pas ma lâcher tant que je pleure pas.... "Vous pensez que je suis vieille et moche et conne. Vous avez qu'à aller chez les parents de Nico qui sont riches, beau et jeunes" "je me retiens de me suicider parce que tu es enceinte mais bon comme tout le monde me méprise je sais pas pourquoi j'attend" "vous êtes ici juste parce que vous en avez besoin après je ne vous verrais plus comme d'hab (je tiens à préciser que même quand on était à l'appart je l'appelais tous les soirs et j'allais la voir toutes les semaines...)" "Je ne verrais jamais le bébé parce que vous avez honte de moi et que c'est mieux les parents riches de Nico (soit dit en passant ils ne sont pas riches et elle a plus de biens qu'eux....)" Voila donc super samedi matin à pleurer (les hormones n'aident peut être pas...) et à revivre tout ce que je pensais avoir laissé bien derrière moi... Vivement la fin des travaux (même si je pense que le jour du déménagement va être encore un massacre...) |
Par ninicoton : le 26/08/17 à 12:48:01
Dire merci | Il te reste combien de temps avant d'emménager dans votre appart ? Une autre solution de logement n'est pas envisageable ? |
Par SDE : le 26/08/17 à 12:50:07
Déconnecté Dire merci |
Par Colomba : le 26/08/17 à 14:23:28
Déconnecté Dire merci | coccina Parce que dire à qq1 qu'il est pas respectable, c'est violent. C'est tout. je me réveille deux ans après, j'avais pas vu. Je ne suis pas du tout d'accord avec toi : c'est violent de se prendre ça dans la gueule, c'est vrai, mais c'est aussi ce genre de claques qui te fait réaliser et avancer. Car ce qu'il disait est vrai. Et c'était salvateur, car il mettait en avant le fait que tu es responsable d'accepter l'inacceptable : c'est salutaire. |
Par Colomba : le 26/08/17 à 14:25:30
Déconnecté Dire merci | [usercamille[/user] excuse moi mais ta mère n'set pas nette, elle est clairement névrosée. Tu ne la changeras pas. Tout ce que tu peux faire, c'est comprendre que ce n'est pas toi qui est en jeu la dedans, elle est malade... |
Par coccina : le 27/08/17 à 08:26:30
Dire merci | C'est marrant mais deux ans après je reste sur ma position et trouve que cette phrase est un jugement alacon, qui enfonce plus qu'il n'aide. Je me demande toujours qui sont les gens pour croire aider l'autre en mettant des tartes dans la gueule. Mais bon, ma foi, c'est qu'un avis, alacon également ^^ |
Par Colomba : le 27/08/17 à 09:52:24
Déconnecté Dire merci | Peut etre que c'est toi qui voit des tartes dans la gueule partout (comme beaucopu de gens dans notre société aujourd'hui). Moi je n'ai pas du tout l'impression de mettre des tartes dans la gueule. Et meme, je pense que ça aide, et comme tu as pu le constater sur l'autre post, je trouve ça salutaire, et j'aime personnellement qu'on me dise les choses, y compris quand elles ne sont pas agréables a entendre, du moment qu'elles m'aident a avancer. Je crois que des tartes dans la gueule, l'auteur du post s'en prend tous les jours et depuis toujours réellement. On en revient au bout du compte a ma grande question : qu'est ce que la gentillesse? Message édité le 27/08/17 à 09:54 |
Par crazyofhorse : le 27/08/17 à 14:08:20
Dire merci | Tiens, ce post est fait pour moi... Pour moi qui chaque jour me pose la question de comment gérer une relation mère/fille avec une mère qui devient toxique et chronophage |
Par dejavu : le 27/08/17 à 19:20:25
Déconnecté Dire merci | La réponse est souvent: couper le cordon... et le téléphone si besoin est... courage camille967 . écoute les conseils de ta mère et allez chez les parents de ton copain ;-) |
Par crazyofhorse : le 27/08/17 à 21:29:54
Dire merci | J'essaye mais c'est pas aussi simple que ça... |
Par lapatateuh : le 27/08/17 à 22:19:23
Dire merci | Je vais me faire avocat du fiable mais en même temps tu prends ta mère quand ça te va et la jette le reste du temps. Elle est bien sympa de vous avoir ouvert les portes une nouvelle fois. Cest jouer aves des sentiments quand on voit à quel point elle est sensible depuis le début. |
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