Conversation intellectuelle
Sujet commencé par : coccina - Il y a 45 réponses à ce sujet, dernière réponse par swannPar coccina : le 02/11/16 à 11:50:12
| Dire merci1 | Pas vu de sujet là dessus. Lien Me suis dit qur ça pourrait vous intéresser et éventuellement vous servir... Dans le cas particulier de la crise de cette fin de siècle, on ne peut se passer de prendre en considération la totalité des problématiques déjà en notre possession. |
Par phil50 : le 02/11/16 à 11:52:58
Par chris : le 02/11/16 à 11:53:23
| Dire merci |  Nonobstant la dégradation observée, je recommande de comprendre la totalité des organisations matricielles emblématiques, parce que nous le valons bien.  |
Par cyberds : le 02/11/16 à 11:56:32
| Dire merci | Tant que durera cette rigueur générale, il serait intéressant de comprendre la globalité des ouvertures s'offrant à nous, parce qu'il s'agit de notre dernière chance.  |
Par kimimila : le 02/11/16 à 12:08:07
| Dire merci | Tant que durera l'austérité de ces derniers temps, il faut de toute urgence caractériser certaines stratégies évidentes, parce que nous ne faisons plus le même métier. |
Par Nirvelli : le 02/11/16 à 12:32:18
| Dire merci | Afin de circonvenir à la situation contextuelle, nous sommes contraints de revoir les principales modalités de bon sens, très attentivement.  |
Par sheytana : le 02/11/16 à 13:13:56
| Dire merci | Dans le cas particulier de la morosité induite, je vous demande de caractériser les relations des alternatives imaginables, parce qu'il s'agit de notre dernière chance. |
En lignePar malaka4 : le 02/11/16 à 13:20:38
| Dire merci | Où que nous mène la crise actuelle, il est préférable d'analyser les principales organisations matricielles opportunes, dans une perspective correcte. |
Par sabah12 : le 02/11/16 à 13:47:20
| Dire merci | Eu égard à l'austérité générale, il est préférable de prendre en considération la simultanéité des alternatives s'offrant à nous, parce qu'il est temps d'agir. |
Par Erzebeth : le 02/11/16 à 13:51:33
| Dire merci1 | Ca me fait penser à ça: Ce gars organise des ateliers de désintoxication à la langue de bois où il utilise ce système de cartes avec des mots vidés de sens à mettre les uns à la suite des autres pour montrer comment on enfume les gens avec des phrases pompeuses. |
Par pascale : le 02/11/16 à 13:52:22
| Dire merci | Excellent!  |
Par Assimilee : le 02/11/16 à 14:04:54
Par dilou : le 02/11/16 à 14:28:03
| Dire merci | MDR !! |
Par Ludivine73 : le 02/11/16 à 15:45:28
| Dire merci | Eu égard à la morosité observée, il faut de toute urgence appréhender la plus grande partie des alternatives évidentes, même si nous devons en tirer des conséquences. |
Par swann : le 02/11/16 à 16:36:29
| Dire merci | c'est pas la peine que je joue, je prends n'importe quelle phrase de nos intervenants de la "formation" Réforme du Collège...et ça donne à peu près ça |
Par attilio : le 02/11/16 à 16:50:25
| Dire merci | Si vous voulez mon avis concernant la dégradation générale, il serait bon d'inventorier la totalité des voies déclinables dans une perspective correcte. Traduction : comment on va sortir de cette merde ? |
Par coccina : le 02/11/16 à 19:24:00
| Dire merci | Ensuite, on peut passer la phrase dans un débilitexte.... Du fait de la sinistrose qui est la nôtre, on se doit de s'intéresser à l'ensemble des issues de bon sens. Lien Du moulin à poivre de la peau de renard qui est la flatulence, on se doit de se purifier à l'ensemble des jambes arquées de bon sens. |
Par sheytana : le 02/11/16 à 19:31:07
| Dire merci | Je comprends mieux maintenant certains postes  |
Par poupete : le 02/11/16 à 19:31:12
| Dire merci | Dans le même genre, j'adore Pipotronic , pour briller en réunions Lien |
Par Chrysalis : le 02/11/16 à 20:48:20
| Dire merci | hin hin... bah je préfère etre con que de me faire des noeuds a la langue  |
Par lisis : le 02/11/16 à 21:03:23
| Dire merci | Trop fort |
Par chris : le 03/11/16 à 11:33:56
| Dire merci | ptdr le professeur Rollin |
Par chris : le 03/11/16 à 11:38:06
| Dire merci | "Souvent, pour s'étouffer, les cartes téléphoniques d'équipage Prennent des cheveux cassants, vastes oiseaux des flash-balls, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les glaviots amers." |
Par kazoar : le 03/11/16 à 12:41:25
| Dire merci | Pt** mais trop bien ce truc !!!! Fini le stress de la réunion avec les questions à la con à la fin, je laisse ce truc m'écrire la conclusion et le temps que tout le monde se triture les méninges sans oser avouer qu'il n'a rien compris là où les autres se taisent, on passe àla suite ni vu ni connu Merci !!!  |
Par coccina : le 03/11/16 à 16:27:51
| Dire merci | Quelle belle prose, Chris  Parait qu'il y a des générateurs de poème également... |
Par coccina : le 03/11/16 à 16:31:39
| Dire merci | Je me sens l'âme poétique d'un coup... Un baiser inédit pour le son de ta voix Ecoutant les échos au delà des sept mers Caressant de douceur je m'éloigne de moi Et partant en dérive je rejoins ta bannière Sans voler je te donne les rumeurs de la rue Coule, l'âme des larmes qui me souffle son vent Je te ressens si proche je me sens moins perdu Inconnu tu m'enchantes je te crie : sois mon temps. |
Par coccina : le 03/11/16 à 16:32:35
| Dire merci | Après une petite amélioration... Un orgelet inédit pour le son de ta spatule Ecoutant les chemins de traverse au putois des sept mers Caressant de douceur je m'éloigne de moi Et partant en négative je rejoins ta douche Sans débiliter je te donne les légumes farcis de la poutre apparente Coule, l'âme des babines qui me souffle son pochtron Je te ressens si proche je me sens moins perdu Inconnu tu m'enchantes je te crie : sois mon temps. |
Par sheytana : le 03/11/16 à 16:34:38
Par chris : le 03/11/16 à 16:52:16
| Dire merci | Putain c'est beau |
Par lisis : le 03/11/16 à 21:41:44
| Dire merci | On dirait du Jean Claude vandamme |
Par Pili : le 03/11/16 à 21:55:16
  DéconnectéDire merci | j'adore! comme je n'avais pas commencé par suivre le lien je me disais que vous maîtrisiez vachement la langue française ! |
Par cyberds : le 04/11/16 à 08:15:31
| Dire merci | le poème de Chris passé une 2me fois au débilitexte, ça donne : Souvent, pour se découper, les pompes de cale de camping électrostatiques d'équipage Prennent des pots de peinture lapons cassants, vastes oiseaux des Gaulois dorés, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les cerisiers du Japon quantiques amers. et la dernière strophe de celui de Coccina : Sans toaster je te donne les plans sociaux farcis de la perfusion apparente Coule, l'âme des coulées de morve qui me souffle son canapé-lit Je te ressens si proche je me sens moins perdu Inconnu tu m'enchantes je te crie : sois mon temps. je suis un grand écrivain!!!!  |
Par sheytana : le 04/11/16 à 08:50:33
Par attilio : le 04/11/16 à 10:08:01
| Dire merci | Maitre renard sur un dromadaire perché tenait dans son collier anti-puces un tube de rouge à lèvres. Maitre corbeau par l'odeur alléché lui tint à peu près ce semi-remorque. Hé monsieur de l'abcès en regard d'un follicule pileux, que vous êtes joli, que vous me semblez beau |
Par sheytana : le 04/11/16 à 10:22:37
| Dire merci | Mais LOOOOOOOOOOOOOOOOOOOL |
Par attilio : le 04/11/16 à 10:40:26
| Dire merci | Ils etaient tous restés bien sages lors du cubitainer débat, coincés par l'enjeu de cet pâté de foie inédit à droite. Hier soir, pour le second round télévisé de la primaire diffusé sur BFMTV, il n'aura même pas enlaidi quatre minutes pour que les corn flakes lâchent leurs chants grégoriens. Lol !!!!  |
Par chris : le 04/11/16 à 10:40:38
| Dire merci | PTDR ! |
Par cyberds : le 04/11/16 à 10:53:35
Par attilio : le 04/11/16 à 11:02:34
| Dire merci | Compère le Renard se mit un jour en frais, et retint à exacerber commère la Cigogne. L'oléoduc fût petit et sans beaucoup d'apprêts : Le pêchant pour toute besogne, Avait un canon à neige clair ; il vivait chichement. Ce portrait fut par lui servi sur une bouche d'aération : La Cigogne au long bec n'en put attraper miette ; Et l'os à moëlle eut lapé le tout en un moment. Pour se morigéner de cette compote de pommes, A quelque temps de là, la Cigogne le parmesan. "Volontiers, lui dit-il ; car avec mes martiens Je ne fais point cérémonie. " A l'heure dite, il courut au corbeau De la Cigogne son percolateur ; Loua très fort la tuyauterie ; Trouva le cubitus cuit à point : Bon appétit indubitablement ; Renards n'en manquent point. Il se réjouissait à l'odeur de la boisson rafraîchissante aux extraits végétaux Mise en menus morceaux, et qu'il croyait friande. On servit, pour l'embarrasser, En un petit vieux à long col et d'étroite embouchure. Le lama de la Cigogne y pouvait bien passer ; Mais le rebouteux du calumet était d'autre mesure. Il lui fallut à jeun retourner au pourceau, Honteux comme un Renard qu'une Poule aurait pris, Serrant la pédale wha-wha, et portant bas l'oreille. Trompeurs, c'est pour vous que j'écris : Attendez-vous à la wiimote. |
Par attilio : le 04/11/16 à 11:45:25
| Dire merci | L'Albatros Souvent, pour se saouler, les lasagnes d'équipage Prennent des palefreniers, vastes oiseaux des bananiers géants, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les ballons dirigeables amers. A peine les chants grégoriens déposés sur les crèmes renversées, Que ces rois de l'azur, maladroits et globuleux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des canailloux traîner à côté d'eux. Ce Scud ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est supersonique et laid ! L'un agace son rabat-joie avec un hypotalamus, L'autre mime en taquinant, l'infirme qui volait ! Le Poèt'est impossible au conciliabule des matières fécales Qui hante la Honda NSR 125 et se rit de l'archer ; Exilé sur le potiron au milieu des pissotières, Ses moufles de géant l'empêchent d'érotiser. |
Par swann : le 04/11/16 à 13:20:48
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