Utilisateurs selles Hugues Petel
Sujet commencé par : veronik - Il y a 1343 réponses à ce sujet, dernière réponse par veronik11 personnes suivent ce sujet.
Par veronik : le 24/09/08 à 08:07:03
Dire merci | Ici va se trouver un terrain d'échange pour les cavaliers qui veulent monter autrement. Une monte de sensations, comme dit HP. On est déjà 2 petelistes! (mais il y en a tellement d'autres hors ce forum) et j'espère que d'autres suivront. J'espère que nous serons bien guidés dans notre travail! Je pense qu'on devrait commencer pendant la période de pause hivernale! [Titre modifié par Yann22_modo] |
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Par flooded : le 05/02/09 à 13:20:10
Déconnecté | flooded tu as des podium ? si oui tu peux mesurer l'oeil ? stp merci Il existe deux types d'étriers podium, ceux pour fenders western et ceux pour étrivières classiques, adaptés aux largeurs standards de ces étrivières. J'ai acheté à l'origine ces étriers pour une selle Stock, en largeur Western, et pour pouvoir les utiliser sur ma GM j'ai recoupé à la scie à métaux la vis et le tube et replié les branches de l'étrier. |
Par flooded : le 05/02/09 à 13:22:30
Déconnecté | Seul problème des étriers podiums, ils n'ont pas de coque devant, et un commissaire de course m'a demandé un jour de changer de chaussures au départ puisque j'utilisais des chaussures de marche sans talon. |
Par veronik : le 05/02/09 à 15:23:20
Dire merci | C'est effectivement le règlement, mais qui a vu un talon de boots de 1cm retenir un pied si celà était nécessaire...??? |
Par jean yves 01 : le 05/02/09 à 19:09:58
Dire merci | merci a tous pour vos réponses . j'ai mesuré l'étrivière (fenders) donc 33 mm - 34 mn . j'ai agrandi l'oeil de mes étriers d'endurance en composite (je ne connais plus la marque) sans regret car je vais demander a hugues de modifier ma comète et faire des fenders aussi . |
Par calou63 : le 09/02/09 à 12:01:44
Dire merci | j'aimerai savoir qui a été en stage chez mr Petel et qui envisage d'y aller ce printemps ? |
Par karine : le 09/02/09 à 12:26:36
Dire merci | moi.... |
Par karine : le 09/02/09 à 12:26:49
Dire merci | enfin moi j'y vais... |
Par lyra : le 09/02/09 à 12:32:01
Dire merci | Perso je n'y suis jamais allé mais j'aimerais bien y passer deux jours au printemps, mon mari m'accompagnerait! si par hasard quelqu'un intéressé pour faire un stage chez HP passait par la Gironde avec un van deux places on pourrait faire du covoiturage!! |
Par karine : le 09/02/09 à 12:34:20
Dire merci | lyra... ça va être dur... je viens de l'autre côté de la France!! Les alpes... J'ai reservé le toit... j'ai bien cru que ce serait tout complet!!! |
Par ladd : le 09/02/09 à 13:41:48
Dire merci | moi j'y suis allée deux fois : la première pour essayer les selles, la deuxième avec mon cheval ; et je compte bien y retourner ! |
Par ladd : le 09/02/09 à 13:59:10
Dire merci | moi j'y suis allée deux fois : la première pour essayer les selles, la deuxième avec mon cheval ; et je compte bien y retourner ! |
Par veronik : le 10/02/09 à 07:32:05
Dire merci | y'a des chanceuses.....!!!!! Je viens de recevoir le livre de Racinet:v l'Equitation de Légèreté. ACHETEZ!!!! Ce ne sera vraiment pas de l'argent perdu |
Par ladd : le 10/02/09 à 08:13:30
Dire merci | tu l'as commandé où Véro ? |
Par veronik : le 10/02/09 à 08:16:32
Dire merci | Salut!!! Chez PSR Editions psreditions.com .............grâce à Karine, car partout ailleurs il est épuisé! Fais vite, tu ne le regretteras pas! |
Par ladd : le 10/02/09 à 08:52:00
Dire merci | merci c'est fait, mais j'ai du louper un truc, comment je règle ? j'envoie le chèque ? |
Par jean yves 01 : le 10/02/09 à 09:18:44
Dire merci | ladd je crois qu'il t'envoie une confirmation de commande et tu payes à ce moment là... au pire tu peux l'appeler c'est un monsieur fort sympathique et qui a beaucoup d'affection pour JC Racinet qu'il a pas mal cotoyé.... et l'accident qu'il a eu le touche beaucoup, je crois qu'il est pas prêt d'arrêter l'édition de ces livres! ps... c'est Karine qui parle |
Par karine : le 10/02/09 à 09:20:40
Dire merci | je viens de recuperer ma véritable identité... pas de commentaire fait sur la sortie de ce week end je commence doucement à me faire à cette selle toute neuve... au bout de 2 heures j'avais l'impression d'y trouver petit à petit ma place... en attendant je "joue" un peu moins car je n'arrive pas à tout faire à la fois... |
Par karine : le 10/02/09 à 09:22:54
Dire merci | Petite question à HP : quand vosu parlez des deux mains fixes pour transfert sur les hanches, ça inclut mains ouvertes entièrement ou comme auparavent pouce serré sur l'index pour les 2 mains? certaines choses ne sont pas claires dans ma tête. Ca me parait parfois incohérenta vec ecrtains principes. Sinon pour les étriers j'envisage de passer les GM à la meuleuse pour enlever 1 ou 2 cm en profondeur ce qui devrait déjà règler le pb de flexion des articulations basses...je vous dirais ça!!! |
Par hugues petel : le 10/02/09 à 11:21:39
Déconnecté Dire merci | Décrire le transfert (ce qui serait nécessaire pour le comprendre vraiment) humain, équin et équestre demanderait plusieurs centaines de lignes. J’ai trop à faire pour cela. Voici simplement, quelques réponses concrètes, qui auront le défaut de n’être que ponctuelles, et non conceptuelles. Le transfert des doigts aux hanches demande que le cheval donne la cm sur les deux mains fixes, séparément ou simultanément, sur la variation de pression de la première phalange du pouce sur la rêne posée sur la première phalange de l’index., les mains en contact l’une de l’autre et avec la ceinture. Ceci étant acquis, on remplace les vibrations « entrouverture – entrefermeture », associés aux poser – soutiens des antérieurs, des doigts par des soulèvements – abaissements des hanches associés aux poser – soutiens des postérieurs. Je vous laisse découvrir les subtilités selon les combinaisons possibles, indescriptibles exhaustivement. Le jeu souverain est alors le reculer en serpentine (et non en "escargot" rentrant et fermant, ainsi que V en a perçu la limite), où on commence à enseigner le tourner arrière en RED, et où on continue par association – dissociation des diagonaux avec les hanches. Comme on a dans les débuts traversé le miroir latéral rachidien du cheval, on traverse ensuite le miroir vertical (la psyché) du cavalier. Quelques concepts indissociables du transferts : -déplacement (corporel et mental) -temps (diachronisme – synchronisme) -latéralité, verticalité, horizontalité -résistances (corporelles et mentales) -répétition (compulsion, éducation) -perlaboration, catharsis. Il me paraît indispensable, pour comprendre le transfert, de lire quelques ouvrages de psychanalyse. On associera ensuite ce que la science sait de l’humain avec ce que je décris de spéculaire dans l’équin. Sera alors compris l’équestre. Dans un seul but. Bonheur et équitation. Hugues. |
Par karine : le 10/02/09 à 13:03:15
Dire merci | BOn j'étais dan sle bon.. même si tout cela ets de ma part un peu dans l'état de flou artistique pour le moment mais ça vient... Les filles j'ai trouvé un truc pour être totalement à l'écoute des posers, dimanche j'ai mis ma cagoule canadienne tip top ou tu vois plus rien mais qui tient bien chaud... en regardant droit devant je ne vois même plus mon cheval donc je ne suis pas perturbée... progrès assurés!!! |
Par veronik : le 10/02/09 à 13:20:13
Dire merci | Oh les cagoulées!!! |
Par ladd : le 10/02/09 à 14:34:00
Dire merci | le pilotage automatique est fourni avec la cagoule ? |
Par karine : le 10/02/09 à 16:17:31
Dire merci | oulala je vois la route quand même!!!! un jour je demanderais à mon homme de prendre la photo qui tue!!! mais moi au moins je creve de chaud sous ma cagoule!! |
Par karine : le 11/02/09 à 10:17:14
Dire merci | HP : que conseillez vous comme lecture concernant ce sujet en particulier... merci pour les infos "concrètes" même si elles ne font pas tout elles permettront d'y reflechir un peu plus! |
Par veronik : le 11/02/09 à 12:52:25
Dire merci | Attention les Filles, la Philosophe a encore sévi : après Lacan...... Elle nous laisse tous sur place! |
Par karine : le 11/02/09 à 13:39:06
Dire merci | je bouquine c'est tout!!! |
Par veronik : le 11/02/09 à 14:53:32
Dire merci | Pffffffffff!! |
Par lyra : le 11/02/09 à 15:08:34
Dire merci | Je viens de commander le livre de Racinet! je suis contente! merci pour l'info Véronik |
Par katell22 : le 11/02/09 à 15:21:04
Dire merci | avez-vous des liens web sur jc Racinet : vidéos , photos , entretiens... jean-yves : qu'est-ce qui te fais opter pour les fenders aujourd'hui ? |
Par flooded : le 11/02/09 à 15:24:06
Déconnecté | J'ai diné l'autre soir avec un psychanalyste freudien, et tout imprégné de la lecture de Mr Petel, on a trouvé quelques points communs entre l'analyse et l'équitation, comme par exemple l'importance de la position spatiale de l'analyste par rapport à celle de l'analysé, tout aussi capitale symboliquement que la configuration de l'espace de travail du cheval ou la position du cavalier par rapport à celle du cheval dans le travail au sol. |
Par hugues petel : le 11/02/09 à 15:42:56
Déconnecté Dire merci | Flooded, vous commencez à m'intéresser bigrement. Voulez-vous développer? Karine, ma culture dans ce domaine est classique et assez limitée: Lacan, Freud, Winnicott, Klein, Lagache, Pontalis, Jung. Il existe certainement des ouvrages plus modernes (dans ce domaine comme en équitation, j'achète très peu de livres, n'y trouvant souvent pas grand chose de nouveau). Voyez aussi Deleuze, qui était ami de Lacan, et dont les oeuvres sont à mon sens complémentaires. |
Par katell22 : le 11/02/09 à 15:46:41
Dire merci | karine : pour ce qui est de la position à cheval , j'ai trouvé quelques réponses à mes difficultés en me demandant pourquoi je devenais rouge tomate en moins d'une heure à cheval alors que les hommes n'avaient pas ce soucis. aprés observation des cavaliers de haut niveau(qui durent dans le temps...) : on ne monte pas avec ses adducteurs ni avec ses genoux collés à la selle. le "grip" se fait par les fessiers , les muscles arrières des cuisses et le bas du mollet : ainsi on laisse la mobilité aux articulations des genoux et des chevilles. mais celà n'est possible que si on se grandit par la tête , tel un gentleman anglais , qu'on utilise ses muscles du dos et non ses abdominaux , tels les africains : ainsi chaque vertèbre peut bouger et on donne toute mobilité au bassin , qui est aussi une "aide". du coup le plexus se libère(là tu travers le miroir) , le diaphragme s'ouvre et donne l'indépendance aux bras , permettant les mains fixes (mais pas dures) : elles deviennent celles d'un pianiste virtuose (à toi les grands airs ....de cavalerie ! ) bon , voilà ce vers quoi je tends... en ce moment pas trop le temps de monter : 5 enfants (+ leur père!) , la tempète , les chemins boueux et très glissants....bref plein d'excuses... il faudra que je trouve une âme charitable pour faire des photos |
Par jean yves 01 : le 11/02/09 à 17:14:38
Dire merci | katell j'envisage les fenders car je blesse aux mollets avec des quartiers . et par ailleurs aillant aussi une selle western jamais de problème (même fait une endurance 1 jour avec ) |
Par katell22 : le 11/02/09 à 17:20:38
Dire merci | ok moi c'est l'inverse... j'essaye de mettre des photos par "servimg" mais je n'y arrive plus , help! |
Par flooded : le 11/02/09 à 22:20:54
Déconnecté | Flooded, vous commencez à m'intéresser bigrement. Voulez-vous développer? En fait, lorsqu'il m'expliquait toute l'importance de la position de l'analyste un peu en retrait de l'analysé, assis, les deux regardant dans le même sens, l'analysé regardant symboliquement devant, dans l'espace comme dans le temps, et l'analyste en retrait, laissant aller et se faisant oublier quand l'analysé se libère et avance, sachant orienter ou remettre en avant légèrement quand c'est nécessaire, difficile de ne pas retrouver toute l'équitation ! Il m'a ensuite expliqué que pour certains patients, la seule position possible était de se situer à côté, ils n'étaient pas encore prêt pour un travail devant, avec l'analyste derrière. Cela évoque aussi le travail au sol, pour un cheval pas encore débourré, qui a besoin de la présence de l'humain à côté de lui. Mon ami m'a parlé aussi de Lacan, dont les séances sont de durée variable, s'interrompant dès que l'analysé fait un progrès significatif, que ce soit au bout de 2 minutes ou d'une heure... Cela ne vous rappelle rien ? |
Par karine : le 12/02/09 à 08:24:33
Dire merci | Interessant effectivement.... est ce que l'on met la relation cheval - humain dans le même cadre que l'analyste et son patient? le transfert existe il aussi dans ce cas là? Enfin je veux dire pas le premier transfert de l'analyste au patient mais celui qui arrive parfois ou souvent de l'aanlysé vers l'analyste? Message édité le 12/02/09 à 08:16 Message édité le 12/02/09 à 08:24 |
Par karine : le 12/02/09 à 08:28:56
Dire merci | bon pour les livres je vais mettre freud de côté... un peu trop lu au lycée (besoin de temps!!!) par contre je vais tenter jung "psychologie du transfert" et Lacan je ne sais pas encore lequel... |
Par hugues petel : le 12/02/09 à 14:24:38
Déconnecté Dire merci | Katell, Votre perception de la position rejoint ce que j’ai perçu depuis longtemps lorsque je fais essayer mes selles : les cavaliers qui sortent de matériels à la géométrie douteuse ont la plus grande difficulté à inverser leur schéma fonctionnel corporel. Résoudre les résistances mentales et physiques du cavalier (bien avant même de penser à celles du cheval) demande un véritable « travail ». Ainsi, Flooded, il me semble que si la psychanalyse est proche de l’équitation, elle n’en sont pas pour autant semblables. La notion de « travail », par exemple, qui s’exprime pleinement en psychanalyse dans le concept de perlaboration, est une des grandes erreurs sémantiques (donc conceptuelles) de l’équitation ordinaire (avec pour zénith du paradoxe le « travail à pied », dont je vous concède que c’est une phase nécessaire dans le débourrage, mais une fois que le cheval accepte la présence de l’humain sur son dos, cela devient non sens). Je pense que l’on a tout intérêt à remplacer le « travail » par le « jeu » (ce qu’a vu Parelli, mais malheureusement, comme toutes les théories équestres, et c’est révélateur, il n’a pas pris en compte la dimension du psychisme humain comme part indissociable de l’équestre), la malédiction divine (« tu mangeras à la sueur de ton front » et « tu enfanteras dans la douleur ») par l’éducation. Le freudisme, dont se réclament encore bien des praticiens, est une belle illustration de l’esprit de la bourgeoisie du 19ème siècle (car s’il est peut-être vrai que « la langue va à la dent qui fait mal », on ne s’exprime que dans les termes qui structurent sa pensée). La notion de temps telle que vous la décrivez me semble étrange pour un psychanalyste. Il me paraît évident que la cure, par la remémoration, est loin de ne regarder que vers l’avenir. Et en ceci, en revanche, l’équitation est plus signifiante, probablement plus efficace, qui fait converger les miroirs imbriqués des corps et des esprits de l’humain et du cheval. Pour illustrer ces deux points, voyez l’exemple de notre amie Karine (mais il y en d’autres tout au long de ces pages), qui avait « oublié » le terme « travail » qui a resurgi lorsqu’il a été question de transfert des mains aux hanches avec en corollaire, au même moment, la conversion de l’imago (parentèle, l’enfant iconique) en image (de soi, à cheval). Je pense qu’il est inutile d’insister sur la signification du lien mère-travail-hanches-enfant. D’évidence, l’équitation, présentée d’une certaine manière, est une maïeutique, ce que Karine a perçu, mais qu’elle exprime de façon encore « non totalement délivrée » symboliquement où transfert et contre-transfert ne sont pas clairement distincts (le contre-transfert est depuis toujours un problème majeur de la metapsychologie, « cheval de bataille » des « anti-psychanalyse » et dont la théorie a trouvé réponse en limitant la portée de l’auto-analyse, en introduisant le « dogme » de la nécessaire analyse de l’analyste -il s’agit en quelque sorte de limiter l’influence de l’inconscient de l’analyste dans l’interprétation de l’inconscient de l’analysé- ; on voit d’emblée l’intérêt de l’équitation, où l’équin est, par le corps et le mental, le miroir de l’inconscient humain). Le point intéressant de « l’analyste analysé », est l’introduction diachronique du tiers (donc, si on m’a suivi jusque là, sortie du binaire, logique modale, etc) que l’on retrouve dans le cadre de l’enseignement équestre (et non de l’enseignement ordinaire « maître-élève », binaire) où le professeur enseigne au cavalier, qui enseigne au cheval. Le transfert prend alors la dimension borroméenne chère à Lacan, multiple, imbriquée, dont le point de convergence, pensé par l’Un, utilisé par l’autre et l’Autre, objet transitionnel, pourrait bien être la selle. Tous, continuez à nous faire réfléchir, tous. |
Par karine : le 12/02/09 à 16:02:59
Dire merci | Pour le selle Autre, j'avais bien perçu ça il y a quelques temps...et oui et oui je suis désolée j'essaye de choisir mes mots... mais je suis encore dans le cadre du "travail" bien que j'ai compris ce que le concept de "jeu" avait de fondamental. C'est mon cerveau qui ne se détache pas encore de cette phase. Toute ma vie n'est que contraintes et non plaisir, là où je devrais trouver jeu et plaisir je fabrique contrainte et travail... Plus on discute et plus je me dis qu'un jour il faudrait que je saute le pas de l'analyse. Ca me permettra peut-être de comprendre certains blocages inconscients... Il est difficile de me parler d'enfant et d'enfance je n'ai aucun souvenir de la mienne (uniquement des souvenirs fabriqués par ma famille et des amis bien plus tard). Honnetement je ne pense pas pouvoir remonter par moi même avant l'âge d'environ 10 ans et encore! Bref... merci encore de cette analyse Hugues.... j'espère avoir un peu avancer pour mon propre cas avant de venir vous voir! |
Par veronik : le 13/02/09 à 08:22:45
Dire merci | Bonjour, -8 ce matin, alors pas grand chose à faire dehors, J'en profite pour rafraichir des questions sur un de mes chevaux, qui est importante pour le "travail" de ce cheval, et qui et restée plus haut. Merci Monsieur HP de m'aider pour ce cheval! teurs selles Hugues Petel Par veronik · 22/01/09 à 08:49 Editer Connecté Inscrit le : 22-11-2007 1779 messages Bonjour, Avant d'aller monter mes 2 lascars, je voudrais comprendre ce qui se passe chez l'un d'eux. Et merci, HP, de m'éclairer. Départ au trot: quand je laisse faire, le cheval part au trot (donc du pas) en faisant "comme le 1er temps du galop" avant de diagonaliser son allure, donc de se mettre au trot. Je peux l'en empêcher, en faisant une demande de cm....que je faisais sans savoir, en fait!.. Et il le fait de moins en moins et même parfois plus du tout, si j'ai une certaine attitude. Mais il faut que je m'analyse pour expliquer ce que je faisais Questions: Qu'est-ce qui se passe sur le plan mécanique. pourquoi? Comment régler ce souci? Galop: Il n'y a pas meilleure image que de dire que je galoppe comme sur une roue carrée. je pense que les 2 sont liés.... J'ai grandement amélioré la situation, en faisant aussi des cm...sans le savoir et aussi une autre position de bassin, je me revois, mais ne peux l'expliquer Questions: les mêmes. Merci pour votre aide! |
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