Un peu d'évasion ?
Sujet commencé par : loups56 2 - Il y a 1615 réponses à ce sujet, dernière réponse par chapaval6 personnes suivent ce sujet.
Par loups56 2 : le 19/02/14 à 17:44:52
Dire merci4 | Pour des raisons pratiques, j'ai demandé à éditer le début du post (ne paniquez pas, hein). En résumé, pour les nouveaux lecteurs, ce post me permet de vous faire partager des nouvelles que j'écris. Je poste en gros un ou deux épisodes par soir. Actuellement la première nouvelle "La cage" est terminée. Elle s'étend de la page 1 à la page 5. La suivante est en cours de vote (à partir de la page 6). Bonne lecture et amusez-vous bien ! Edit à le demande de l'auteur Ce message a été modifié par un modérateur. |
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Par NewDay : le 25/02/14 à 17:23:06
Dire merci | Je suis en sous marins depuis le début (comme le reste du forum en fait) et j'aime beaucoup. Mais là, je suis perdu niveau prénoms |
Par loups56 2 : le 25/02/14 à 17:26:23
Dire merci1 | Explication de texte (P 32): Extrait du Chapitre 13. Dialogue Pete/Jared à propos du vieux - Pete et le vieux aiment la même femme, Heden, la mère de Jared, Susan, Eileen et Caleb. Jared eut un petit rire. Pete reprit. - C'est pas tous les hommes qui auraient accepté ce qu'il a accepté. Je suis rien qu'un vieux con maintenant mais plus jeune, si j'avais été à sa place, je lui aurais mis la branlée, à ton père, imbécile de coq que j'étais. Seulement, coup de bol pour ta mère, j'étais pas là le premier. Alors... bon, quand t'es le deuxième et que le numéro 1 te fait une place, tu fermes ta grande gueule, tu remballes la testostérone et tu pries pour que ça dure. - Et ça a duré. - Ben oui. Et quand je te regarde, toi et le reste de la famille, je me dis qu'on n'a pas trop mal réussi quand même, malgré la situation... pas commune, on va dire. Message édité le 25/02/14 à 17:22 Message édité le 25/02/14 à 17:23 |
Par vecchio : le 25/02/14 à 17:27:54
Dire merci | j'suis un boulet mais ça c'est pas nouveau. Merci pour l'explication. |
Par loups56 2 : le 25/02/14 à 17:29:30
Dire merci | Mais non voyons, juste que je conviens que c'est dur de suivre par petits bouts. Ca me fait souvent ça sur certaines séries TV comme Lost, où j'avais beaucoup de mal à me souvenir de qui faisait quoi d'une semaine à l'autre (alors d'une saison à l'autre, je te raconte même pas...) |
Par syrius : le 25/02/14 à 18:19:06
Dire merci | va falloir que je relise, parce que j'ai un peu du mal à tout suivre là... |
Par Cliona : le 25/02/14 à 18:31:13
Par Akhal9 : le 25/02/14 à 20:24:28
Par chapaval : le 25/02/14 à 21:05:05
Dire merci | super |
Par Lony : le 25/02/14 à 21:50:05
Dire merci | Bon vite euh j'me pose plein de questions moi maintenant euh |
Par sheytana : le 26/02/14 à 06:28:08
Dire merci | Moi ça va jusque là je suis |
Par amandine.liot : le 26/02/14 à 11:08:34
Par stephy92 : le 26/02/14 à 11:24:39
Dire merci | perso je voyais bien le type de tournure que ça risquait de prendre (et j'adore)! Je pense aussi que Alan a juste un rôle clé |
Par loups56 2 : le 26/02/14 à 16:10:05
Dire merci | Allez, on y va... Lien Chapitre 15 Aline s'écarta doucement du corps chaud d'Alan. Elle souleva les draps et se leva. Le plancher grinça un peu sous son poids. La lumière du jour commençait à peine à filtrer à travers les interstices des volets. Elle enfila rapidement les vêtements de la veille et attrapa ses chaussures de marche. Alan marmonna quelque chose d'indistinct en fouillant les draps. Puis il céda à nouveau au sommeil. Un sourire se forma sur les lèvres d'Aline. Qu'est-ce que tu vas faire, maintenant ? Ses traits se tendirent. Elle ouvrit discrètement la porte et sortit. La première marche de l'escalier craqua. Elle descendit le plus vite possible et entra dans la grande salle. Eileen était assise sur une chaise haute. Elle leva la tête et la regarda sans rien dire. - Bonjour Eileen, dit Aline. - Salut, répondit-elle en plongeant ses lèvres dans une tasse au contenu fumant. Elle lui fit signe de venir à côté d'elle en buvant une gorgée. - Café ? Demanda t-elle. - Oui, ce sera très bien. Mais je peux me débrouiller. Eileen se leva en guise de réponse. Elle attrapa une boite en métal sur le plan de travail. - Corsé ou plutôt doux ? Dit-elle en agitant une petite capsule en aluminium. - Doux. - Merci pour hier soir, murmura Eileen. Le bruit de la machine à café empêcha Aline de répondre. Eileen se retourna avec une tasse. Elle la posa devant elle. Puis ses mains se crispèrent et disparurent à l'intérieur des manches de son pull en laine. - Tu veux du lait ? Demanda t-elle encore. - Non, merci. - On a la même, dis-donc, fit Eileen en désignant sa balafre sur son front. - Oui, dit Aline avec un petit rire. J'ai eu ...on a eu un accident en venant... à Chicago. Eileen ouvrit de grands yeux étonnés. - Je ne me rappelle pas du tout de ce qui s'est passé. J'entends juste Alan me dire qu'on a heurté la barrière de sécurité. Et puis plus rien jusqu'à l'hôpital. - Tu as dû prendre un sacré choc, tu as des bleus partout ! Aline rougit un peu. A force de se rencontrer tous les jours dans le miroir, elle avait fini par oublier l'état de son visage. - Euh... là... c'est... autre chose...En arrivant à New-York, j'ai été... enlevée par un...braqueur, dans le taxi. Et j'ai eu aussi un accident...Et après, je me suis battue avec une prostituée, dans la rue...Enfin, c'est compliqué, mais voilà. Eileen plaqua ses doigts osseux sur sa bouche. Ses yeux brillèrent d'une expression rieuse. - Tu...tu n'as pas de chance... - Disons que j'ai eu un certain cumul à arrivant ici, dit-elle en souriant. Eileen lui tendit un panier garni de petits pains parsemés de graines. Aline déclina. - Je n'ai pas très faim, ce matin. - Tu sais monter à cheval ? Demanda t-elle soudain. - Non. Et j'ai un peu peur, en fait, avoua t-elle en baissant les yeux. - Je vais t'apprendre. Elle sembla brusquement se raidir et son regard se figea. - Enfin, si tu as envie, souffla t-elle sur un ton hésitant. - Oui, ça me plairait. Ca me plairait bien. Aline termina rapidement son café. Eileen ramassa les tasses et passa un rapide coup d'éponge sur le plan de travail. Puis elle entraîna Aline dans le couloir. - Je suis...désolée pour hier soir. - Ce n'est pas grave. La vie n'est pas toujours simple, murmura Aline. - Jared t'a dit, je suppose. - Pas vraiment. Il ne parle pas beaucoup, ton frère. Eileen lui tendit une petite veste de cuir pendue à une patère. Message édité le 26/02/14 à 16:07 |
Par loups56 2 : le 26/02/14 à 16:15:09
Dire merci | - Je pense que celle-là va t'aller. Elle est à Susan. Vous avez à peu près la même carrure, dit-elle en la regardant. Aline la prit. Elle fronça un peu les sourcils. - Il ne fait pas froid ce matin et ça n'a pas fini de monter. C'est comme ça, ici, la rassura Eileen. Elle ouvrit la porte. Un air étrangement tiède s'engouffra à l'intérieur. La terrasse avait séché. Seules quelques flaques dans la cour témoignaient du déluge de la veille. Elle suivit Eileen dans un grand hangar divisé en petites stabulations. Un taureau au corps massif s'approcha quand elles passèrent. Il frotta ses cornes contre la barrière de métal. Le bruit déclencha une salve de meuglements. Au fond de l'allée, un homme s'affairait avec une fourche. Aline reconnut Pete. Il s'arrêta et s'appuya contre une porte en bois. Les naseaux curieux d'un cheval roux le flairèrent attentivement. Il le repoussa doucement. - On va faire un tour à cheval, dit Eileen. - Aline sait monter ? - Non, mais je vais lui apprendre. Il sourit. - C'est bien. Vous n'avez qu'à prendre les deux Dalton, Caleb et Reg viennent juste de rentrer, j'ai pas encore eu le temps de les desseller. Ils sont dans le petit corral. Aline eut un léger soupir. Avec ma chance habituelle, je vais me faire refiler Averell. Eileen l'entraîna à l'autre extrémité du hangar. Puis elle sauta une petite barrière en rondins de bois. Aline l'imita maladroitement. Elles traversèrent une cour et pénétrèrent dans le corral grand ouvert. Deux chevaux à la robe foncée attendaient, la tête basse, un postérieur fléchit, au milieu de la piste de sable. - Tu n'as qu'à prendre celui-là, dit Eileen en désignant le premier. Il s'appelle Jack. Il est très gentil, tu verras. Eileen ramassa les rênes tombées au sol. Elle les rassembla autour de la corne de la selle. L'animal ouvrit à peine les yeux. - Ils ...ne cherchent pas à s'enfuir ? Demanda Aline, étonnée en s'apercevant que les chevaux n'étaient ni attachés, ni enfermés. - Non. On leur apprend, tout jeune. On les attache avec un licol solide à un point fixe. Et on les laisse longtemps. Ils tirent, ils s'arc-boutent, s'énervent, des fois. Et puis au bout d'un moment, ils abandonnent. Alors on vient les chercher et c'est terminé. - Il faut qu'ils se résignent, en fait. - Oui. C'est comme ça, la vie, aussi, non ? - J'espère que non. Eileen lui sourit. Puis elle lui prit les mains et l'approcha du cheval. L'animal sentait bon. Son odeur fauve se mêlait à celle du cuir. - Tu prends une poignée de crins et la corne. Tu mets ton pied dans l'étrier et tu grimpes. Aline avança sa jambe. - Non, pas la droite, la gauche, dit-elle en riant. Elle se hissa difficilement. Eileen la poussa d'une main ferme. - Passe ta jambe maintenant. Elle se laissa retomber dans le siège. Le cheval se balança en arrière. Elle perdit un peu l'équilibre. Son souffle s'accéléra. - C'est... c'est haut..., balbutia t-elle. - Ca va aller tout seul, tu vas voir. Elle lui posa les rênes dans une main. - Tu les tiens comme ça, rassemblées. Quand tu veux aller à droite, tu diriges ta main vers la droite et inversement pour la gauche. Le contact sur l'encolure suffit. Si tu veux freiner ou t'arrêter, tu te penches en arrière et tu lèves un peu tes mains. Pour accélérer, tu.... Non remarque, ça on verra plus tard, dit-elle en croisant le regard inquiet d'Aline. Elle se hissa en selle à son tour. Puis elle talonna légèrement sa monture et se retourna vers Aline. Jack fit quelques pas pour la suivre. Ses longues oreilles poilues tournaient en tout sens. Eileen rit. - Il se demande bien ce qu'on lui a mis sur le dos, je crois. - C'est aussi la question que je me posais, fit Aline. Ses mains se crispèrent sur le pommeau. Elle glissa un peu sur le côté de la selle puis se redressa. Les chevaux franchirent le corral et traversèrent la cour. - C'est ton petit ami, Alan ? Demanda Eileen alors qu'elles se dirigeaient vers les collines. - Je... je ne sais pas... - Tu l'aimes ? - Oui, dit-elle sans hésitation. - Et Jared ? Elle sentit son visage soudainement se consumer. - Co...Comment tu... - La manière dont tu le regardais, hier. Message édité le 26/02/14 à 16:12 |
Par Sahel46 : le 26/02/14 à 17:58:19
Par Lony : le 26/02/14 à 19:06:04
Par Cliona : le 26/02/14 à 19:27:37
Par arwen73100 : le 26/02/14 à 19:36:14
Par vecchio : le 26/02/14 à 20:34:58
Dire merci | Tu n'auras donc jamais pitié??!!! :"s !!! (je déconne mais bon sang, je voudrai tant avoir le fin mot de l'histoire)!! et pour ça : "Avec ma chance habituelle, je vais me faire refiler Averell." |
Par chapaval : le 26/02/14 à 21:21:22
Dire merci | oh ça approche. |
Par sheytana : le 26/02/14 à 21:51:33
Dire merci | Roooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh C'est dur, dur, dur d'attendre |
Par Akhal9 : le 26/02/14 à 22:15:12
Dire merci | TROP Message édité le 26/02/14 à 22:12 |
Par csabrina : le 26/02/14 à 22:21:12
en fait, là, dans ma tete, c'est "mais elle n'a qu'a prendre les deux" Mais dis loups, au début, tu nous mettais parfois du rab |
Par loups56 2 : le 27/02/14 à 08:23:16
Dire merci | Un peu de patience tout de même ! Oui je sais, Sabrina, mais avec les problèmes de ponctuation qui saute, je ne te cache pas que ça me décourage carrément ... |
Par vecchio : le 27/02/14 à 08:55:34
Dire merci | Prends ton temps Loup Et considère notre impatience comme un compliment, on est accro! |
Par amandine.liot : le 27/02/14 à 10:32:01
Par cyberds : le 27/02/14 à 11:13:20
Par loups56 2 : le 27/02/14 à 15:29:01
Dire merci | Voici votre américain Lien Eileen sourit. - Allez, on y va ? Dit-elle en talonnant vivement sa monture qui prit instantanément le galop. Le corps musclé de Jack se tendit sous la selle. Aline serra le pommeau de toutes ses forces. Elle paniqua un peu lorsque le vent siffla dans ses oreilles. Le paysage se mit à défiler. A travers des lignes fuyantes, elle ne vit bientôt plus que la croupe de William qui emportait Eileen toujours plus vite. Le mouvement d'avant en arrière devint plus régulier, à mesure qu'elle se calait dans la selle. Elle sentit ses mains se décrisper et ses talons s'appuyèrent profondément dans les étriers. Une joie intense monta en elle. Elle arriva en haut de la colline. Jack ralentit un peu. Une plaine immense d'herbe rase s'étendait à perte de vue. Une chaine de montagnes lointaines encerclait l'horizon. Eileen freina William pour rester à ses côtés. - Alors, ça va ? Cria t-elle pour couvrir le bruit sourd des sabots. Aline acquiesça. Le vent de la course faisait couler des larmes qui glissaient jusque dans son cou. Elle se sentit soudainement heureuse. Le galop régulier de Jack la berçait. Elle entendait son souffle profond. L'air était empli d'un mélange d'herbe, de cuir et de la sueur de l'animal. Il lui sembla que pour la première fois, elle était au monde. Ses cheveux flottaient au vent. Elle ferma les yeux, l'espace d'une seconde. Eileen laissa William ralentir. Les chevaux se mirent au trot. L'allure sautillante déséquilibra Aline qui se crispa à nouveau sur le pommeau. - Pèse sur tes talons, lui conseilla Eileen. Elle tendit le bras. Loin dans la plaine, Aline aperçut la silhouette de deux cavaliers. - Jared et le vieux sont là-bas, fit Eileen. Elle arrêta brusquement son cheval. Jack freina doucement et la dépassa un peu. - On ira les rejoindre après, si tu veux. On va d'abord laisser les chevaux souffler. Aline acquiesça. Elles s'approchèrent d'une rivière tumultueuse. Les berges étaient encore largement inondées. Les pieds des chevaux s'enfoncèrent dans l'herbe molle. - C'est ici que je suis tombée, hier, sous l'orage, dit-elle en désignant une mare boueuse. - Tu as eu de la chance, fit Aline en frissonnant. - Je n'ai pas vu que j'étais trop près, avec la nuit et la pluie. Raven a glissé d'un seul coup quand la berge s'est effondrée. Mais heureusement, il a eu suffisamment de force pour remonter. Pete a tort quand il dit qu'il faudrait l'abattre, c'est un bon cheval. - Il a peut-être de bonnes raisons de penser le contraire, non ? - Oui. Il a failli le tuer et pas qu'une fois, admit-elle. - Pourquoi ? - Raven ne se soumet jamais. Il collabore éventuellement. Message édité le 27/02/14 à 15:18 Message édité le 27/02/14 à 15:26 |
Par loups56 2 : le 27/02/14 à 15:26:25
Dire merci | - Il ne s'est pas résigné, lui ? Demanda Aline. Eileen fronça les sourcils. - Comment ça ? - Je veux dire, à l'attache. - Ah oui, ça ! Je crois qu'il...qu'il serait mort d'épuisement si je n'étais pas venue le détacher, ce jour-là, fit-elle avec un léger sourire. - C'est ton cheval, alors ? Elle secoua la tête. - Non, pas vraiment. Pete et le vieux disent toujours qu'ils vont le tuer, un jour ou l'autre. Mais ils ne le font jamais. Alors je ne sais pas. Elles continuèrent de longer la rivière. Eileen se retourna. - Si tu es perdue, tu suis la rivière côté nord, ajouta t-elle. Puis elle regarda Aline. - Tu l'as connu à New-York, Jared ? - Euh non, pour... pourquoi à New-York ? Bredouilla t-elle. - C'est là qu'il vit, dit-elle en haussant un peu les épaules. Tu ne le sais pas ? - Je...je croyais qu'il travaillait au ranch. - Non, ça fait quatre ans qu'il est parti, après ses études de droit, à Missoula. Et presque autant qu'il n'était pas revenu. Le vieux... il en a fait une maladie. C'était...enfin, il voulait que ce soit lui qui reprenne le ranch après lui et Pete. - Et qu'est-ce qu'il fait, à New-York ? - Il est policier. Enfin, capitaine. Dans le Bronx. De la 46ème compagnie, dit-elle fièrement. Aline avala sa salive. Elle fut prise d'une quinte de toux énorme. Eileen la regarda d'un air inquiet. - Ça va ? - Ou... oui..., parvint-elle finalement à balbutier, le visage écarlate. - Moi je suis contente qu'il soit parti, ajouta t-elle. - Pourquoi ? - Parce qu'il n'aurait pas été heureux, ici. Il n'y a bien que le vieux pour ne pas l'avoir remarqué. - Et toi ? - Moi quoi ? - Où serais-tu heureuse, Eileen ? - J'aime bien, ici. J'aime le ranch. Malgré... Malgré... tout ça. Ses mains se serrèrent sur les rênes. William s'arrêta et attendit. - C'est quoi, tout ça ? Osa Aline. - Il a été tué, en Afghanistan, il y presque huit mois, murmura t-elle. Son regard se perdit sur l'horizon, quelque part dans les montagnes. - Il ne savait pas que j'étais enceinte...Je ne lui avais pas dit... j'attendais...d'être sûre que ça...tienne enfin...Si je lui avais dit, il n'aurait jamais été renvoyé sur le terrain. C'était sa dernière mission. Il est mort deux jours après son arrivée. Il a été... enfin... un sniper l'a tué... Elle renifla et passa une main sur ses joues mouillées. - Dans une putain de montagne dont il ne connaissait même pas le nom, ajouta t-elle dans un sanglot rageur. Message édité le 27/02/14 à 15:23 |
Par loups56 2 : le 27/02/14 à 15:26:54
Dire merci | Et aujourd'hui, 200ème page Word ! Champagne ! |
Par Cliona : le 27/02/14 à 15:29:58
Dire merci | trop bien !!! |
Par loups56 2 : le 27/02/14 à 15:30:38
Dire merci | N'est-ce pas ! |
Par wallou : le 27/02/14 à 15:31:58
Par Cliona : le 27/02/14 à 15:32:08
Dire merci | voui |
Par sheytana : le 27/02/14 à 16:30:33
Par arwen73100 : le 27/02/14 à 16:32:11
Par Sahel46 : le 27/02/14 à 17:18:58
Par toto00789 : le 27/02/14 à 20:43:25
Par loups56 2 : le 27/02/14 à 20:59:51
Dire merci | Merci !!! Demain... d'autres révélations... |
Par chapaval : le 27/02/14 à 21:35:15
Dire merci | excellent loups merci |
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