Ossements que faire ?
Sujet commencé par : photos69 - Il y a 499 réponses à ce sujet, dernière réponse par sheytana1 personne suit ce sujet
Par photos69 : le 16/08/15 à 11:59:42
  DéconnectéDire merci3 | Bonjour, Je vous contacte car je me pose quelques questions.. Nous avons emménagé dans une petite maison depuis 6 mois. Cette maison était à l'abandon il y a un ou deux ans et d'après les voisins, les anciens locataire étaient très "bizarre", après eux,la maison n'a plus été loue et est devenu un squat. (Elle a ete refaite a neuf par les propriétaire quelques mois avant notre arrivé, nous sommes locataires) Or depuis deux mois nous avons adopté un chien.. Et celui ci ne cesse de creuser à différents endroits et nous ramène des os assez gros.. Ils sont souvent en morceaux. Mais ils sont assez large et épais. Le plus déstabilisant c'est que les anciens locataire n'avait pas de chien (et à moins d'avoir enterré un terre neuve, les os sont trop gros pour un chien, même si je souhaite que ce soit un gros chiens la dessous !). Ce n'est pas une ancienne ferme non plus. A un des endroits où mon chien creuse sans cesse (tas de sable au milieu de l'herbe, dont je n'arrive pas à me débarrasser d'ailleurs, j'ai l'impression qu'il y a 3 tonnes de sable la dessous !) nous avons retrouver une carte de bus d'un enfant enterré. Les anciens locataires n'ayant pas d'enfant. Je me demande comment elle a pu se retrouver ici enterré au milieu de notre terrain. Je me fais peut être des films. Mais connaissant l'histoire de la maison. J'ai un peu peur ! J'ai arrêté mes travaux de jardinage et de remise en état du terrain car j'angoisse d'y trouver quelques choses de plus choquant.. Que doit on faire dans ce genre de cas ? Prévenir la gendarmerie quand même ? |
Par Chrysalis : le 26/08/15 à 21:14:37
| Dire merci | Pendant qu'ils installaient péniblement le congélateur, elle improvisa un plan d'action. Tout d'abord, découper son mari en pièces de boucherie, de sorte qu'on puisse le confondre avec de la viande de cheval. Ce fut difficile mais à retirer les meilleurs filets. Ce serait parfait pour son hachis parmentier. Par contre, il restait la question des ossements ? En effet, un crâne humain et équin peuvent difficilement être confondus..." Oui, que faire des ossements ??? Elle n'avait pas de chien et pas de moyen de les brûler, sa maison étant chauffée à l'électricité... Ah mais oui, il y avait bien à 500m de chez elle cette petite maison abandonnée depuis plus de 2 ans avec son grand terrain en friche. Voilà où elle pourrait se débarrasser du corps, vu l'état de la bicoque elle n'était pas prête d'être louée ou vendue !!! elle fit le tour du propriétaire, s'arma de pelles et de pioches, et commença à creuser ... Elle creusait difficilement dans cette terre dure comme de la roche, mais elle était si déterminé à se débarrasser de ses os malodorant, qu'elle y mit toute sa volonté. Justine creusait si fort que ses cris pouvaient quasiment se confondre avec ceux que fait une joueuse de tennis... Soudain, elle fut interrompue par une voix qui la hélait : "Madame!!! Madame!" Elle se retourna en sursaut. "Madame! Il nous faut votre signature pour la facture..." Dans son empressement de se débarrasser des ossements de son défun mari, Justine n'avait pas terminé avec les livreurs... Elle était là en sueur au milieu de ce terrain à creuser un trou. Que va-t-elle bien pouvoir leur dire ? Justine lâche sa pelle et part à leur rencontre : "Ah mince, excusez moi. Cette facture l'est sortie de la tête. C'est qu'il faut que je creuse un grand trou ici, j'ai prévu de planter un baobab !". Le livreur, un peu étonné s'aprète à repartir quand Justine lui demande "Vous connaissez les baobabs ? C'est un arbre qui vous plaît ?" mais le livreur a l'oeil qui traine derrière Justine...un grand sac avec une touffe de poil qui en sort,la terre sous les ongles de Justine.... le gars fait un signe de tete en direction du sac " ça a l'air bien mort la dedans?" Justice serre un peu plus le manche de sa pioche.... |
Par Desroses : le 27/08/15 à 07:58:19
| Dire merci | Pendant qu'ils installaient péniblement le congélateur, elle improvisa un plan d'action. Tout d'abord, découper son mari en pièces de boucherie, de sorte qu'on puisse le confondre avec de la viande de cheval. Ce fut difficile mais à retirer les meilleurs filets. Ce serait parfait pour son hachis parmentier. Par contre, il restait la question des ossements ? En effet, un crâne humain et équin peuvent difficilement être confondus..." Oui, que faire des ossements ??? Elle n'avait pas de chien et pas de moyen de les brûler, sa maison étant chauffée à l'électricité... Ah mais oui, il y avait bien à 500m de chez elle cette petite maison abandonnée depuis plus de 2 ans avec son grand terrain en friche. Voilà où elle pourrait se débarrasser du corps, vu l'état de la bicoque elle n'était pas prête d'être louée ou vendue !!! elle fit le tour du propriétaire, s'arma de pelles et de pioches, et commença à creuser ... Elle creusait difficilement dans cette terre dure comme de la roche, mais elle était si déterminé à se débarrasser de ses os malodorant, qu'elle y mit toute sa volonté. Justine creusait si fort que ses cris pouvaient quasiment se confondre avec ceux que fait une joueuse de tennis... Soudain, elle fut interrompue par une voix qui la hélait : "Madame!!! Madame!" Elle se retourna en sursaut. "Madame! Il nous faut votre signature pour la facture..." Dans son empressement de se débarrasser des ossements de son défun mari, Justine n'avait pas terminé avec les livreurs... Elle était là en sueur au milieu de ce terrain à creuser un trou. Que va-t-elle bien pouvoir leur dire ? Justine lâche sa pelle et part à leur rencontre : "Ah mince, excusez moi. Cette facture l'est sortie de la tête. C'est qu'il faut que je creuse un grand trou ici, j'ai prévu de planter un baobab !". Le livreur, un peu étonné s'aprète à repartir quand Justine lui demande "Vous connaissez les baobabs ? C'est un arbre qui vous plaît ?" mais le livreur a l'oeil qui traine derrière Justine...un grand sac avec une touffe de poil qui en sort,la terre sous les ongles de Justine.... le gars fait un signe de tete en direction du sac " ça a l'air bien mort la dedans?" Justice serre un peu plus le manche de sa pioche.... "Oh ça ? Non ce n'est que ma belle-mère, ne vous inquietez pas !" dit-elle sur le ton de la plaisanterie, espérant simplement que le livreur avait lui-même eu quelques envies de meurtres pour sa propre belle-famille. |
Par sheytana : le 27/08/15 à 08:41:18
| Dire merci | Pendant qu'ils installaient péniblement le congélateur, elle improvisa un plan d'action. Tout d'abord, découper son mari en pièces de boucherie, de sorte qu'on puisse le confondre avec de la viande de cheval. Ce fut difficile mais à retirer les meilleurs filets. Ce serait parfait pour son hachis parmentier. Par contre, il restait la question des ossements ? En effet, un crâne humain et équin peuvent difficilement être confondus..." Oui, que faire des ossements ??? Elle n'avait pas de chien et pas de moyen de les brûler, sa maison étant chauffée à l'électricité... Ah mais oui, il y avait bien à 500m de chez elle cette petite maison abandonnée depuis plus de 2 ans avec son grand terrain en friche. Voilà où elle pourrait se débarrasser du corps, vu l'état de la bicoque elle n'était pas prête d'être louée ou vendue !!! elle fit le tour du propriétaire, s'arma de pelles et de pioches, et commença à creuser ... Elle creusait difficilement dans cette terre dure comme de la roche, mais elle était si déterminé à se débarrasser de ses os malodorant, qu'elle y mit toute sa volonté. Justine creusait si fort que ses cris pouvaient quasiment se confondre avec ceux que fait une joueuse de tennis... Soudain, elle fut interrompue par une voix qui la hélait : "Madame!!! Madame!" Elle se retourna en sursaut. "Madame! Il nous faut votre signature pour la facture..." Dans son empressement de se débarrasser des ossements de son défun mari, Justine n'avait pas terminé avec les livreurs... Elle était là en sueur au milieu de ce terrain à creuser un trou. Que va-t-elle bien pouvoir leur dire ? Justine lâche sa pelle et part à leur rencontre : "Ah mince, excusez moi. Cette facture l'est sortie de la tête. C'est qu'il faut que je creuse un grand trou ici, j'ai prévu de planter un baobab !". Le livreur, un peu étonné s'aprète à repartir quand Justine lui demande "Vous connaissez les baobabs ? C'est un arbre qui vous plaît ?" mais le livreur a l'oeil qui traine derrière Justine...un grand sac avec une touffe de poil qui en sort,la terre sous les ongles de Justine.... le gars fait un signe de tete en direction du sac " ça a l'air bien mort la dedans?" Justice serre un peu plus le manche de sa pioche.... "Oh ça ? Non ce n'est que ma belle-mère, ne vous inquietez pas !" dit-elle sur le ton de la plaisanterie, espérant simplement que le livreur avait lui-même eu quelques envies de meurtres pour sa propre belle-famille. Le livreur éclata de rire : "Ahahaha, je crois que ma belle-mère ne ferait même pas un bon engrais. Vous avez de la chance si la votre ne fait pas pourrir votre baobab, et toutes les cultures alentours!" |
Par Phèdre : le 27/08/15 à 08:53:07
| Dire merci | Aaaahhh mais cest gore...sheytana !  Vous me faites rire! |
Par sissy : le 27/08/15 à 08:56:06
Par dejavu : le 27/08/15 à 09:08:24
| Déconnecté Dire merci | Pendant qu'ils installaient péniblement le congélateur, elle improvisa un plan d'action. Tout d'abord, découper son mari en pièces de boucherie, de sorte qu'on puisse le confondre avec de la viande de cheval. Ce fut difficile mais à retirer les meilleurs filets. Ce serait parfait pour son hachis parmentier. Par contre, il restait la question des ossements ? En effet, un crâne humain et équin peuvent difficilement être confondus..." Oui, que faire des ossements ??? Elle n'avait pas de chien et pas de moyen de les brûler, sa maison étant chauffée à l'électricité... Ah mais oui, il y avait bien à 500m de chez elle cette petite maison abandonnée depuis plus de 2 ans avec son grand terrain en friche. Voilà où elle pourrait se débarrasser du corps, vu l'état de la bicoque elle n'était pas prête d'être louée ou vendue !!! elle fit le tour du propriétaire, s'arma de pelles et de pioches, et commença à creuser ... Elle creusait difficilement dans cette terre dure comme de la roche, mais elle était si déterminé à se débarrasser de ses os malodorant, qu'elle y mit toute sa volonté. Justine creusait si fort que ses cris pouvaient quasiment se confondre avec ceux que fait une joueuse de tennis... Soudain, elle fut interrompue par une voix qui la hélait : "Madame!!! Madame!" Elle se retourna en sursaut. "Madame! Il nous faut votre signature pour la facture..." Dans son empressement de se débarrasser des ossements de son défun mari, Justine n'avait pas terminé avec les livreurs... Elle était là en sueur au milieu de ce terrain à creuser un trou. Que va-t-elle bien pouvoir leur dire ? Justine lâche sa pelle et part à leur rencontre : "Ah mince, excusez moi. Cette facture l'est sortie de la tête. C'est qu'il faut que je creuse un grand trou ici, j'ai prévu de planter un baobab !". Le livreur, un peu étonné s'aprète à repartir quand Justine lui demande "Vous connaissez les baobabs ? C'est un arbre qui vous plaît ?" mais le livreur a l'oeil qui traine derrière Justine...un grand sac avec une touffe de poil qui en sort,la terre sous les ongles de Justine.... le gars fait un signe de tete en direction du sac " ça a l'air bien mort la dedans?" Justice serre un peu plus le manche de sa pioche.... "Oh ça ? Non ce n'est que ma belle-mère, ne vous inquietez pas !" dit-elle sur le ton de la plaisanterie, espérant simplement que le livreur avait lui-même eu quelques envies de meurtres pour sa propre belle-famille. Le livreur éclata de rire : "Ahahaha, je crois que ma belle-mère ne ferait même pas un bon engrais. Vous avez de la chance si la votre ne fait pas pourrir votre baobab, et toutes les cultures alentours!" Content de sa plaisanterie, il lui tend sa facture et repart vers sa camionnette sans remarquer que quelque chose est tombé de sa poche... Justine se penche pour le ramasser. Une carte de bus avec la photo d'un enfant. Elle se tourne en direction du livreur, mais celui-ci est déjà remonté dans son véhicule. Elle hésite un moment, pense l'appeler mais son regard revient sur le grand sac poubelle. Oh, et puis zut! J'ai autre chose à faire... elle jette la carte de bus sur le tas de terre et se remet à ses travaux de terrassement. |
Par Nine81 : le 27/08/15 à 16:03:08
| Dire merci | j'adore !!!! |
Par cecilia007 : le 27/08/15 à 16:27:22
| Dire merci | Excellent 😊 |
Par KNSV : le 28/08/15 à 16:18:34
| Dire merci | non mais la barre quoi mal au bide tellement j'me marre  |
Par Chrysalis : le 28/08/15 à 22:26:58
| Dire merci | Pendant qu'ils installaient péniblement le congélateur, elle improvisa un plan d'action. Tout d'abord, découper son mari en pièces de boucherie, de sorte qu'on puisse le confondre avec de la viande de cheval. Ce fut difficile mais à retirer les meilleurs filets. Ce serait parfait pour son hachis parmentier. Par contre, il restait la question des ossements ? En effet, un crâne humain et équin peuvent difficilement être confondus..." Oui, que faire des ossements ??? Elle n'avait pas de chien et pas de moyen de les brûler, sa maison étant chauffée à l'électricité... Ah mais oui, il y avait bien à 500m de chez elle cette petite maison abandonnée depuis plus de 2 ans avec son grand terrain en friche. Voilà où elle pourrait se débarrasser du corps, vu l'état de la bicoque elle n'était pas prête d'être louée ou vendue !!! elle fit le tour du propriétaire, s'arma de pelles et de pioches, et commença à creuser ... Elle creusait difficilement dans cette terre dure comme de la roche, mais elle était si déterminé à se débarrasser de ses os malodorant, qu'elle y mit toute sa volonté. Justine creusait si fort que ses cris pouvaient quasiment se confondre avec ceux que fait une joueuse de tennis... Soudain, elle fut interrompue par une voix qui la hélait : "Madame!!! Madame!" Elle se retourna en sursaut. "Madame! Il nous faut votre signature pour la facture..." Dans son empressement de se débarrasser des ossements de son défun mari, Justine n'avait pas terminé avec les livreurs... Elle était là en sueur au milieu de ce terrain à creuser un trou. Que va-t-elle bien pouvoir leur dire ? Justine lâche sa pelle et part à leur rencontre : "Ah mince, excusez moi. Cette facture l'est sortie de la tête. C'est qu'il faut que je creuse un grand trou ici, j'ai prévu de planter un baobab !". Le livreur, un peu étonné s'aprète à repartir quand Justine lui demande "Vous connaissez les baobabs ? C'est un arbre qui vous plaît ?" mais le livreur a l'oeil qui traine derrière Justine...un grand sac avec une touffe de poil qui en sort,la terre sous les ongles de Justine.... le gars fait un signe de tete en direction du sac " ça a l'air bien mort la dedans?" Justice serre un peu plus le manche de sa pioche.... "Oh ça ? Non ce n'est que ma belle-mère, ne vous inquietez pas !" dit-elle sur le ton de la plaisanterie, espérant simplement que le livreur avait lui-même eu quelques envies de meurtres pour sa propre belle-famille. Le livreur éclata de rire : "Ahahaha, je crois que ma belle-mère ne ferait même pas un bon engrais. Vous avez de la chance si la votre ne fait pas pourrir votre baobab, et toutes les cultures alentours!" Content de sa plaisanterie, il lui tend sa facture et repart vers sa camionnette sans remarquer que quelque chose est tombé de sa poche... Justine se penche pour le ramasser. Une carte de bus avec la photo d'un enfant. Elle se tourne en direction du livreur, mais celui-ci est déjà remonté dans son véhicule. Elle hésite un moment, pense l'appeler mais son regard revient sur le grand sac poubelle. Oh, et puis zut! J'ai autre chose à faire... elle jette la carte de bus sur le tas de terre et se remet à ses travaux de terrassement. Elle contemple le tas de terre retournée,et trouve la scène un peu pitoyable,elle avec de la terre sur sa robe et son visage,et l'autre monticule à nu,absurde.... Elle dégote son téléphone... " oui tante Christiane,tu aurais une plante d'ornement genre... Gerbera? Ca lui ira bien ça, gerbera " Elle esquisse un sourire,avant de se rendre compte qu'elle tentait de téléphoner avec...une télécommande!! |
Par goupille : le 29/08/15 à 08:34:24
| Dire merci | Moi qui m'appelle Justine  J'adore votre histoire! Je ris toute seule! |
Par kazoar : le 30/08/15 à 18:39:16
| Dire merci | Trop fort |
Par noirah : le 30/08/15 à 21:36:14
| Dire merci | Pendant qu'ils installaient péniblement le congélateur, elle improvisa un plan d'action. Tout d'abord, découper son mari en pièces de boucherie, de sorte qu'on puisse le confondre avec de la viande de cheval. Ce fut difficile mais à retirer les meilleurs filets. Ce serait parfait pour son hachis parmentier. Par contre, il restait la question des ossements ? En effet, un crâne humain et équin peuvent difficilement être confondus..." Oui, que faire des ossements ??? Elle n'avait pas de chien et pas de moyen de les brûler, sa maison étant chauffée à l'électricité... Ah mais oui, il y avait bien à 500m de chez elle cette petite maison abandonnée depuis plus de 2 ans avec son grand terrain en friche. Voilà où elle pourrait se débarrasser du corps, vu l'état de la bicoque elle n'était pas prête d'être louée ou vendue !!! elle fit le tour du propriétaire, s'arma de pelles et de pioches, et commença à creuser ... Elle creusait difficilement dans cette terre dure comme de la roche, mais elle était si déterminé à se débarrasser de ses os malodorant, qu'elle y mit toute sa volonté. Justine creusait si fort que ses cris pouvaient quasiment se confondre avec ceux que fait une joueuse de tennis... Soudain, elle fut interrompue par une voix qui la hélait : "Madame!!! Madame!" Elle se retourna en sursaut. "Madame! Il nous faut votre signature pour la facture..." Dans son empressement de se débarrasser des ossements de son défun mari, Justine n'avait pas terminé avec les livreurs... Elle était là en sueur au milieu de ce terrain à creuser un trou. Que va-t-elle bien pouvoir leur dire ? Justine lâche sa pelle et part à leur rencontre : "Ah mince, excusez moi. Cette facture l'est sortie de la tête. C'est qu'il faut que je creuse un grand trou ici, j'ai prévu de planter un baobab !". Le livreur, un peu étonné s'aprète à repartir quand Justine lui demande "Vous connaissez les baobabs ? C'est un arbre qui vous plaît ?" mais le livreur a l'oeil qui traine derrière Justine...un grand sac avec une touffe de poil qui en sort,la terre sous les ongles de Justine.... le gars fait un signe de tete en direction du sac " ça a l'air bien mort la dedans?" Justice serre un peu plus le manche de sa pioche.... "Oh ça ? Non ce n'est que ma belle-mère, ne vous inquietez pas !" dit-elle sur le ton de la plaisanterie, espérant simplement que le livreur avait lui-même eu quelques envies de meurtres pour sa propre belle-famille. Le livreur éclata de rire : "Ahahaha, je crois que ma belle-mère ne ferait même pas un bon engrais. Vous avez de la chance si la votre ne fait pas pourrir votre baobab, et toutes les cultures alentours!" Content de sa plaisanterie, il lui tend sa facture et repart vers sa camionnette sans remarquer que quelque chose est tombé de sa poche... Justine se penche pour le ramasser. Une carte de bus avec la photo d'un enfant. Elle se tourne en direction du livreur, mais celui-ci est déjà remonté dans son véhicule. Elle hésite un moment, pense l'appeler mais son regard revient sur le grand sac poubelle. Oh, et puis zut! J'ai autre chose à faire... elle jette la carte de bus sur le tas de terre et se remet à ses travaux de terrassement. Elle contemple le tas de terre retournée,et trouve la scène un peu pitoyable,elle avec de la terre sur sa robe et son visage,et l'autre monticule à nu,absurde.... Elle dégote son téléphone... " oui tante Christiane,tu aurais une plante d'ornement genre... Gerbera? Ca lui ira bien ça, gerbera " Elle esquisse un sourire,avant de se rendre compte qu'elle tentait de téléphoner avec...une télécommande!! puis, elle se souvient qu'elle n'avait pas pris ses cachets prescrit par l'HP depuis plusieurs jours, ... mince entre son mari, Roberto, le hachis de viande humaine et le baobab de la belle mère ah non le baobab ce n'est pas celui de la belle mère ... Justine était en train de perdre les pédales, ... euh les tibias il fallait garder son sang froid oui c'était de circonstance,... prenant sa pelle et un air dégagé, Justine entreprit de rentrer chez elle. arrivée chez elle, elle prit soin de fermer les volets et la porte puis, avec un verre de sang frais, elle pris ses cachets pour avoir les idées plus claires et se détendre un peu ! après avoir revêtue son plus beau tablier "la reine du ragoût c'est moi", elle se livra à une opération découpage à grand renfort de sacs de congélation. barbouillée de chair, pataugeant dans le sang, elle entrepris de tout nettoyer... après tout cela elle décida de passer à table heureusement qu'elle avait pensé à garder une poêle de sang pour se faire une bonne sanguette aux pomme de terre et eu l'idée de partager ce merveilleux moment avec Roberto Tibia, lorsque, ... |
Par mon quidam : le 31/08/15 à 12:09:07
| Dire merci | Elle creusait difficilement dans cette terre dure comme de la roche, mais elle était si déterminé à se débarrasser de ses os malodorant, qu'elle y mit toute sa volonté. Justine creusait si fort que ses cris pouvaient quasiment se confondre avec ceux que fait une joueuse de tennis... Soudain, elle fut interrompue par une voix qui la hélait : "Madame!!! Madame!" Elle se retourna en sursaut. "Madame! Il nous faut votre signature pour la facture..." Dans son empressement de se débarrasser des ossements de son défun mari, Justine n'avait pas terminé avec les livreurs... Elle était là en sueur au milieu de ce terrain à creuser un trou. Que va-t-elle bien pouvoir leur dire ? Justine lâche sa pelle et part à leur rencontre : "Ah mince, excusez moi. Cette facture l'est sortie de la tête. C'est qu'il faut que je creuse un grand trou ici, j'ai prévu de planter un baobab !". Le livreur, un peu étonné s'aprète à repartir quand Justine lui demande "Vous connaissez les baobabs ? C'est un arbre qui vous plaît ?" mais le livreur a l'oeil qui traine derrière Justine...un grand sac avec une touffe de poil qui en sort,la terre sous les ongles de Justine.... le gars fait un signe de tete en direction du sac " ça a l'air bien mort la dedans?" Justice serre un peu plus le manche de sa pioche.... "Oh ça ? Non ce n'est que ma belle-mère, ne vous inquietez pas !" dit-elle sur le ton de la plaisanterie, espérant simplement que le livreur avait lui-même eu quelques envies de meurtres pour sa propre belle-famille. Le livreur éclata de rire : "Ahahaha, je crois que ma belle-mère ne ferait même pas un bon engrais. Vous avez de la chance si la votre ne fait pas pourrir votre baobab, et toutes les cultures alentours!" Content de sa plaisanterie, il lui tend sa facture et repart vers sa camionnette sans remarquer que quelque chose est tombé de sa poche... Justine se penche pour le ramasser. Une carte de bus avec la photo d'un enfant. Elle se tourne en direction du livreur, mais celui-ci est déjà remonté dans son véhicule. Elle hésite un moment, pense l'appeler mais son regard revient sur le grand sac poubelle. Oh, et puis zut! J'ai autre chose à faire... elle jette la carte de bus sur le tas de terre et se remet à ses travaux de terrassement. Elle contemple le tas de terre retournée,et trouve la scène un peu pitoyable,elle avec de la terre sur sa robe et son visage,et l'autre monticule à nu,absurde.... Elle dégote son téléphone... " oui tante Christiane,tu aurais une plante d'ornement genre... Gerbera? Ca lui ira bien ça, gerbera " Elle esquisse un sourire,avant de se rendre compte qu'elle tentait de téléphoner avec...une télécommande!! puis, elle se souvient qu'elle n'avait pas pris ses cachets prescrit par l'HP depuis plusieurs jours, ... mince entre son mari, Roberto, le hachis de viande humaine et le baobab de la belle mère ah non le baobab ce n'est pas celui de la belle mère ... Justine était en train de perdre les pédales, ... euh les tibias il fallait garder son sang froid oui c'était de circonstance,... prenant sa pelle et un air dégagé, Justine entreprit de rentrer chez elle. arrivée chez elle, elle prit soin de fermer les volets et la porte puis, avec un verre de sang frais, elle pris ses cachets pour avoir les idées plus claires et se détendre un peu ! après avoir revêtue son plus beau tablier "la reine du ragoût c'est moi", elle se livra à une opération découpage à grand renfort de sacs de congélation. barbouillée de chair, pataugeant dans le sang, elle entrepris de tout nettoyer... après tout cela elle décida de passer à table heureusement qu'elle avait pensé à garder une poêle de sang pour se faire une bonne sanguette aux pomme de terre et eu l'idée de partager ce merveilleux moment avec Roberto Tibia, lorsque, ... se retournant pour contempler sa belle ouvrage, elle aperçut Oui, le chat de son époux, s'échapper par la fenêtre une main entre les dents! - merde! Oui se casse avec les empreintes digitales! Message édité le 31/08/15 à 12:25 |
Par kefiretlome : le 31/08/15 à 12:24:13
| Dire merci | Empreintes ! |
Par mon quidam : le 31/08/15 à 12:26:06
| Dire merci |  connard de smartphone va!  |
Par kefiretlome : le 31/08/15 à 12:29:29
| Dire merci | Vive la technologie moderne |
Par Uriette : le 31/08/15 à 13:28:44
| Déconnecté Dire merci | Elle creusait difficilement dans cette terre dure comme de la roche, mais elle était si déterminé à se débarrasser de ses os malodorant, qu'elle y mit toute sa volonté. Justine creusait si fort que ses cris pouvaient quasiment se confondre avec ceux que fait une joueuse de tennis... Soudain, elle fut interrompue par une voix qui la hélait : "Madame!!! Madame!" Elle se retourna en sursaut. "Madame! Il nous faut votre signature pour la facture..." Dans son empressement de se débarrasser des ossements de son défun mari, Justine n'avait pas terminé avec les livreurs... Elle était là en sueur au milieu de ce terrain à creuser un trou. Que va-t-elle bien pouvoir leur dire ? Justine lâche sa pelle et part à leur rencontre : "Ah mince, excusez moi. Cette facture l'est sortie de la tête. C'est qu'il faut que je creuse un grand trou ici, j'ai prévu de planter un baobab !". Le livreur, un peu étonné s'aprète à repartir quand Justine lui demande "Vous connaissez les baobabs ? C'est un arbre qui vous plaît ?" mais le livreur a l'oeil qui traine derrière Justine...un grand sac avec une touffe de poil qui en sort,la terre sous les ongles de Justine.... le gars fait un signe de tete en direction du sac " ça a l'air bien mort la dedans?" Justice serre un peu plus le manche de sa pioche.... "Oh ça ? Non ce n'est que ma belle-mère, ne vous inquietez pas !" dit-elle sur le ton de la plaisanterie, espérant simplement que le livreur avait lui-même eu quelques envies de meurtres pour sa propre belle-famille. Le livreur éclata de rire : "Ahahaha, je crois que ma belle-mère ne ferait même pas un bon engrais. Vous avez de la chance si la votre ne fait pas pourrir votre baobab, et toutes les cultures alentours!" Content de sa plaisanterie, il lui tend sa facture et repart vers sa camionnette sans remarquer que quelque chose est tombé de sa poche... Justine se penche pour le ramasser. Une carte de bus avec la photo d'un enfant. Elle se tourne en direction du livreur, mais celui-ci est déjà remonté dans son véhicule. Elle hésite un moment, pense l'appeler mais son regard revient sur le grand sac poubelle. Oh, et puis zut! J'ai autre chose à faire... elle jette la carte de bus sur le tas de terre et se remet à ses travaux de terrassement. Elle contemple le tas de terre retournée,et trouve la scène un peu pitoyable,elle avec de la terre sur sa robe et son visage,et l'autre monticule à nu,absurde.... Elle dégote son téléphone... " oui tante Christiane,tu aurais une plante d'ornement genre... Gerbera? Ca lui ira bien ça, gerbera " Elle esquisse un sourire,avant de se rendre compte qu'elle tentait de téléphoner avec...une télécommande!! puis, elle se souvient qu'elle n'avait pas pris ses cachets prescrit par l'HP depuis plusieurs jours, ... mince entre son mari, Roberto, le hachis de viande humaine et le baobab de la belle mère ah non le baobab ce n'est pas celui de la belle mère ... Justine était en train de perdre les pédales, ... euh les tibias il fallait garder son sang froid oui c'était de circonstance,... prenant sa pelle et un air dégagé, Justine entreprit de rentrer chez elle. arrivée chez elle, elle prit soin de fermer les volets et la porte puis, avec un verre de sang frais, elle pris ses cachets pour avoir les idées plus claires et se détendre un peu ! après avoir revêtue son plus beau tablier "la reine du ragoût c'est moi", elle se livra à une opération découpage à grand renfort de sacs de congélation. barbouillée de chair, pataugeant dans le sang, elle entrepris de tout nettoyer... après tout cela elle décida de passer à table heureusement qu'elle avait pensé à garder une poêle de sang pour se faire une bonne sanguette aux pomme de terre et eu l'idée de partager ce merveilleux moment avec Roberto Tibia, lorsque, ... se retournant pour contempler sa belle ouvrage, elle aperçut Oui, le chat de son époux, s'échapper par la fenêtre une main entre les dents! - merde! Oui se casse avec les empreintes digitales! Elle sembla soudainement prendre conscience de la gravité de la situation, puis se ravisa. "Ne perdons pas notre sang froid", se dit-elle en employant le pluriel pour s'adresser aux autres qui étaient dans sa tête. |
Par sheytana : le 31/08/15 à 13:40:58
| Dire merci | Puis, elle se souvient qu'elle n'avait pas pris ses cachets prescrit par l'HP depuis plusieurs jours, ... mince entre son mari, Roberto, le hachis de viande humaine et le baobab de la belle mère ah non le baobab ce n'est pas celui de la belle mère ... Justine était en train de perdre les pédales, ... euh les tibias il fallait garder son sang froid oui c'était de circonstance,... prenant sa pelle et un air dégagé, Justine entreprit de rentrer chez elle. arrivée chez elle, elle prit soin de fermer les volets et la porte puis, avec un verre de sang frais, elle pris ses cachets pour avoir les idées plus claires et se détendre un peu ! après avoir revêtue son plus beau tablier "la reine du ragoût c'est moi", elle se livra à une opération découpage à grand renfort de sacs de congélation. barbouillée de chair, pataugeant dans le sang, elle entrepris de tout nettoyer... après tout cela elle décida de passer à table heureusement qu'elle avait pensé à garder une poêle de sang pour se faire une bonne sanguette aux pomme de terre et eu l'idée de partager ce merveilleux moment avec Roberto Tibia, lorsque, ... se retournant pour contempler sa belle ouvrage, elle aperçut Oui, le chat de son époux, s'échapper par la fenêtre une main entre les dents! - merde! Oui se casse avec les empreintes digitales! Elle sembla soudainement prendre conscience de la gravité de la situation, puis se ravisa. "Ne perdons pas notre sang froid", se dit-elle en employant le pluriel pour s'adresser aux autres qui étaient dans sa tête. "Nous sommes en train de disjoncter complètement les filles. J'ai faillit inviter Rob à manger alors qu'il est mort depuis 2 ans!! Nous sommes en train de perdre la boule!" Elle n'avait néanmoins pas envie de dîner seule. Mais maintenant que les hommes les plus proches d'elles étaient tous morts et enterrés (certains mieux que d'autres...), il ne lui resta plus d'autre choix que celui de se faire une nouvelle victime. Ou plutôt "un nouvel ami" comme elle aimait dire. Message édité le 31/08/15 à 13:41 |
Par Uriette : le 31/08/15 à 14:13:33
| Déconnecté Dire merci | Puis, elle se souvient qu'elle n'avait pas pris ses cachets prescrit par l'HP depuis plusieurs jours, ... mince entre son mari, Roberto, le hachis de viande humaine et le baobab de la belle mère ah non le baobab ce n'est pas celui de la belle mère ... Justine était en train de perdre les pédales, ... euh les tibias il fallait garder son sang froid oui c'était de circonstance,... prenant sa pelle et un air dégagé, Justine entreprit de rentrer chez elle. arrivée chez elle, elle prit soin de fermer les volets et la porte puis, avec un verre de sang frais, elle pris ses cachets pour avoir les idées plus claires et se détendre un peu ! après avoir revêtue son plus beau tablier "la reine du ragoût c'est moi", elle se livra à une opération découpage à grand renfort de sacs de congélation. barbouillée de chair, pataugeant dans le sang, elle entrepris de tout nettoyer... après tout cela elle décida de passer à table heureusement qu'elle avait pensé à garder une poêle de sang pour se faire une bonne sanguette aux pomme de terre et eu l'idée de partager ce merveilleux moment avec Roberto Tibia, lorsque, ... se retournant pour contempler sa belle ouvrage, elle aperçut Oui, le chat de son époux, s'échapper par la fenêtre une main entre les dents! - merde! Oui se casse avec les empreintes digitales! Elle sembla soudainement prendre conscience de la gravité de la situation, puis se ravisa. "Ne perdons pas notre sang froid", se dit-elle en employant le pluriel pour s'adresser aux autres qui étaient dans sa tête. "Nous sommes en train de disjoncter complètement les filles. J'ai faillit inviter Rob à manger alors qu'il est mort depuis 2 ans!! Nous sommes en train de perdre la boule!" Elle n'avait néanmoins pas envie de dîner seule. Mais maintenant que les hommes les plus proches d'elles étaient tous morts et enterrés (certains mieux que d'autres...), il ne lui resta plus d'autre choix que celui de se faire une nouvelle victime. Ou plutôt "un nouvel ami" comme elle aimait dire. Elle repensa à Rob avec nostalgie. Elle aimait sa compagnie, surtout le soir pour des diner aux chandelles. Oh, elle ne lui préparait pas grand chose d'autre que des ragouts qu'elle décongelait et agrémentait d'épices et de vin de mauvaise qualité. Il ne posait pas beaucoup de questions, si ce n'était qu'une : "Quel est ton secret pour avoir des ragoûts si savoureux" Ce à quoi elle répondait invariablement avec tendresse : "mais tu le sais mon chéri, pour les ragoûts il n'y a qu'un secret : la qualité de la viande." Puis dans un élan complice il finissait la phrase "qui dépend de la manière dont on nourrit les animaux, oui je sais." Puis à l'unisson, ils éclataient de rire. |
Par mon quidam : le 31/08/15 à 14:44:21
| Dire merci | Puis, elle se souvient qu'elle n'avait pas pris ses cachets prescrit par l'HP depuis plusieurs jours, ... mince entre son mari, Roberto, le hachis de viande humaine et le baobab de la belle mère ah non le baobab ce n'est pas celui de la belle mère ... Justine était en train de perdre les pédales, ... euh les tibias il fallait garder son sang froid oui c'était de circonstance,... prenant sa pelle et un air dégagé, Justine entreprit de rentrer chez elle. arrivée chez elle, elle prit soin de fermer les volets et la porte puis, avec un verre de sang frais, elle pris ses cachets pour avoir les idées plus claires et se détendre un peu ! après avoir revêtue son plus beau tablier "la reine du ragoût c'est moi", elle se livra à une opération découpage à grand renfort de sacs de congélation. barbouillée de chair, pataugeant dans le sang, elle entrepris de tout nettoyer... après tout cela elle décida de passer à table heureusement qu'elle avait pensé à garder une poêle de sang pour se faire une bonne sanguette aux pomme de terre et eu l'idée de partager ce merveilleux moment avec Roberto Tibia, lorsque, ... se retournant pour contempler sa belle ouvrage, elle aperçut Oui, le chat de son époux, s'échapper par la fenêtre une main entre les dents! - merde! Oui se casse avec les empreintes digitales! Elle sembla soudainement prendre conscience de la gravité de la situation, puis se ravisa. "Ne perdons pas notre sang froid", se dit-elle en employant le pluriel pour s'adresser aux autres qui étaient dans sa tête. "Nous sommes en train de disjoncter complètement les filles. J'ai faillit inviter Rob à manger alors qu'il est mort depuis 2 ans!! Nous sommes en train de perdre la boule!" Elle n'avait néanmoins pas envie de dîner seule. Mais maintenant que les hommes les plus proches d'elles étaient tous morts et enterrés (certains mieux que d'autres...), il ne lui resta plus d'autre choix que celui de se faire une nouvelle victime. Ou plutôt "un nouvel ami" comme elle aimait dire. Elle repensa à Rob avec nostalgie. Elle aimait sa compagnie, surtout le soir pour des diner aux chandelles. Oh, elle ne lui préparait pas grand chose d'autre que des ragouts qu'elle décongelait et agrémentait d'épices et de vin de mauvaise qualité. Il ne posait pas beaucoup de questions, si ce n'était qu'une : "Quel est ton secret pour avoir des ragoûts si savoureux" Ce à quoi elle répondait invariablement avec tendresse : "mais tu le sais mon chéri, pour les ragoûts il n'y a qu'un secret : la qualité de la viande." Puis dans un élan complice il finissait la phrase "qui dépend de la manière dont on nourrit les animaux, oui je sais." Puis à l'unisson, ils éclataient de rire. Oui fit une courte halte dans un buisson, puis bondit sur le toit du garage avant d'atteindre le toit de la maison voisine. Il adorait venir à cette endroit : de là, il avait une vue dégagée, il pouvait voir tous les jardins, les rues et les maisons alentours, et ce, jusqu'à la gendarmerie. Il s'assit et commença à croquer la main de son défunt maitre adoré. Mais Grocha, son principal rival qui se promenait sur la même toiture, trouva le met aussi fort à son goût. S'ensuit une rude bataille autour du membre dont aucun ne sort vainqueur : pour les deux félins, c'est choir de part et d'autre du toit. Et la main dans l'empoignade se trouve accidentellement empalée à la flèche de la girouette! surplombant fièrement la paysage urbain du voisinage. Message édité le 31/08/15 à 14:46 Message édité le 31/08/15 à 14:47 |
Par sheytana : le 31/08/15 à 14:53:30
| Dire merci | Puis, elle se souvient qu'elle n'avait pas pris ses cachets prescrit par l'HP depuis plusieurs jours, ... mince entre son mari, Roberto, le hachis de viande humaine et le baobab de la belle mère ah non le baobab ce n'est pas celui de la belle mère ... Justine était en train de perdre les pédales, ... euh les tibias il fallait garder son sang froid oui c'était de circonstance,... prenant sa pelle et un air dégagé, Justine entreprit de rentrer chez elle. arrivée chez elle, elle prit soin de fermer les volets et la porte puis, avec un verre de sang frais, elle pris ses cachets pour avoir les idées plus claires et se détendre un peu ! après avoir revêtue son plus beau tablier "la reine du ragoût c'est moi", elle se livra à une opération découpage à grand renfort de sacs de congélation. barbouillée de chair, pataugeant dans le sang, elle entrepris de tout nettoyer... après tout cela elle décida de passer à table heureusement qu'elle avait pensé à garder une poêle de sang pour se faire une bonne sanguette aux pomme de terre et eu l'idée de partager ce merveilleux moment avec Roberto Tibia, lorsque, ... se retournant pour contempler sa belle ouvrage, elle aperçut Oui, le chat de son époux, s'échapper par la fenêtre une main entre les dents! - merde! Oui se casse avec les empreintes digitales! Elle sembla soudainement prendre conscience de la gravité de la situation, puis se ravisa. "Ne perdons pas notre sang froid", se dit-elle en employant le pluriel pour s'adresser aux autres qui étaient dans sa tête. "Nous sommes en train de disjoncter complètement les filles. J'ai faillit inviter Rob à manger alors qu'il est mort depuis 2 ans!! Nous sommes en train de perdre la boule!" Elle n'avait néanmoins pas envie de dîner seule. Mais maintenant que les hommes les plus proches d'elles étaient tous morts et enterrés (certains mieux que d'autres...), il ne lui resta plus d'autre choix que celui de se faire une nouvelle victime. Ou plutôt "un nouvel ami" comme elle aimait dire. Elle repensa à Rob avec nostalgie. Elle aimait sa compagnie, surtout le soir pour des diner aux chandelles. Oh, elle ne lui préparait pas grand chose d'autre que des ragouts qu'elle décongelait et agrémentait d'épices et de vin de mauvaise qualité. Il ne posait pas beaucoup de questions, si ce n'était qu'une : "Quel est ton secret pour avoir des ragoûts si savoureux" Ce à quoi elle répondait invariablement avec tendresse : "mais tu le sais mon chéri, pour les ragoûts il n'y a qu'un secret : la qualité de la viande." Puis dans un élan complice il finissait la phrase "qui dépend de la manière dont on nourrit les animaux, oui je sais." Puis à l'unisson, ils éclataient de rire. Oui fit une courte halte dans un buisson, puis bondit sur le toit du garage avant d'atteindre le toit de la maison voisine. Il adorait venir à cette endroit : de là, il avait une vue dégagée, il pouvait voir tous les jardins, les rues et les maisons alentours. Il s'assit et commença à croquer la main de son défunt maître adorée. Mais Grocha, son principal rival qui se promenait sur la même toiture, trouva le met aussi fort à son goût. S'ensuit une rude bataille autour du membre dont aucun ne sort vainqueur : pour les deux félins, c'est choir de part et d'autre du toit. Et la main dans l'empoignade se trouve accidentellement empalée à la flèche de la girouette! surplombant fièrement la paysage urbain du voisinage. Dans sa longue rêvasserie, Justine en avait oublié le chat et la main de son mari. Tant pis, elle s'en occuperait plus tard. Elle s'accorda une petite pause bien méritée, avant de préparer le dîner et se mettre en quête de son nouvel ami. Elle s'installa dans son canapé un instant, et se servit un verre de rouge. "Un roux, ça pourrait être sympa ça" se dit-elle "Je n'ai jamais eu d'ami roux"... |
Par kazoar : le 31/08/15 à 15:04:53
| Dire merci | retournant pour contempler sa belle ouvrage, elle aperçut Oui, le chat de son époux, s'échapper par la fenêtre une main entre les dents! - merde! Oui se casse avec les empreintes digitales! Elle sembla soudainement prendre conscience de la gravité de la situation, puis se ravisa. "Ne perdons pas notre sang froid", se dit-elle en employant le pluriel pour s'adresser aux autres qui étaient dans sa tête. "Nous sommes en train de disjoncter complètement les filles. J'ai faillit inviter Rob à manger alors qu'il est mort depuis 2 ans!! Nous sommes en train de perdre la boule!" Elle n'avait néanmoins pas envie de dîner seule. Mais maintenant que les hommes les plus proches d'elles étaient tous morts et enterrés (certains mieux que d'autres...), il ne lui resta plus d'autre choix que celui de se faire une nouvelle victime. Ou plutôt "un nouvel ami" comme elle aimait dire. Elle repensa à Rob avec nostalgie. Elle aimait sa compagnie, surtout le soir pour des diner aux chandelles. Oh, elle ne lui préparait pas grand chose d'autre que des ragouts qu'elle décongelait et agrémentait d'épices et de vin de mauvaise qualité. Il ne posait pas beaucoup de questions, si ce n'était qu'une : "Quel est ton secret pour avoir des ragoûts si savoureux" Ce à quoi elle répondait invariablement avec tendresse : "mais tu le sais mon chéri, pour les ragoûts il n'y a qu'un secret : la qualité de la viande." Puis dans un élan complice il finissait la phrase "qui dépend de la manière dont on nourrit les animaux, oui je sais." Puis à l'unisson, ils éclataient de rire. Oui fit une courte halte dans un buisson, puis bondit sur le toit du garage avant d'atteindre le toit de la maison voisine. Il adorait venir à cette endroit : de là, il avait une vue dégagée, il pouvait voir tous les jardins, les rues et les maisons alentours. Il s'assit et commença à croquer la main de son défunt maître adorée. Mais Grocha, son principal rival qui se promenait sur la même toiture, trouva le met aussi fort à son goût. S'ensuit une rude bataille autour du membre dont aucun ne sort vainqueur : pour les deux félins, c'est choir de part et d'autre du toit. Et la main dans l'empoignade se trouve accidentellement empalée à la flèche de la girouette! surplombant fièrement la paysage urbain du voisinage. Dans sa longue rêvasserie, Justine en avait oublié le chat et la main de son mari. Tant pis, elle s'en occuperait plus tard. Elle s'accorda une petite pause bien méritée, avant de préparer le dîner et se mettre en quête de son nouvel ami. Elle s'installa dans son canapé un instant, et se servit un verre de rouge. "Un roux, ça pourrait être sympa ça" se dit-elle "Je n'ai jamais eu d'ami roux"... Les griffes de Oui crissèrent le long du chaîneau dans un bruit affreux. Il tentait désespéremment de ne ralentir sa chute, quitte à lacérer au passage le visage de la vieille Madame Péronée qui se penchait par la fenêtre voir d'où venait ce bruit affreux. Oui essaya de faire la tête du chat de Shrek pour amadouer la vieille dame lorsqu'il glissa devant elle mais il ne récolta qu'un hurlement strident : "Hiiiiii ! Sale chat ! Au secours on m'agresse !!!!". Dans la rue, appuyé sur sa canne depuis son accident de moto, Albert le Maire leva les yeux. Dans un réflexe il lâcha sa canne et tendit les bras pour attraper ce chat tombé du toit… ce qui le fit tomber à son tour. Oui s'agrippa aux cheveux d'Albert, roux comme les feuilles d'automne au fond du jardin de sa maîtresse. Puis sans remercier son sauveur, il fila faire le tour de la maison, des cheveux pris dans ses griffes, pour retrouver Grochat. |
Par Kat... : le 31/08/15 à 15:30:37
| Dire merci | Non mais Albert le Maire, M. Tibia et Madame Péronnée mais ptdr quoi ! |
Par sissy : le 31/08/15 à 16:25:34
| Dire merci | Pas facile de suivre après plusieurs jours d'absence, c'est pas mal quand les deux textes sont de couleurs différentes. |
Par Chrysalis : le 31/08/15 à 22:00:30
| Dire merci | Oui fit une courte halte dans un buisson, puis bondit sur le toit du garage avant d'atteindre le toit de la maison voisine. Il adorait venir à cette endroit : de là, il avait une vue dégagée, il pouvait voir tous les jardins, les rues et les maisons alentours. Il s'assit et commença à croquer la main de son défunt maître adorée. Mais Grocha, son principal rival qui se promenait sur la même toiture, trouva le met aussi fort à son goût. S'ensuit une rude bataille autour du membre dont aucun ne sort vainqueur : pour les deux félins, c'est choir de part et d'autre du toit. Et la main dans l'empoignade se trouve accidentellement empalée à la flèche de la girouette! surplombant fièrement la paysage urbain du voisinage. Dans sa longue rêvasserie, Justine en avait oublié le chat et la main de son mari. Tant pis, elle s'en occuperait plus tard. Elle s'accorda une petite pause bien méritée, avant de préparer le dîner et se mettre en quête de son nouvel ami. Elle s'installa dans son canapé un instant, et se servit un verre de rouge. "Un roux, ça pourrait être sympa ça" se dit-elle "Je n'ai jamais eu d'ami roux"... Les griffes de Oui crissèrent le long du chaîneau dans un bruit affreux. Il tentait désespéremment de ne ralentir sa chute, quitte à lacérer au passage le visage de la vieille Madame Péronée qui se penchait par la fenêtre voir d'où venait ce bruit affreux. Oui essaya de faire la tête du chat de Shrek pour amadouer la vieille dame lorsqu'il glissa devant elle mais il ne récolta qu'un hurlement strident : "Hiiiiii ! Sale chat ! Au secours on m'agresse !!!!". Dans la rue, appuyé sur sa canne depuis son accident de moto, Albert le Maire leva les yeux. Dans un réflexe il lâcha sa canne et tendit les bras pour attraper ce chat tombé du toit… ce qui le fit tomber à son tour. Oui s'agrippa aux cheveux d'Albert, roux comme les feuilles d'automne au fond du jardin de sa maîtresse. Puis sans remercier son sauveur, il fila faire le tour de la maison, des cheveux pris dans ses griffes, pour retrouver Grochat. voyant Oui le Chat se faufiler dans la chatière,monsieur le maire se dit qu'il serait bon ton de saluer Justine, fervente bénévole a la banque alimentaire(toujours un bon ragout a fournir) ,surtout en cette période électorale.... "toc toc toc" "qui est là " "albert" "albert qui?" " Albert Rézina" ".... oh entrez donc,cher ami" elle ouvre la porte en s'étant assuré de fermer la porte de la cuisine,et son sourire s'élargit quand son regard se pose sur la délicieuse couronne de cheveux roux. elle pense..."c'est toujours mieux que adopteunmec.com" d'un regard coquin,elle lui demande "vous voulez du boudin?" |
Par Uriette : le 31/08/15 à 23:49:43
| Déconnecté Dire merci | Oui fit une courte halte dans un buisson, puis bondit sur le toit du garage avant d'atteindre le toit de la maison voisine. Il adorait venir à cette endroit : de là, il avait une vue dégagée, il pouvait voir tous les jardins, les rues et les maisons alentours. Il s'assit et commença à croquer la main de son défunt maître adorée. Mais Grocha, son principal rival qui se promenait sur la même toiture, trouva le met aussi fort à son goût. S'ensuit une rude bataille autour du membre dont aucun ne sort vainqueur : pour les deux félins, c'est choir de part et d'autre du toit. Et la main dans l'empoignade se trouve accidentellement empalée à la flèche de la girouette! surplombant fièrement la paysage urbain du voisinage. Dans sa longue rêvasserie, Justine en avait oublié le chat et la main de son mari. Tant pis, elle s'en occuperait plus tard. Elle s'accorda une petite pause bien méritée, avant de préparer le dîner et se mettre en quête de son nouvel ami. Elle s'installa dans son canapé un instant, et se servit un verre de rouge. "Un roux, ça pourrait être sympa ça" se dit-elle "Je n'ai jamais eu d'ami roux"... Les griffes de Oui crissèrent le long du chaîneau dans un bruit affreux. Il tentait désespéremment de ne ralentir sa chute, quitte à lacérer au passage le visage de la vieille Madame Péronée qui se penchait par la fenêtre voir d'où venait ce bruit affreux. Oui essaya de faire la tête du chat de Shrek pour amadouer la vieille dame lorsqu'il glissa devant elle mais il ne récolta qu'un hurlement strident : "Hiiiiii ! Sale chat ! Au secours on m'agresse !!!!". Dans la rue, appuyé sur sa canne depuis son accident de moto, Albert le Maire leva les yeux. Dans un réflexe il lâcha sa canne et tendit les bras pour attraper ce chat tombé du toit… ce qui le fit tomber à son tour. Oui s'agrippa aux cheveux d'Albert, roux comme les feuilles d'automne au fond du jardin de sa maîtresse. Puis sans remercier son sauveur, il fila faire le tour de la maison, des cheveux pris dans ses griffes, pour retrouver Grochat. voyant Oui le Chat se faufiler dans la chatière,monsieur le maire se dit qu'il serait bon ton de saluer Justine, fervente bénévole a la banque alimentaire(toujours un bon ragout a fournir) ,surtout en cette période électorale.... "toc toc toc" "qui est là " "albert" "albert qui?" " Albert Rézina" ".... oh entrez donc,cher ami" elle ouvre la porte en s'étant assuré de fermer la porte de la cuisine,et son sourire s'élargit quand son regard se pose sur la délicieuse couronne de cheveux roux. elle pense..."c'est toujours mieux que adopteunmec.com" d'un regard coquin,elle lui demande "vous voulez du boudin?" "Avec plaisir" répond-t-il d'un ton jovial. - Monsieur le maire installez-vous, dit-elle joyeusement. - Je vous en prie, appelez-moi Albert, ne faisons pas de manières, votre mari n'est pas pas là ? - Mon Mari ? Vous savez, il va, il vient, il disparait pour ainsi dire...Ce n'est pas bien grave dit-elle sur le ton de la confidence en lui prenant la main. Ne bougez pas je reviens. C'est vrai que le mari de Justine est toujours fourré avec La Marquise Guillemette du Col de Mont Fémur l'aristocrate locale qui se meurt d'ennui en son chateau de Province pendant que Mr son mari, (qui a battu Albert aux dernières élections législatives), joue les coqs à l'assemblée... Dans le village les ragots sur la Marquise et ses nombreuses conquêtes vont bon train, il parait même qu'elle en aurait fait disparaitre plus d'un ! "Pauvre Justine, pensa Albert en soupirant, elle feint d'ignorer pour conserver sa dignité de femme baffouée, elle qui est si douce, si généreuse et si attentionnée". Il était admiratif. - Vous savez, j'ai vu votre girouette sur le toit ! C'est, il réfléchit, original... - Ah, ça appartient à mon mari. Message édité le 31/08/15 à 23:52 |
Par sheytana : le 01/09/15 à 08:23:26
| Dire merci | La girouette était sur le toit de la voisine |
Par Uriette : le 01/09/15 à 08:31:51
| Déconnecté Dire merci | Oups, je bats ma coulpe ! |
Par Uriette : le 01/09/15 à 08:59:53
| Déconnecté Dire merci | Oui fit une courte halte dans un buisson, puis bondit sur le toit du garage avant d'atteindre le toit de la maison voisine. Il adorait venir à cette endroit : de là, il avait une vue dégagée, il pouvait voir tous les jardins, les rues et les maisons alentours. Il s'assit et commença à croquer la main de son défunt maître adorée. Mais Grocha, son principal rival qui se promenait sur la même toiture, trouva le met aussi fort à son goût. S'ensuit une rude bataille autour du membre dont aucun ne sort vainqueur : pour les deux félins, c'est choir de part et d'autre du toit. Et la main dans l'empoignade se trouve accidentellement empalée à la flèche de la girouette! surplombant fièrement la paysage urbain du voisinage. Dans sa longue rêvasserie, Justine en avait oublié le chat et la main de son mari. Tant pis, elle s'en occuperait plus tard. Elle s'accorda une petite pause bien méritée, avant de préparer le dîner et se mettre en quête de son nouvel ami. Elle s'installa dans son canapé un instant, et se servit un verre de rouge. "Un roux, ça pourrait être sympa ça" se dit-elle "Je n'ai jamais eu d'ami roux"... Les griffes de Oui crissèrent le long du chaîneau dans un bruit affreux. Il tentait désespéremment de ne ralentir sa chute, quitte à lacérer au passage le visage de la vieille Madame Péronée qui se penchait par la fenêtre voir d'où venait ce bruit affreux. Oui essaya de faire la tête du chat de Shrek pour amadouer la vieille dame lorsqu'il glissa devant elle mais il ne récolta qu'un hurlement strident : "Hiiiiii ! Sale chat ! Au secours on m'agresse !!!!". Dans la rue, appuyé sur sa canne depuis son accident de moto, Albert le Maire leva les yeux. Dans un réflexe il lâcha sa canne et tendit les bras pour attraper ce chat tombé du toit… ce qui le fit tomber à son tour. Oui s'agrippa aux cheveux d'Albert, roux comme les feuilles d'automne au fond du jardin de sa maîtresse. Puis sans remercier son sauveur, il fila faire le tour de la maison, des cheveux pris dans ses griffes, pour retrouver Grochat. voyant Oui le Chat se faufiler dans la chatière,monsieur le maire se dit qu'il serait bon ton de saluer Justine, fervente bénévole a la banque alimentaire(toujours un bon ragout a fournir) ,surtout en cette période électorale.... "toc toc toc" "qui est là " "albert" "albert qui?" " Albert Rézina" ".... oh entrez donc,cher ami" elle ouvre la porte en s'étant assuré de fermer la porte de la cuisine,et son sourire s'élargit quand son regard se pose sur la délicieuse couronne de cheveux roux. elle pense..."c'est toujours mieux que adopteunmec.com" d'un regard coquin,elle lui demande "vous voulez du boudin?" "Avec plaisir" répond-t-il d'un ton jovial. - Monsieur le maire installez-vous, dit-elle joyeusement. - Je vous en prie, appelez-moi Albert, ne faisons pas de manières, votre mari n'est pas pas là ? - Mon Mari ? Vous savez, il va, il vient, il disparait pour ainsi dire...Ce n'est pas bien grave dit-elle sur le ton de la confidence en lui prenant la main. Ne bougez pas je reviens. C'est vrai que le mari de Justine est toujours fourré avec La Marquise Guillemette du Col de Mont Fémur l'aristocrate locale qui se meurt d'ennui en son chateau de Province pendant que Mr son mari, (qui a battu Albert aux dernières élections législatives), joue les coqs à l'assemblée... Dans le village les ragots sur la Marquise et ses nombreuses conquêtes vont bon train, il parait même qu'elle en aurait fait disparaitre plus d'un ! "Pauvre Justine, pensa Albert en soupirant, elle feint d'ignorer pour conserver sa dignité de femme baffouée, elle qui est si douce, si généreuse et si attentionnée". Il était admiratif. - Vous savez, j'ai vu votre girouette sur le toit de votre voisine, elle est originale. - Oui je sais elle fabrique toutes sortes d'objets avec des vieilleries que la Marquise lui refile. |
Par Kat... : le 01/09/15 à 10:13:01
| Dire merci | Mais mdr ! Albert "Rézina" fallait y penser à celle-ci Je suis fan lol |
Par sheytana : le 01/09/15 à 10:26:45
| Dire merci | C'est quoi Rézina ? |
Par kazoar : le 01/09/15 à 10:38:14
| Dire merci | la bérézina ! |
Par Kat... : le 01/09/15 à 11:14:01
| Dire merci | J'ai explosé de rire au bureau à cause de ça  ... Ce qui est risqué car je suis quand même dans le bureau adjacent à celui de mon chef d'entreprise...  |
Par sheytana : le 01/09/15 à 11:24:12
| Dire merci | Je dois pas connaitre l'expression alors, parce que je trouve toujours pas ça drôle |
Par Kat... : le 01/09/15 à 11:29:04
| Dire merci | Définition de l'expression (souvent on dit "c'est la bérézina" ) : "Echec complet de quelque chose, défaite catastrophique de quelqu'un : Une bérézina électorale" - c'est la définition du Larousse... Donc Albert le Maire, qui est Albert Rézina, c'est drôle ! Enfin moi ça m'a fait rire lol ! Message édité le 01/09/15 à 11:29 |
Par sheytana : le 01/09/15 à 11:32:38
| Dire merci | Ouais j'ai lu la définition, mais bon comme j'ai jamais entendu ça me parle pas du tout  Mais peu importe hein, c'est bien trouvé pour ceux qui connaissent l'expression |
Par Lilianna : le 01/09/15 à 13:01:22
| Dire merci | Ben... c'est pas hilarant mais c'est bien trouvé, quoi ! Albert Rézina (bérézina) c'est du même acabit que Thomas Gitien (magicien) ou Vincent Drillon (cendrillon) ! Désolée de mon intervention soudaine ; je suis un "sous-marin" attentif à votre délire, vraiment bravo à tous pour votre imagination ; moi je suis incapable de participer mais j'admire !! |
Par sissy : le 01/09/15 à 13:11:35
| Dire merci | "c'est la bérézina" , cette expression vient sur tout de fait historique! Lien |
Par sheytana : le 01/09/15 à 13:30:10
| Dire merci | Les griffes de Oui crissèrent le long du chaîneau dans un bruit affreux. Il tentait désespéremment de ne ralentir sa chute, quitte à lacérer au passage le visage de la vieille Madame Péronée qui se penchait par la fenêtre voir d'où venait ce bruit affreux. Oui essaya de faire la tête du chat de Shrek pour amadouer la vieille dame lorsqu'il glissa devant elle mais il ne récolta qu'un hurlement strident : "Hiiiiii ! Sale chat ! Au secours on m'agresse !!!!". Dans la rue, appuyé sur sa canne depuis son accident de moto, Albert le Maire leva les yeux. Dans un réflexe il lâcha sa canne et tendit les bras pour attraper ce chat tombé du toit… ce qui le fit tomber à son tour. Oui s'agrippa aux cheveux d'Albert, roux comme les feuilles d'automne au fond du jardin de sa maîtresse. Puis sans remercier son sauveur, il fila faire le tour de la maison, des cheveux pris dans ses griffes, pour retrouver Grochat. voyant Oui le Chat se faufiler dans la chatière,monsieur le maire se dit qu'il serait bon ton de saluer Justine, fervente bénévole a la banque alimentaire(toujours un bon ragout a fournir) ,surtout en cette période électorale.... "toc toc toc" "qui est là " "albert" "albert qui?" " Albert Rézina" ".... oh entrez donc,cher ami" elle ouvre la porte en s'étant assuré de fermer la porte de la cuisine,et son sourire s'élargit quand son regard se pose sur la délicieuse couronne de cheveux roux. elle pense..."c'est toujours mieux que adopteunmec.com" d'un regard coquin,elle lui demande "vous voulez du boudin?" "Avec plaisir" répond-t-il d'un ton jovial. - Monsieur le maire installez-vous, dit-elle joyeusement. - Je vous en prie, appelez-moi Albert, ne faisons pas de manières, votre mari n'est pas pas là ? - Mon Mari ? Vous savez, il va, il vient, il disparait pour ainsi dire...Ce n'est pas bien grave dit-elle sur le ton de la confidence en lui prenant la main. Ne bougez pas je reviens. C'est vrai que le mari de Justine est toujours fourré avec La Marquise Guillemette du Col de Mont Fémur l'aristocrate locale qui se meurt d'ennui en son chateau de Province pendant que Mr son mari, (qui a battu Albert aux dernières élections législatives), joue les coqs à l'assemblée... Dans le village les ragots sur la Marquise et ses nombreuses conquêtes vont bon train, il parait même qu'elle en aurait fait disparaitre plus d'un ! "Pauvre Justine, pensa Albert en soupirant, elle feint d'ignorer pour conserver sa dignité de femme baffouée, elle qui est si douce, si généreuse et si attentionnée". Il était admiratif. - Vous savez, j'ai vu votre girouette sur le toit de votre voisine, elle est originale. - Oui je sais elle fabrique toutes sortes d'objets avec des vieilleries que la Marquise lui refile. Justine se dit intérieurement "Elle a bon dos la marquise..." Ça la fit sourire, puis elle enchaîna "Tiens, voilà du boudin!" Le maire tendit son assiette et se lécha les babines : "Mmmmmmm ça a l'air délicieux ! Vous avez l'air si douée en cuisine !" - Et encore, vous n'avez pas encore vu tout ce que je peux faire avec une saucisse... Message édité le 01/09/15 à 13:30 |
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