Ossements que faire ?
Sujet commencé par : photos69 - Il y a 499 réponses à ce sujet, dernière réponse par Loarghann1 personne suit ce sujet
Par photos69 : le 16/08/15 à 11:59:42
  DéconnectéDire merci3 | Bonjour, Je vous contacte car je me pose quelques questions.. Nous avons emménagé dans une petite maison depuis 6 mois. Cette maison était à l'abandon il y a un ou deux ans et d'après les voisins, les anciens locataire étaient très "bizarre", après eux,la maison n'a plus été loue et est devenu un squat. (Elle a ete refaite a neuf par les propriétaire quelques mois avant notre arrivé, nous sommes locataires) Or depuis deux mois nous avons adopté un chien.. Et celui ci ne cesse de creuser à différents endroits et nous ramène des os assez gros.. Ils sont souvent en morceaux. Mais ils sont assez large et épais. Le plus déstabilisant c'est que les anciens locataire n'avait pas de chien (et à moins d'avoir enterré un terre neuve, les os sont trop gros pour un chien, même si je souhaite que ce soit un gros chiens la dessous !). Ce n'est pas une ancienne ferme non plus. A un des endroits où mon chien creuse sans cesse (tas de sable au milieu de l'herbe, dont je n'arrive pas à me débarrasser d'ailleurs, j'ai l'impression qu'il y a 3 tonnes de sable la dessous !) nous avons retrouver une carte de bus d'un enfant enterré. Les anciens locataires n'ayant pas d'enfant. Je me demande comment elle a pu se retrouver ici enterré au milieu de notre terrain. Je me fais peut être des films. Mais connaissant l'histoire de la maison. J'ai un peu peur ! J'ai arrêté mes travaux de jardinage et de remise en état du terrain car j'angoisse d'y trouver quelques choses de plus choquant.. Que doit on faire dans ce genre de cas ? Prévenir la gendarmerie quand même ? |
Par sheytana : le 09/09/15 à 12:01:13
| Dire merci | Lorsque Radius et Talin arrivèrent devant la maison de Madame Bi-beurre, celle-ci était en pleine conversation avec sa voisine. Elle était en tenue d'aqua poney de latex vert et tenait à la main, palme masque et tuba. Elle gesticulait et parlait à vive voix. Talin et Radius n'eurent pas le temps de sortir de la voiture et d'expliquer la raison de leur présence, que déjà elle anticipait les désirs de l'agent Radius ignorant la présence de Talin qui en prit ombrage. - Radius vous êtes radieux aujourd'hui ! J'expliquais à la voisine qu'en allant à ma séance d'aqua poney, j'allais passer au commissariat pour déposer ceci ! Elle tendit une main droite de plastique tout recouvert de terres, puis poursuivit : - Voyez, il n'y avait pas lieux d'en faire toute une histoire ! - Vous voyez inspecteur, ce n'est pas aujourd'hui que je vais passer les menottes à madame Bi-beurre. Talin prit un air circonspect pour considérer l'objet. Soudain, il se souvint du seul endroit où il avait vu un objet similaire. C'était un vieux boulard gay, où les hommes aimaient se faire fister par des mains en plastique. "Cela provient de votre collection personnelle, Mme Bi-Beurre ?" Demanda Talin avec un sourire taquin. Justine feignit ne pas comprendre l'allusion. Après tout, elle devait faire honneur à sa réputation de bonne paroissienne. - Que voudriez-vous que je fisse avec une choses pareille ? Justine employa l'imparfait du subjonctif à bon escient, mais Radius n'étant pas un aficionados du bescherelle l'interpréta comme un léger défaut de prononciation et rougit de la première image qui lui vint à l'esprit. Talin répliqua : - C'est le genre d'objet qui servent pour des choses bien peu catholiques... - Encore eût il fallu que je le susse..." Minauda Justine, pendant que Radius devenait écarlate et détachait un bouton de son uniforme afin de calmer la vague de chaleur soudaine. Appo et la Marquise, qui avaient décidé de revenir farfouiller aux alentours de chez Justine, avaient été surprises par la voiture de police, et étaient reparties se cacher dans le petit bois avoisinant. En repassant devant la terre retournée, qui c'était un peu tassée depuis la veille, Guillemette se demanda si elles ne devraient pas chercher à savoir si d'autres trous n'avaient pas été creusés dans les alentours. Elles se mirent donc à farfouiller un peu dans la forêt, en profitant pour ramasser quelques bolets trouvés au passage. "Au moins, on a pas perdu notre matinée" avait dit Appo avec un large sourire. Guillemette et Appo tombèrent soudain sur une espèce de petite chapelle en ruine. Elle était moins haute qu'elles, et formait une petite maison en briquettes grises, envahie de végétation. L'intérieur semblait vide, pourtant, elles avaient l'impression que le lieu avait du être utilisé récemment. La forêt autour était beaucoup moins dense, et c'était le seul endroit des sous-bois où l'herbe poussait. Message édité le 09/09/15 à 12:12 |
En lignePar Kat... : le 09/09/15 à 12:11:07
| Dire merci | Suis trop frustrée detre coincee en réunion et de ne pouvoir lire que d'un œil discret sans pouvoir participer ! |
Par Uriette : le 09/09/15 à 12:23:36
| Déconnecté Dire merci | Sheytana, mais MDR  Mais j'en peux plus quoi ! Je suis obligée ! Talin répliqua : - C'est le genre d'objet qui servent pour des choses bien peu catholiques... - Encore eût il fallu que je le susse..." Minauda Justine, pendant que Radius devenait écarlate et détachait un bouton de son uniforme afin de calmer la vague de chaleur soudaine. Appo et la Marquise, qui avaient décidé de revenir farfouiller aux alentours de chez Justine, avaient été surprises par la voiture de police, et étaient reparties se cacher dans le petit bois avoisinant. En repassant devant la terre retournée, qui c'était un peu tassée depuis la veille, Guillemette se demanda si elles ne devraient pas chercher à savoir si d'autres trous n'avaient pas été creusés dans les alentours. Elles se mirent donc à farfouiller un peu dans la forêt, en profitant pour ramasser quelques bolets trouvés au passage. "Au moins, on a pas perdu notre matinée" avait dit Appo avec un large sourire. Guillemette et Appo tombèrent soudain sur une espèce de petite chapelle en ruine. Elle était moins haute qu'elles, et formaient une petite maison en briquettes grises, envahies de végétation. L'intérieur semblait vide, pourtant, elles avaient l'impression que le lieu avait du être utilisé récemment. La forêt autour était beaucoup moins dense, et c'était le seul endroit des sous-bois où l'herbe poussait. Appo et Guillemette restèrent un instant perplexes. - La chapelle Fistine ! déclara Marquise d'un ton solennel quasi religieux. |
Par sheytana : le 09/09/15 à 12:24:23
| Dire merci | Mouahahahahhahahahahhahahhaah  |
Par Fantômette : le 09/09/15 à 12:27:11
| Dire merci | loooll j'ai trop de truc a rattrapper zut  |
Par sheytana : le 09/09/15 à 12:38:08
| Dire merci | Je pleure de rire Bon allez, j'suis inspirée aujourd'hui En repassant devant la terre retournée, qui c'était un peu tassée depuis la veille, Guillemette se demanda si elles ne devraient pas chercher à savoir si d'autres trous n'avaient pas été creusés dans les alentours. Elles se mirent donc à farfouiller un peu dans la forêt, en profitant pour ramasser quelques bolets trouvés au passage. "Au moins, on a pas perdu notre matinée" avait dit Appo avec un large sourire. Guillemette et Appo tombèrent soudain sur une espèce de petite chapelle en ruine. Elle était moins haute qu'elles, et formaient une petite maison en briquettes grises, envahies de végétation. L'intérieur semblait vide, pourtant, elles avaient l'impression que le lieu avait du être utilisé récemment. La forêt autour était beaucoup moins dense, et c'était le seul endroit des sous-bois où l'herbe poussait. Appo et Guillemette restèrent un instant perplexes. - La chapelle Fistine ! déclara Marquise d'un ton solennel quasi religieux. Talin était parti répondre au téléphone, et Radius en profitait pour cuisiner Justine sur ses goûts en matière de cinéma. Le professeur Maléole informait l'inspecteur qu'ils avaient reçu les résultats des prélèvements d'ADN en provenance du Costa-Rica. "Nous avons donc pu les comparer avec ceux du chat. Mais le résultat n'est pas concluant." Chris ne s'attendait pas à cette nouvelle. Si les cheveux ne correspondent pas, il n'y a que 2 solutions : soit ce n'est pas Van Houten qui est au Costa-Rica actuellement, soit les cheveux présents sur le chat n'étaient pas ceux de Van Houten ! Il fallait qu'il rentre au plus vite à l’hôtel pour pouvoir réfléchir de façon plus posée, et aussi parce qu'il était urgent pour lui de descendre une bouteille de Whisky. Mais d'abord, il y avait cet interrogatoire avec Justine à terminer. Appo se mit à genoux devant la chapelle, et fit 15 "Je vous salue Marie". Pendant ce temps, Guillemette inspectait ses moindres recoins. Derrière la Chapelle, la terre était un peu instable. Lorsqu'elle s'approcha de plus près, elle repéra une espèce de cercle en métal. Elle tenta de tirer dessus, et c'est là que, par dessous l'herbe, s'ouvrait une trappe. "Appo viens vite voir!!!!!!" Elle essayait difficilement de retirer le gazon qui empêchait la trappe de s'ouvrir toute grande. "Attends, je fais un Notre-Père et j'arrive"; avait répondu Appo. Message édité le 09/09/15 à 12:40 |
Par sheytana : le 09/09/15 à 12:41:16
| Dire merci | Je peux envoyer le Word à ceux qui veulent, faut me donner l'adresse email en MP. C'est quand même beauuuucoup plus facile à lire que se retaper tout le post |
Par Uriette : le 09/09/15 à 13:01:05
| Déconnecté Dire merci | Talin était parti répondre au téléphone, et Radius en profitait pour cuisiner Justine sur ses goûts en matière de cinéma. Le professeur Maléole informait l'inspecteur qu'ils avaient reçu les résultats des prélèvements d'ADN en provenance du Costa-Rica. "Nous avons donc pu les comparer avec ceux du chat. Mais le résultat n'est pas concluant." Chris ne s'attendait pas à cette nouvelle. Si les cheveux ne correspondent pas, il n'y a que 2 solutions : soit ce n'est pas Van Houten qui est au Costa-Rica actuellement, soit les cheveux présents sur le chat n'étaient pas ceux de Van Houten ! Il fallait qu'il rentre au plus vite à l’hôtel pour pouvoir réfléchir de façon plus posée, et aussi parce qu'il était urgent pour lui de descendre une bouteille de Whisky. Mais d'abord, il y avait cet interrogatoire avec Justine à terminer. Appo se mit à genoux devant la chapelle, et fit 15 "Je vous salue Marie". Pendant ce temps, Guillemette inspectait ses moindres recoins. Derrière la Chapelle, la terre était un peu instable. Lorsqu'elle s'approcha de plus près, elle repéra une espèce de cercle en métal. Elle tenta de tirer dessus, et c'est là que, par dessous l'herbe, s'ouvrait une trappe. "Appo viens vite voir!!!!!!" Elle essayait de retirer le gazon qui empêchait la trappe de s'ouvrir toute grande. "Attends, je fais un Notre-Père et j'arrive"; avait répondu Appo. Quand Appo eut enfin fini ses génuflexions, elle rejoint la marquise, devant la trappe. Celle-ci donnait sur un étroit boyau qui serpentait dans le sol. Il se racontait tant de choses au sujet de la chapelle Fistine que les deux amies avaient conclu à une légende. Aussi étaient-elles curieuses de savoir ce qui se tramait sous terre. La trappe donnait en réalité sur une galerie étroite creusée dans la roche. - Tu as toujours ton cierge dans ton sac ? Appo ne quittait jamais son domicile sans avoir vérifier qu'elle disposait d'un cierge. C'était une manie. Elle tendit la chandelle à son amie, qui l'alluma avec son briquet. A ce moment la marquise pensa qu'il serait bon pour l'église de penser à se moderniser et de remplacer les cierges par des frontales, ou au moins des petites led. De plus ça réduirait les risques d'incendie ! Tenant la bougie à bout de bras, les deux femmes avancèrent dans un étroit couloir. Au fur et à mesure, le plafond s'abaissait, si bien qu'à la fin les deux femmes durent évoluer à quatre pattes. On entendait un bruit sourd qui venait des entrailles de la terre. Appo frissonna. Appo, tout en évoluant à quatre pattes dernière la marquise, récitait toutes les prières apprises au catéchisme. Le boyau déboucha sur une petite salle. Guillemette se releva pour contempler la voûte. La légende racontait que la chapelle Fistine avait été ornée par les artistes les plus subtiles de leurs époques - souvent des homosexuels - et ce depuis la nuit des temps. La marquise fit le tour de la salle, son pied cogna dans quelque chose, qui roula comme un ballon. Elle ramassa l'objet de forme ovoïde, il lui fallu reprendre ses esprits pour se rendre compte que ce qu'elle tenait en main n'était rien d'autre qu'un crane humain. Message édité le 09/09/15 à 13:03 |
Par sheytana : le 09/09/15 à 13:33:08
| Dire merci | Quand Appo eut enfin fini ses génuflexions, elle rejoint la marquise, devant la trappe. Celle-ci donnait sur un étroit boyau qui serpentait dans le sol. Il se racontait tant de choses au sujet de la chapelle Fistine que les deux amies avaient conclu à une légende. Aussi étaient-elles curieuses de savoir ce qui se tramait sous terre. La trappe donnait en réalité sur une galerie étroite creusée dans la roche. - Tu as toujours ton cierge dans ton sac ? Appo ne quittait jamais son domicile sans avoir vérifier qu'elle disposait d'un cierge. C'était une manie. Elle tendit la chandelle à son amie, qui l'alluma avec son briquet. A ce moment la marquise pensa qu'il serait bon pour l'église de penser à se moderniser et de remplacer les cierges par des frontales, ou au moins des petites led. De plus ça réduirait les risques d'incendie ! Tenant la bougie à bout de bras, les deux femmes avancèrent dans un étroit couloir. Au fur et à mesure, le plafond s'abaissait, si bien qu'à la fin les deux femmes durent évoluer à quatre pattes. On entendait un bruit sourd qui venait des entrailles de la terre. Appo frissonna. Appo, tout en évoluant à quatre pattes dernière la marquise, récitait toutes les prières apprises au catéchisme. Le boyau déboucha sur une petite salle. Guillemette se releva pour contempler la voûte. La légende racontait que la chapelle Fistine avait été ornée par les artistes les plus subtiles de leurs époques - souvent des homosexuels - et ce depuis la nuit des temps. La marquise fit le tour de la salle, son pied cogna dans quelque chose, qui roula comme un ballon. Elle ramassa l'objet de forme ovoïde, il lui fallu reprendre ses esprits pour se rendre compte que ce qu'elle tenait en main n'était rien d'autre qu'un crane humain. Elle sursauta et lâcha le crâne, qui alla heurter un tissu noir posé en vrac dans un coin. La Marquise souleva doucement le tissu, et susurra à Appo : "Je crois que j'ai trouvé le corps qui va avec..." Elle n'osa pas découvrir tout le reste du cadavre, mais elle fut tout de même attirée par une petite lueur dorée. Elle se saisit de l'objet luisant, et découvrit avec stupeur une bague qui lui était familière. "Ça alors, Appo regarde ça ! C'est une bague qui appartient à ma famille ! Mais que fait-elle ici ??" Elle inspecta le seau de la bague "Si j'en crois ce dessin, ça devrait être la famille de ma tante... Et cette bague devait appartenir à Germain !" Ses yeux se remplirent de larme. Son cousin disparu, elle savait qu'il ne pouvait pas être partit en Amérique du Sud. Et quand bien même il l'aurait fait, il lui aurait quand même écrit. Mais alors, qui essayait de faire croire à son départ, et qui se faisait passer pour lui là-bas ? "Cette histoire n'a aucun sens !!!! - Guillemette, je crois qu'il est temps de prévenir le procureur de notre découverte... " |
Par noirah : le 09/09/15 à 13:45:58
| Dire merci | j'adore les filles! j'ai mis de côté ces jours mais je viendrais rajouter un petit paragraphe ce soir  |
Par Cloduperche61 : le 09/09/15 à 14:12:16
| Dire merci | trop bien!!! je suis fan!!!!  |
Par Uriette : le 09/09/15 à 23:52:18
| Déconnecté Dire merci | Le boyau déboucha sur une petite salle. Guillemette se releva pour contempler la voûte. La légende racontait que la chapelle Fistine avait été ornée par les artistes les plus subtiles de leurs époques - souvent des homosexuels - et ce depuis la nuit des temps. La marquise fit le tour de la salle, son pied cogna dans quelque chose, qui roula comme un ballon. Elle ramassa l'objet de forme ovoïde, il lui fallu reprendre ses esprits pour se rendre compte que ce qu'elle tenait en main n'était rien d'autre qu'un crane humain. Elle sursauta et lâcha le crâne, qui alla heurter un tissu noir posé en vrac dans un coin. La Marquise souleva doucement le tissu, et susurra à Appo : "Je crois que j'ai trouvé le corps qui va avec..." Elle n'osa pas découvrir tout le reste du cadavre, mais elle fut tout de même attirée par une petite lueur dorée. Elle se saisit de l'objet luisant, et découvrit avec stupeur une bague qui lui était familière. "Ça alors, Appo regarde ça ! C'est une bague qui appartient à ma famille ! Mais que fait-elle ici ??" Elle inspecta le seau de la bague "Si j'en crois ce dessin, ça devrait être la famille de ma tante... Et cette bague devait appartenir à Germain !" Ses yeux se remplirent de larme. Son cousin disparu, elle savait qu'il ne pouvait pas être partit en Amérique du Sud. Et quand bien même il l'aurait fait, il lui aurait quand même écrit. Mais alors, qui essayait de faire croire à son départ, et qui se faisait passer pour lui là-bas ? "Cette histoire n'a aucun sens !!!! - Guillemette, je crois qu'il est temps de prévenir le procureur de notre découverte... " Guillemette ne répondit pas à Appoline. D'ordinaire la marquise avait toujours quelque chose de plus intelligent à dire, son silence n'en était que plus effrayant. Guillemette hoquetait, se mouchait, versait de chaudes larmes. - faisons un court résumé de la situation se dit Appoline - qui pour la première fois se sentait intellectuellement livrée à elle-même - , Brandon disparaît et ne répond pas aux nombreux appels de Guillemette. Guillemette va chez Justine, elle y trouve Albert Rézina en tête à tête avec Justine, Brandon étant d'une jalousie maladive, c'est signe que Justine sait que Brandon ne rentrera pas. Un livreur raconte à Guillemette une étrange histoire de baobab. Dans la foulée on découvre la main sur le toit de Madame Péroné. Le chat Oui récupère l'objet du délit et disparait avec. Nous trouvons l'alliance de Brandon au domicile de Justine alors que Guillemette affirme qu'il ne s'en sépare jamais. Plus tard Chris Talin piège le chat et récupère ce qu'il tient pour des poils dans les griffes du greffier. Lesquels poils sont analysés par le dr Maléole, analyses qui révèlent que non seulement ces poils roux sont des cheveux humains mais que leur adn apparait dans une affaire vieille de 10 ans. Cet adn est attribué à tort, à Germain ton cousin, dont nous savons qu'il est mort à la date de sa disparition il y a 10 ans. Le propriétaire de cet adn usurpe l'identité de Germain pour partir en Amérique du sud, là-bas, il fait carrière dans le crime. Pas trop longtemps car il est condamné à 15 ans au Costa Rica, il parvient à faire emprisonner un autre roux à sa place. Ce qui explique pourquoi la comparaison adn avec le corps costaricain n'est pas concluante. Il usurpe l'identité de sa nouvelle victime, pour le trajet retour. Que savons-nous de cet usurpateur ? Appoline s'arrêta net. Elle fut prise d'un éclair de lucidité : - Guillemette, dépêche-toi, il faut qu'on s'en aille ! Laissant son amie derrière elle, Appo se mit à courir aussi vite qu'elle le pouvait. Elle rampa comme elle pu dans l'étroit boyaux, sans se rendre compte que la marquise dépassée par les événements était restée en plan au beau milieu de la chapelle. Appoline se rua à l'extérieur, puis, toujours comme elle si elle avait le diable à ses trousses, s'enfuit aussi vite que possible des vestiges de la chapelle. Lorsqu'elle jugea qu'elle s'était assez éloignée des ruines, elle décida de se cacher dans les fourrés, le coeur battant la chamade, elle espérait que Guillemette la suivait. Dans sa tête Appoline finit son long monologue là où elle l'avait laissé : il sait où se trouve la chapelle Fistine. Appo entendit un bruit sourd, "probablement la trappe qui se referme" pensa-t-elle. Elle pria pour voir Guillemette apparaitre au milieu des taillis et des fourrés, mais elle entendit des bruits de pas lents et lourds. Elle se mit alors prier pour que l'intrus ne la voie pas en passant. Le ciel n'eut pas l'occasion d'exaucer sa prière : l'individu était parti dans le sens opposé. Message édité le 10/09/15 à 00:01 |
Par sheytana : le 10/09/15 à 08:28:35
| Dire merci | Guillemette ne répondit pas à Appoline. D'ordinaire la marquise avait toujours quelque chose de plus intelligent à dire, son silence n'en était que plus effrayant. Guillemette hoquetait, se mouchait, versait de chaudes larmes. - faisons un court résumé de la situation se dit Appoline - qui pour la première fois se sentait intellectuellement livrée à elle-même - , Brandon disparaît et ne répond pas aux nombreux appels de Guillemette. Guillemette va chez Justine, elle y trouve Albert Rézina en tête à tête avec Justine, Brandon étant d'une jalousie maladive, c'est signe que Justine sait que Brandon ne rentrera pas. Un livreur raconte à Guillemette une étrange histoire de baobab. Dans la foulée on découvre la main sur le toit de Madame Péroné. Le chat Oui récupère l'objet du délit et disparait avec. Nous trouvons l'alliance de Brandon au domicile de Justine alors que Guillemette affirme qu'il ne s'en sépare jamais. Plus tard Chris Talin piège le chat et récupère ce qu'il tient pour des poils dans les griffes du greffier. Lesquels poils sont analysés par le dr Maléole, analyses qui révèlent que non seulement ces poils roux sont des cheveux humains mais que leur adn apparait dans une affaire vieille de 10 ans. Cet adn est attribué à tort, à Germain ton cousin, dont nous savons qu'il est mort à la date de sa disparition il y a 10 ans. Le propriétaire de cet adn usurpe l'identité de Germain pour partir en Amérique du sud, là-bas, il fait carrière dans le crime. Pas trop longtemps car il est condamné à 15 ans au Costa Rica, il parvient à faire emprisonner un autre roux à sa place. Ce qui explique pourquoi la comparaison adn avec le corps costaricain n'est pas concluante. Il usurpe l'identité de sa nouvelle victime, pour le trajet retour. Que savons-nous de cet usurpateur ? Appoline s'arrêta net. Elle fut prise d'un éclair de lucidité : - Guillemette, dépêche-toi, il faut qu'on s'en aille ! Laissant son amie derrière elle, Appo se mit à courir aussi vite qu'elle le pouvait. Elle rampa comme elle pu dans l'étroit boyaux, sans se rendre compte que la marquise dépassée par les événements était restée en plan au beau milieu de la chapelle. Appoline se rua à l'extérieur, puis, toujours comme elle si elle avait le diable à ses trousses, s'enfuit aussi vite que possible des vestiges de la chapelle. Lorsqu'elle jugea qu'elle s'était assez éloignée des ruines, elle décida de se cacher dans les fourrés, le coeur battant la chamade, elle espérait que Guillemette la suivait. Dans sa tête Appoline finit son long monologue là où elle l'avait laissé : il sait où se trouve la chapelle Fistine. Appo entendit un bruit sourd, "probablement la trappe qui se referme" pensa-t-elle. Elle pria pour voir Guillemette apparaitre au milieu des taillis et des fourrés, mais elle entendit des bruits de pas lents et lourds. Elle se mit alors prier pour que l'intrus ne la voie pas en passant. Le ciel n'eut pas l'occasion d'exaucer sa prière : l'individu était parti dans le sens opposé. Appo prit alors son portable et composa rapidement le numéro de la police : "Il faut que vous veniez, et vite ! Nous avons découvert un tombeau près de chez Justine. En plus, je suis sûre qu'elle a tué son mari. Mais il doit aussi y avoir un second meurtrier roux, ils doivent être de mèche (rousse) tous les deux ! Et puis aussi... - Oui, bonjour Police Municipale, quel est votre nom ?..." Aahh les joies de l'administration. Appo du reprendre depuis le début en répondant aux questions futiles de l'agent... Franchement, dans une heure si grave, est-ce que c'était le moment de lui demander si elle avait consommé de l'alcool et des stupéfiants ?? Appo pestait, lorsqu'elle aperçu enfin Guillemette sortant par la trappe : "Appoline ATTENTION !!!" avait juste eu le temps de s'écrier la Marquise. Une branche s'affaissa violemment sur la tête d'Appo, qui s'écroula sur le sol et lâcha le téléphone. L'individu encagoulé qui venait de l’assommer s'en saisit, prétexta un faux numéro avant de raccrocher au nez de l'agent de police. Message édité le 10/09/15 à 08:29 |
Par Cliona : le 10/09/15 à 08:56:55
| Dire merci | Appo prit alors son portable et composa rapidement le numéro de la police : "Il faut que vous veniez, et vite ! Nous avons découvert un tombeau près de chez Justine. En plus, je suis sûre qu'elle a tué son mari. Mais il doit aussi y avoir un second meurtrier roux, ils doivent être de mèche (rousse) tous les deux ! Et puis aussi... - Oui, bonjour Police Municipale, quel est votre nom ?..." Aahh les joies de l'administration. Appo du reprendre depuis le début en répondant aux questions futiles de l'agent... Franchement, dans une heure si grave, est-ce que c'était le moment de lui demander si elle avait consommé de l'alcool et des stupéfiants ?? Appo pestait, lorsqu'elle aperçu enfin Guillemette sortant par la trappe : "Appoline ATTENTION !!!" avait juste eu le temps de s'écrier la Marquise. Une branche s'affaissa violemment sur la tête d'Appo, qui s'écroula sur le sol et lâcha le téléphone. L'individu encagoulé qui venait de l’assommer s'en saisit, prétexta un faux numéro avant de raccrocher au nez de l'agent de police. -pfffffffffff encore une blague de gamins soupira Talin en raccrochant... Bon, revenons à nos poneys sussura t'il à Justine, assise en face de lui avec sa tenue d'aquaponey en latex moulant vert...Vous disiez donc que selon vous, petits meurtres entre amis était bien meilleur que Psychose ? Pourtant, ce dernier a été réalisé par un maître du genre ? Mais et les films d'amour ? ça ne vous plait pas ? Justement, il y en a un qui a été tourné récemment dans notre chapelle Fistine...Vous étiez au courant ? Un petit film d'amateur qui s'appelle... |
Par sheytana : le 10/09/15 à 08:59:20
| Dire merci | Mais ça colle pas du touuuuuuuuuuuut  uriette J'te laisse rattraper |
Par Uriette : le 10/09/15 à 09:24:08
| Déconnecté Dire merci | Appo prit alors son portable et composa rapidement le numéro de la police : "Il faut que vous veniez, et vite ! Nous avons découvert un tombeau près de chez Justine. En plus, je suis sûre qu'elle a tué son mari. Mais il doit aussi y avoir un second meurtrier roux, ils doivent être de mèche (rousse) tous les deux ! Et puis aussi... - Oui, bonjour Police Municipale, quel est votre nom ?..." Aahh les joies de l'administration. Appo du reprendre depuis le début en répondant aux questions futiles de l'agent... Franchement, dans une heure si grave, est-ce que c'était le moment de lui demander si elle avait consommé de l'alcool et des stupéfiants ?? Appo pestait, lorsqu'elle aperçu enfin Guillemette sortant par la trappe : "Appoline ATTENTION !!!" avait juste eu le temps de s'écrier la Marquise. Une branche s'affaissa violemment sur la tête d'Appo, qui s'écroula sur le sol et lâcha le téléphone. L'individu encagoulé qui venait de l’assommer s'en saisit, prétexta un faux numéro avant de raccrocher au nez de l'agent de police. -pfffffffffff encore une blague de gamins soupira Talin en raccrochant... Bon, revenons à nos poneys sussura t'il à Justine, assise en face de lui avec sa tenue d'aquaponey en latex moulant vert...Vous disiez donc que selon vous, petits meurtres entre amis était bien meilleur que Psychose ? Pourtant, ce dernier a été réalisé par un maître du genre ? Mais et les films d'amour ? ça ne vous plait pas ? Justement, il y en a un qui a été tourné récemment dans notre chapelle Fistine...Vous étiez au courant ? Un petit film d'amateur qui s'appelle... Ca y est Justine divaguait. Talin tenait de ses informateurs personnels qu'elle fréquentait un hôpital psychiatrique et suivait un traitement lourd, et qu'il arrivait régulièrement à cette femme en tenue d'aqua poney (ce qui était assez significatif de son état mental) de péter régulièrement des boulons. Elle avait été vue chantant la chanson du Boudin au beau milieu de l'Eglise si bien que Scapula en avait été réduit à invoquer le ciel pour la faire arrêter. La voilà donc qui délirait au sujet de la chapelle Fistine, une légende locale qui avait pour but d'effrayer les jeunes filles qui se promenaient dans les bois pour crier "Loup, y es-tu !" Justine commença à entrer en transe et beugler : "Dans ma cabane sous tè-è-re o ma wouai hôtel hôtel..." Cubitus affolé par le bruit qui émanait du bureau poussa la porte et fit irruption dans la pièce. "au Ouistiti, au Ouistiti" disait Justine dans sa tenue d'aqua poney de latex vert en désignant Cubitus de son indexe. -Suffit, siffla le commissaire, mettez-là en cellule de dégrisement et appelez un médecin ! Message édité le 10/09/15 à 09:32 |
Par sheytana : le 10/09/15 à 09:27:56
| Dire merci | Mais pliée de rire |
Par sheytana : le 10/09/15 à 09:33:40
| Dire merci | Ca y est Justine divaguait. Talin tenait de ses informateurs personnels qu'elle fréquentait un hôpital psychiatrique et suivait un traitement lourd, et qu'il arrivait à la femme en tenue d'aqua poney (ce qui était assez significatif de son état mental) pétait régulièrement des boulons. Elle avait été vue chantant la chanson du Boudin au beau milieu de l'Eglise si bien que Scapula en avait été réduit à invoquer le ciel pour la faire arrêter. La voilà donc qui délirait au sujet de la chapelle Fistine, une légende locale qui avait pour but d'effrayer les jeunes filles qui se promenaient dans les bois pour crier "Loup, y es-tu !" Justine commença à entrer en transe et beugler : "Dans ma cabane sous tè-è-re o ma wouai hôtel hôtel..." Cubitus affolé par le bruit qui émanait du bureau poussa la porte et fit irruption dans la pièce. "au Ouistiti, au Ouistiti" disait Justine dans sa tenue d'aqua poney de latex vert en désignant Cubitus de son indexe. -Suffit, siffla le commissaire, mettez-là en cellule de dégrisement et appelez un médecin ! Le commissaire Water Loo ne supportait pas qu'on mette le souk dans son commissariat. Il aimait l'ordre, et la propreté. Ça ne tiendrait qu'à lui, il aurait mis dehors cette énergumène. Mais Justine était devenue la principale suspecte dans une histoire de disparition, et probablement de meurtre. Aussi il devait s'assurer que toute cette scène n'était pas une simple diversion, et qu'elle n'espérait pas échapper à la prison en plaidant la folie. Il demanda donc à Talin d'appeler plusieurs psychiatres pour une expertise, en plus du médecin. Message édité le 10/09/15 à 09:34 |
Par sheytana : le 10/09/15 à 09:36:21
| Dire merci | (Le truc qui est quand même trop fort dans cette connerie, c'est que je commence à avoir troooop envie de savoir comment ça va se dénouer. Sauf qu'en fait, personne ne sait pour l'instant, même pas nous ) |
Par Loarghann : le 10/09/15 à 10:52:32
| Dire merci | raaaah, quels rebondissements ! Merci pour la synthèse Uriette ! |
Par noirah : le 10/09/15 à 11:23:20
| Dire merci | Ca y est Justine divaguait. Talin tenait de ses informateurs personnels qu'elle fréquentait un hôpital psychiatrique et suivait un traitement lourd, et qu'il arrivait à la femme en tenue d'aqua poney (ce qui était assez significatif de son état mental) pétait régulièrement des boulons. Elle avait été vue chantant la chanson du Boudin au beau milieu de l'Eglise si bien que Scapula en avait été réduit à invoquer le ciel pour la faire arrêter. La voilà donc qui délirait au sujet de la chapelle Fistine, une légende locale qui avait pour but d'effrayer les jeunes filles qui se promenaient dans les bois pour crier "Loup, y es-tu !" Justine commença à entrer en transe et beugler : "Dans ma cabane sous tè-è-re o ma wouai hôtel hôtel..." Cubitus affolé par le bruit qui émanait du bureau poussa la porte et fit irruption dans la pièce. "au Ouistiti, au Ouistiti" disait Justine dans sa tenue d'aqua poney de latex vert en désignant Cubitus de son indexe. -Suffit, siffla le commissaire, mettez-là en cellule de dégrisement et appelez un médecin ! Le commissaire Water Loo ne supportait pas qu'on mette le souk dans son commissariat. Il aimait l'ordre, et la propreté. Ça ne tiendrait qu'à lui, il aurait mis dehors cette énergumène. Mais Justine était devenue la principale suspecte dans une histoire de disparition, et probablement de meurtre. Aussi il devait s'assurer que toute cette scène n'était pas une simple diversion, et qu'elle n'espérait pas échapper à la prison en plaidant la folie. Il demanda donc à Talin d'appeler plusieurs psychiatres pour une expertise, en plus du médecin. Justine fut interrogée à plusieurs reprises par les psychiatres, cela dura 2 jours, mais elle ne s'inquiétait pas tant que ça. L'équipe des psychiatres menée par le Docteur Firmin déclarèrent que Justine avait certes un passé psy, mais que tout était rentré dans l'ordre au fil des années, grâce aux bons soins du docteur Firmin. Justine était juste une femme enjouée et une chanteuse frustrée. Il était sûr que Justine était guérie grâce à son protocoles de pilules multicolores. En fait le docteur Firmin avait l'habitude de procéder avec des placebos, de sortes que ses patients puissent se guérir seul, le mental étant plus fort que tout d'après lui . C'est ainsi que depuis plusieurs années que Justine prenait des smarties. Au commissariat Justine prit congés de ses chers enquêteurs et le Docteur Firmin la reconduisit jusque devant chez elle. Ils décidèrent de se revoir le soir même pour manger du boudin et des cookies comme il en avait été questions précédemment. Le docteur Firmin se mit en route pour l'HP tout en pensant qu'il aurait été bien dommage que cette Justine restasse en prison et qu'il ne puisse pas profiter de son bon boudin. tout à ses pensées, il ne s'était pas rendu compte que Justine et lui avaient été suivi dès leur sortie du commissariat ... Message édité le 10/09/15 à 11:24 |
Par Uriette : le 10/09/15 à 11:30:53
| Déconnecté Dire merci | Suis fan de l'idée de génie du placébos smarties ! Coralie, la synthèse était d'autant plus aisée que j'avais le document de Sheytana sous les yeux... Oui Shey, hâte de voir le dénouement ! |
Par sheytana : le 10/09/15 à 11:46:32
| Dire merci | J'ai aussi pleuré de rire avec les Smarties Justine fut interrogée à plusieurs reprises par les psychiatres, cela dura 2 jours, mais elle ne s'inquiétait pas tant que ça. L'équipe des psychiatres menée par le Docteur Firmin déclarèrent que Justine avait certes un passé psy, mais que tout était rentré dans l'ordre au fil des années, grâce aux bons soins du docteur Firmin. Justine était juste une femme enjouée et une chanteuse frustrée. Il était sûr que Justine était guérie grâce à son protocoles de pilules multicolores. En fait le docteur Firmin avait l'habitude de procéder avec des placebos, de sortes que ses patients puissent se guérir seul, le mental étant plus fort que tout d'après lui . C'est ainsi que depuis plusieurs années que Justine prenait des smarties. Au commissariat Justine prit congés de ses chers enquêteurs et le Docteur Firmin la reconduisit jusque devant chez elle. Ils décidèrent de se revoir le soir même pour manger du boudin et des cookies comme il en avait été questions précédemment. Le docteur Firmin se mit en route pour l'HP tout en pensant qu'il aurait été bien dommage que cette Justine restasse en prison et qu'il ne puisse pas profiter de son bon boudin. Tout à ses pensées, il ne s'était pas rendu compte que Justine et lui avaient été suivi dès leur sortie du commissariat. La disparition d'Appoline et de Guillemette avait également échappé à tout ce beau monde. Après avoir repris connaissance, elles s'étaient rendue compte qu'elles avaient été amenées dans une cave sordide, ligotées et bâillonnées. Leur ravisseur était venues les voir chaque matin, pour les faire boire un peu d'eau. Il ne leur adressait pas la parole, et ne répondait jamais à leurs questions, supplications, pleurs... A travers sa cagoule, elles ne pouvaient voir que ses yeux. Ils étaient très étranges d'ailleurs. Comme s'ils avaient appartenu à deux personnes différentes. Il ne les brutalisait pas, et ne semblait pas chercher à assouvir de quelconques pulsions sexuelles, mais il était pourtant très sec. On voyait qu'il ne rigolait pas, et qu'il valait mieux filer droit. Dès qu'elles avaient terminé de boire, il leur remettait leurs baillons, toujours sans dire un mot. Message édité le 10/09/15 à 12:23 |
Par Quézak1010 : le 10/09/15 à 13:44:24
| Dire merci | Je suis l'histoire aussi et j'adore! Quel suspens  Vous êtes trop fortes! |
Par sheytana : le 10/09/15 à 13:45:10
| Dire merci | Non mais le suspense il vaut pour nous aussi quoi C'est ça qui est trop fort |
Par stephy92 : le 10/09/15 à 14:37:59
| Dire merci | (Le truc qui est quand même trop fort dans cette connerie, c'est que je commence à avoir troooop envie de savoir comment ça va se dénouer. Sauf qu'en fait, personne ne sait pour l'instant, même pas nous ) mais c'est trop ça |
Par Uriette : le 10/09/15 à 14:46:18
| Déconnecté Dire merci | Au commissariat Justine prit congés de ses chers enquêteurs et le Docteur Firmin la reconduisit jusque devant chez elle. Ils décidèrent de se revoir le soir même pour manger du boudin et des cookies comme il en avait été questions précédemment. Le docteur Firmin se mit en route pour l'HP tout en pensant qu'il aurait été bien dommage que cette Justine restasse en prison et qu'il ne puisse pas profiter de son bon boudin. Tout à ses pensées, il ne s'était pas rendu compte que Justine et lui avaient été suivi dès leur sortie du commissariat. La disparition d'Appoline et de Guillemette avait également échappé à tout ce beau monde. Après avoir repris connaissance, elles s'étaient rendue compte qu'elles avaient été amenées dans une cave sordide, ligotées et bâillonnées. Leur ravisseur était venues les voir chaque matin, pour les faire boire un peu d'eau. Il ne leur adressait pas la parole, et ne répondait jamais à leurs questions, supplications, pleurs... A travers sa cagoule, elles ne pouvaient voir que ses yeux. Ils étaient très étranges d'ailleurs. Comme s'ils avaient appartenu à deux personnes différentes. Il ne les brutalisait pas, et ne semblait pas chercher à assouvir de quelconques pulsions sexuelles, mais il était pourtant très sec. On voyait qu'il ne rigolait pas, et qu'il valait mieux filer droit. Dès qu'elles avaient terminé de boire, il leur remettait leurs baillons, toujours sans dire un mot. Elles pensèrent que l'éternité pourrait passer ainsi. Appoline priait le seigneur mais croyait de moins en moins à la divine providence. Peut-être l'avait-elle offensé d'une manière quelconque et que Père Scapula avait tort : dieu ne pardonnait pas tout. Guillemette s'abstint de prier. Ca faisait mauvais genre, et après 50 années de blasphème, dieu s'il existait devait se payer une bonne tranche de rigolade. Elles n'avaient pas le cul sorti des ronces, c'était le moins qu'on puisse dire. Lors d'un contrôle d'alcoolémie inopiné de manière fortuite et totalement par hasard devant le bistrot où il avait l'habitude de picoler, le détective Gérard Mensoif fut arrêté par le capitaine Phallange. Au vu du taux d'alcoolémie élevé, le capitaine Phallange aurait bien pu lui retirer le permis, immobiliser le véhicule et le mettre en garde à vue en cellule de dégrisement (Gérard pas le véhicule). Mais au lieu de cela, il lui mit un marché dans les mains du détective : Enquêter sur l'affaire de la main de la Girouette, ou devenir piéton. Les équipes du capitaine Phalange avaient été écartées dès le début de l'enquête. Le procureur Timépafutey avait confié l'investigation aux équipes de Walter Loo. Le gendarme avait vécu son éviction comme un affront personnel. Aussi était-il décidé à prouver que les équipes de Police, et le Procureur étaient à la solde des politiques locaux : Rézina et Mont Fémur pour ne citer qu'eux, et menaient l'enquête dans leur intérêt. Aussi si Gérard Mensoif voulait éviter des contrôles d'alcoolémie fortuits et inopinés à répétition et de manière systématique - ce qui ressemblait fort à du chantage - le détective devrait s'impliquer à 400%. Message édité le 10/09/15 à 14:48 Message édité le 10/09/15 à 14:50 |
Par sheytana : le 10/09/15 à 15:01:17
| Dire merci | Elles pensèrent que l'éternité pourrait passer ainsi. Appoline priait le seigneur mais croyait de moins en moins à la divine providence. Peut-être l'avait-elle offensé d'une manière quelconque et que Père Scapula avait tort : dieu ne pardonnait pas tout. Guillemette s'abstint de prier. Ca faisait mauvais genre, et après 50 années de blasphème, dieu s'il existait devait se payer une bonne tranche de rigolade. Elles n'avaient pas le cul sorti des ronces, c'était le moins qu'on puisse dire. Lors d'un contrôle d'alcoolémie inopinée de manière fortuite et totalement par hasard devant le bistrot où il avait l'habitude de picoler, le détective Gérard Mensoif fut arrêté par le capitaine Phallange. Au vu du taux d'alcoolémie élevé, le capitaine Phallange aurait bien pu lui retirer le permis, immobiliser le véhicule et le mettre en garde à vue en cellule de dégrisement. Mais au lieu de cela, il lui mit un marché dans les mains du détective : Enquêter sur l'affaire de la main de la Girouette, ou devenir piéton. Les équipes du capitaine Phalange avaient été écartées dès le début de l'enquête. Le procureur Timépafutey avait confié l'investigation aux équipes de Walter Loo. Le gendarme avait vécu son éviction comme un affront personnel. Aussi était-il décidé à prouver que les équipes de Police, et le Procureur étaient à la solde des politiques locaux : Rézina et Mont Fémur pour ne citer qu'eux, et menaient l'enquête dans leur intérêt. Aussi si Gérard Mensoif voulait éviter des contrôles d'alcoolémie fortuits et inopinés à répétition et de manière systématique - ce qui ressemblait fort à du chantage - le détective devrait s'impliquer à 400%. Dès lors que Gérard aurait décuvé, il aurait un regard neuf sur l'enquête. Lorsqu'une affaire piétine à ce point, ça ne pouvait faire que du bien. En attendant, il se souvint qu'il avait reçu un appel de la Marquise peu de temps avant. Il était tellement saoul qu'il avait complètement oublié de la rappeler. Peut-être cela avait un lien avec cette affaire ? Il essaya donc de joindre Guillemette, mais ce fut son tour de tomber sans cesse sur la messagerie : "Saaaaaluuuuuut, vous êtes bien sur mon portable, je suis occupée rappelez plus tard. BIP" disait le message. Il songea que c'était un message stupide. Le sien était bien mieux. Tant pis, il rappellerait plus tard. |
Par Uriette : le 10/09/15 à 15:57:17
| Déconnecté Dire merci | Elles pensèrent que l'éternité pourrait passer ainsi. Appoline priait le seigneur mais croyait de moins en moins à la divine providence. Peut-être l'avait-elle offensé d'une manière quelconque et que Père Scapula avait tort : dieu ne pardonnait pas tout. Guillemette s'abstint de prier. Ca faisait mauvais genre, et après 50 années de blasphème, dieu s'il existait devait se payer une bonne tranche de rigolade. Elles n'avaient pas le cul sorti des ronces, c'était le moins qu'on puisse dire. Lors d'un contrôle d'alcoolémie inopinée de manière fortuite et totalement par hasard devant le bistrot où il avait l'habitude de picoler, le détective Gérard Mensoif fut arrêté par le capitaine Phallange. Au vu du taux d'alcoolémie élevé, le capitaine Phallange aurait bien pu lui retirer le permis, immobiliser le véhicule et le mettre en garde à vue en cellule de dégrisement. Mais au lieu de cela, il lui mit un marché dans les mains du détective : Enquêter sur l'affaire de la main de la Girouette, ou devenir piéton. Les équipes du capitaine Phalange avaient été écartées dès le début de l'enquête. Le procureur Timépafutey avait confié l'investigation aux équipes de Walter Loo. Le gendarme avait vécu son éviction comme un affront personnel. Aussi était-il décidé à prouver que les équipes de Police, et le Procureur étaient à la solde des politiques locaux : Rézina et Mont Fémur pour ne citer qu'eux, et menaient l'enquête dans leur intérêt. Aussi si Gérard Mensoif voulait éviter des contrôles d'alcoolémie fortuits et inopinés à répétition et de manière systématique - ce qui ressemblait fort à du chantage - le détective devrait s'impliquer à 400%. Dès lors que Gérard aurait décuvé, il aurait un regard neuf sur l'enquête. Lorsqu'une affaire piétine à ce point, ça ne pouvait faire que du bien. En attendant, il se souvint qu'il avait reçu un appel de la Marquise peu de temps avant. Il était tellement saoul qu'il avait complètement oublié de la rappeler. Peut-être cela avait un lien avec cette affaire ? Il essaya donc de joindre Guillemette, mais ce fut son tour de tomber sans cesse sur la messagerie : "Saaaaaluuuuuut, vous êtes bien sur mon portable, je suis occupée rappelez plus tard. BIP" disait le message. Il songea que c'était un message stupide. Le sien était bien mieux. Tant pis, il rappellerait plus tard. Il décida de lire "le détective, le journal des gens qui aiment les histoires sordides", vieux de deux ans. Les informations n'étaient pas d'une grande fraicheur, mais comme la moitiés des articles relataient des faits inventés ce n'était pas très important. Il tomba sur un article écrit d'une plume assez brillante et avec beaucoup d'imagination, "Meutres sordides à la chapelle Fistine". Il s'agissait du résumé d'une nouvelle écrite près de 10 ans au par avant par un certain M. Message édité le 10/09/15 à 16:03 |
Par Kat... : le 10/09/15 à 20:42:36
| Dire merci | Elles pensèrent que l'éternité pourrait passer ainsi. Appoline priait le seigneur mais croyait de moins en moins à la divine providence. Peut-être l'avait-elle offensé d'une manière quelconque et que Père Scapula avait tort : dieu ne pardonnait pas tout. Guillemette s'abstint de prier. Ca faisait mauvais genre, et après 50 années de blasphème, dieu s'il existait devait se payer une bonne tranche de rigolade. Elles n'avaient pas le cul sorti des ronces, c'était le moins qu'on puisse dire. Lors d'un contrôle d'alcoolémie inopinée de manière fortuite et totalement par hasard devant le bistrot où il avait l'habitude de picoler, le détective Gérard Mensoif fut arrêté par le capitaine Phallange. Au vu du taux d'alcoolémie élevé, le capitaine Phallange aurait bien pu lui retirer le permis, immobiliser le véhicule et le mettre en garde à vue en cellule de dégrisement. Mais au lieu de cela, il lui mit un marché dans les mains du détective : Enquêter sur l'affaire de la main de la Girouette, ou devenir piéton. Les équipes du capitaine Phalange avaient été écartées dès le début de l'enquête. Le procureur Timépafutey avait confié l'investigation aux équipes de Walter Loo. Le gendarme avait vécu son éviction comme un affront personnel. Aussi était-il décidé à prouver que les équipes de Police, et le Procureur étaient à la solde des politiques locaux : Rézina et Mont Fémur pour ne citer qu'eux, et menaient l'enquête dans leur intérêt. Aussi si Gérard Mensoif voulait éviter des contrôles d'alcoolémie fortuits et inopinés à répétition et de manière systématique - ce qui ressemblait fort à du chantage - le détective devrait s'impliquer à 400%. Dès lors que Gérard aurait décuvé, il aurait un regard neuf sur l'enquête. Lorsqu'une affaire piétine à ce point, ça ne pouvait faire que du bien. En attendant, il se souvint qu'il avait reçu un appel de la Marquise peu de temps avant. Il était tellement saoul qu'il avait complètement oublié de la rappeler. Peut-être cela avait un lien avec cette affaire ? Il essaya donc de joindre Guillemette, mais ce fut son tour de tomber sans cesse sur la messagerie : "Saaaaaluuuuuut, vous êtes bien sur mon portable, je suis occupée rappelez plus tard. BIP" disait le message. Il songea que c'était un message stupide. Le sien était bien mieux. Tant pis, il rappellerait plus tard. Il décida de lire "le détective, le journal des gens qui aiment les histoires sordides", vieux de deux ans. Les informations n'étaient pas d'une grande fraicheur, mais comme la moitiés des articles relataient des faits inventés ce n'était pas très important. Il tomba sur un article écrit d'une plume assez brillante et avec beaucoup d'imagination, "Meutres sordides à la chapelle Fistine". Il s'agissait du résumé d'une nouvelle écrite près de 10 ans au par avant par un certain M. Plus d'une semaine s'était écoulée depuis la disparition soudaine d'Appo et de Guillemette, mais personne ne semblait s'en inquiéter dans la ville encore endormie d'OSSELAID. Alors que le soleil s'élevait à peine dans une brume lugubre qui recouvrait toute la ville, les fidèles paroissiens étaient déjà tous réunis au pied de l'Eglise, comme appelés par le tintement lancinant des cloches en ce dimanche matin d'automne... Comme chaque jour d'office, en attendant que les grandes portes de l'église s'ouvrent pour accueillir les fidèles endimanchés pour l'occasion, différents petits groupes - d'un âge relativement avancé à quelques exceptions près - se formaient, et s'échangeaient les dernières rumeurs du quartier avec bien plus de ferveur et de passion que des avé-maria et pater-noster. En pleine conversation avec M. Tarse et sa maîtresse Mme Méta, Mme Péronée s'arrêta soudain : "Mais, c'est étrange, Appoline n'est pas encore là ? elle est pourtant toujours la première ". Les 2 autres acquiessèrent, distraits, mais bien trop occupés à se regarder dans le blanc des yeux, ils ne creusèrent pas plus que ça le sujet qui semblaient bien loin de leur préoccupation du moment. Dans les conversations des différents petits goupes, ressortaient quelques sujets communs : la surprenante girouette, les chats qui envahissaient le quartier, les frasques de Mme Bi-Beurre, et son bon boudin... Les minutes s'égrainaient, le ton des conversations d'abord pudique se faisait de plus en plus audibles. Le soleil brillait bien haut dans le ciel, tentant vainement de percer l'épaisse couche de brume, lorsque la cloche sonna 10h, toutes les conversations cessèrent d'un coup, réalisant que pris dans leur discussions passionnées, aucun n'avait remarqué que l'office aurait du déjà commencer il y a 1 heure, et que les grandes portes de la paroisse étaient toujours étonnament closes. Un silence lourd s'abatit sur la foule... Des regards inquiets s'échangèrent..." Message édité le 10/09/15 à 20:46 |
Par Chrysalis : le 10/09/15 à 23:10:20
| Dire merci | Dès lors que Gérard aurait décuvé, il aurait un regard neuf sur l'enquête. Lorsqu'une affaire piétine à ce point, ça ne pouvait faire que du bien. En attendant, il se souvint qu'il avait reçu un appel de la Marquise peu de temps avant. Il était tellement saoul qu'il avait complètement oublié de la rappeler. Peut-être cela avait un lien avec cette affaire ? Il essaya donc de joindre Guillemette, mais ce fut son tour de tomber sans cesse sur la messagerie : "Saaaaaluuuuuut, vous êtes bien sur mon portable, je suis occupée rappelez plus tard. BIP" disait le message. Il songea que c'était un message stupide. Le sien était bien mieux. Tant pis, il rappellerait plus tard. Il décida de lire "le détective, le journal des gens qui aiment les histoires sordides", vieux de deux ans. Les informations n'étaient pas d'une grande fraicheur, mais comme la moitiés des articles relataient des faits inventés ce n'était pas très important. Il tomba sur un article écrit d'une plume assez brillante et avec beaucoup d'imagination, "Meutres sordides à la chapelle Fistine". Il s'agissait du résumé d'une nouvelle écrite près de 10 ans au par avant par un certain M. Plus d'une semaine s'était écoulée depuis la disparition soudaine d'Appo et de Guillemette, mais personne ne semblait s'en inquiéter dans la ville encore endormie d'OSSELAID. Alors que le soleil s'élevait à peine dans une brume lugubre qui recouvrait toute la ville, les fidèles paroissiens étaient déjà tous réunis au pied de l'Eglise, comme appelés par le tintement lancinant des cloches en ce dimanche matin d'automne... Comme chaque jour d'office, en attendant que les grandes portes de l'église s'ouvrent pour accueillir les fidèles endimanchés pour l'occasion, différents petits groupes - d'un âge relativement avancé à quelques exceptions près - se formaient, et s'échangeaient les dernières rumeurs du quartier avec bien plus de ferveur et de passion que des avé-maria et pater-noster. En pleine conversation avec M. Tarse et sa maîtresse Mme Méta, Mme Péronée s'arrêta soudain : "Mais, c'est étrange, Appoline n'est pas encore là ? elle est pourtant toujours la première ". Les 2 autres acquiessèrent, distraits, mais bien trop occupés à se regarder dans le blanc des yeux, ils ne creusèrent pas plus que ça le sujet qui semblaient bien loin de leur préoccupation du moment. Dans les conversations des différents petits goupes, ressortaient quelques sujets communs : la surprenante girouette, les chats qui envahissaient le quartier, les frasques de Mme Bi-Beurre, et son bon boudin... Les minutes s'égrainaient, le ton des conversations d'abord pudique se faisait de plus en plus audibles. Le soleil brillait bien haut dans le ciel, tentant vainement de percer l'épaisse couche de brume, lorsque la cloche sonna 10h, toutes les conversations cessèrent d'un coup, réalisant que pris dans leur discussions passionnées, aucun n'avait remarqué que l'office aurait du déjà commencer il y a 1 heure, et que les grandes portes de la paroisse étaient toujours étonnament closes. Un silence lourd s'abatit sur la foule... Des regards inquiets s'échangèrent..." dans leur geole humide, Appo et de guillemette avaient retrouvé un semblant de liberté,leur sinistre gardien ayant eu marre de leur coté mimi geignarde,leurs pieds étaient libres,mais un bâillon empêchait Appo de psalmodier. Guillemette ayant promis des choses pas trés catholiques par cet orifice,il avait décidé de le lui laisser libre.... cette dernière poursuivait donc son monologue à Appo,et ressassait ses nombreux questionnements . Quand allait on s'apercevoir de leur absence? que faisait Justine? qu'allaient elles devenir? un cliquetis se fit entendre,un mince rayon de lumière pénétra la pièce en illuminant le visage blafard de Guillemette ,aux traits tirés et au mascara qui s'effritait . "un clown triste....une si grande bouche pour que des choses aussi inconséquentes en sortent" pensait le geolier. Guillemette cligna des yeux et tenta encore une fois de dévisager le bonhomme en face d'elle. un regard perçant...pas inconnu,du moins pour un oeil.... comme une réminiscence ....un semblant de souvenir...oui,cet éclat d'oeil... elle l'associe avec un sourire un brin moqueur,pas foncièrement méchant,limite attachant. elle ne parvient pas a mettre un visage sur cette expression reconnue et appréciée... non.... elle cligne des yeux doucement,son bourreau la dévisage,quelques ridules se forment au coin de ses yeux,a demi dissimulées sous son masque. Il tourne alors les talons et s'éloigne au son cliquetant de ses chaussures. Guillemette le suit des yeux,sa silhouette pas si inconnue lui laissant un petit gout d'inachevé. Appo n'a pas manqué une miette du navrant spectacle. "ché le chyndrome de chtockolm, connache,arretes chaa" la porte de claque et les pas s'éloignent. une sonnerie étouffée retentit alors . Appo reconnu la musique de l'eucharistie,et s'agita dans un spasme possédé,ses yeux révulsés et grands ouverts,tournés vers sa comparse. elle gémissait l'air a travers son bâillon "han haanhaaan han" Guillemette se redresse d'un coup!! " PUTAIN DE BON DIEU DE MERDE!!!!! JE SAIS!!!" Message édité le 10/09/15 à 23:11 Message édité le 10/09/15 à 23:14 |
Par sheytana : le 11/09/15 à 10:36:22
| Dire merci | dans leur geole humide, Appo et de guillemette avaient retrouvé un semblant de liberté,leur sinistre gardien ayant eu marre de leur coté mimi geignarde,leurs pieds étaient libres,mais un bâillon empêchait Appo de psalmodier. Guillemette ayant promis des choses pas trés catholiques par cet orifice,il avait décidé de le lui laisser libre.... cette dernière poursuivait donc son monologue à Appo,et ressassait ses nombreux questionnements . Quand allait on s'apercevoir de leur absence? que faisait Justine? qu'allaient elles devenir? un cliquetis se fit entendre,un mince rayon de lumière pénétra la pièce en illuminant le visage blafard de Guillemette ,aux traits tirés et au mascara qui s'effritait . "un clown triste....une si grande bouche pour que des choses aussi inconséquentes en sortent" pensait le geolier. Guillemette cligna des yeux et tenta encore une fois de dévisager le bonhomme en face d'elle. un regard perçant...pas inconnu,du moins pour un oeil.... comme une réminiscence ....un semblant de souvenir...oui,cet éclat d'oeil... elle l'associe avec un sourire un brin moqueur,pas foncièrement méchant,limite attachant. elle ne parvient pas a mettre un visage sur cette expression reconnue et appréciée... non.... elle cligne des yeux doucement,son bourreau la dévisage,quelques ridules se forment au coin de ses yeux,a demi dissimulées sous son masque. Il tourne alors les talons et s'éloigne au son cliquetant de ses chaussures. Guillemette le suit des yeux,sa silhouette pas si inconnue lui laissant un petit gout d'inachevé. Appo n'a pas manqué une miette du navrant spectacle. "ché le chyndrome de chtockolm, connache,arretes chaa" la porte de claque et les pas s'éloignent. une sonnerie étouffée retentit alors . Appo reconnu la musique de l'eucharistie,et s'agita dans un spasme possédé,ses yeux révulsés et grands ouverts,tournés vers sa comparse. elle gémissait l'air a travers son bâillon "han haanhaaan han" Guillemette se redresse d'un coup!! " PUTAIN DE BON DIEU DE MERDE!!!!! JE SAIS!!!" "Appo, je suis sûre que c'est lui, c'est Albert ! Son attitude corporelle est différente, il n'a pas sa canne, mais je suis certaine que c'est lui ! Ce regard bovin d'un œil, je ne serais pas surprise si cette cagoule dissimulait des cheveux roux..." Elle s'interrompit. Tout cela semblait tellement surréaliste. Comment Albert aurait pu faire ça ? Était-ce un coup d'essai, ou était-ce lui l'auteur de tous ces meurtres depuis le début ? Pourquoi les poules n'ont elles pas de dents ? Pourquoi Albert aurait-il tué Brandon ? Pour se faire Justine ? Et pourquoi les femmes préfèrent les hommes murs ? Était-ce Albert qui avait tué son cousin Germain ? C'était lui qui était partit au Costa-Rica ? Mais pourtant il était maire de la commune depuis 10 ans déjà... Tout cela semblait tellement surréaliste. Le mystère était encore loin d'être résolu. Mais pour commencer, il faudrait sortir d'ici, et vite ! Guillemette entreprit d'ôter le bâillon de sa codétenue avec ses dents. Message édité le 11/09/15 à 10:38 Message édité le 11/09/15 à 10:40 |
Par Loarghann : le 11/09/15 à 10:53:57
| Dire merci | " PUTAIN DE BON DIEU DE MERDE!!!!! JE SAIS!!!" "Appo, je suis sûre que c'est lui, c'est Albert ! Son attitude corporelle est différente, il n'a pas sa canne, mais je suis certaine que c'est lui ! Ce regard bovin d'un œil, je ne serais pas surprise si cette cagoule dissimulait des cheveux roux..." Elle s'interrompit. Tout cela semblait tellement surréaliste. Comment Albert aurait pu faire ça ? Était-ce un coup d'essai, ou était-ce lui l'auteur de tous ces meurtres depuis le début ? Pourquoi les poules n'ont elles pas de dents ? Pourquoi Albert aurait-il tué Brandon ? Pour se faire Justine ? Et pourquoi les femmes préfèrent les hommes murs ? Était-ce Albert qui avait tué son cousin Germain ? C'était lui qui était partit au Costa-Rica ? Mais pourtant il était maire de la commune depuis 10 ans déjà... Tout cela semblait tellement surréaliste. Le mystère était encore loin d'être résolu. Mais pour commencer, il faudrait sortir d'ici, et vite ! Guillemette entreprit d'ôter le bâillon de sa codétenue avec ses dents. pendant ce temps là, à Veracruz... |
Par Loarghann : le 11/09/15 à 10:54:15
| Dire merci | Il fallait que je la place |
Par stephy92 : le 11/09/15 à 11:29:28
| Dire merci | moi je dis que ça manque d'illustrations tout ça (notamment la tenue d'aquaponey), on a pourtant des dessinateurs de talent sur ce forum  |
Par Cliona : le 11/09/15 à 12:18:43
| Dire merci | " PUTAIN DE BON DIEU DE MERDE!!!!! JE SAIS!!!" "Appo, je suis sûre que c'est lui, c'est Albert ! Son attitude corporelle est différente, il n'a pas sa canne, mais je suis certaine que c'est lui ! Ce regard bovin d'un œil, je ne serais pas surprise si cette cagoule dissimulait des cheveux roux..." Elle s'interrompit. Tout cela semblait tellement surréaliste. Comment Albert aurait pu faire ça ? Était-ce un coup d'essai, ou était-ce lui l'auteur de tous ces meurtres depuis le début ? Pourquoi les poules n'ont elles pas de dents ? Pourquoi Albert aurait-il tué Brandon ? Pour se faire Justine ? Et pourquoi les femmes préfèrent les hommes murs ? Était-ce Albert qui avait tué son cousin Germain ? C'était lui qui était partit au Costa-Rica ? Mais pourtant il était maire de la commune depuis 10 ans déjà... Tout cela semblait tellement surréaliste. Le mystère était encore loin d'être résolu. Mais pour commencer, il faudrait sortir d'ici, et vite ! Guillemette entreprit d'ôter le bâillon de sa codétenue avec ses dents. pendant ce temps là, à Veracruz... On célébrait le bicentenaire de la découverte d'une statue millénaire dont le visage ressemblait étrangement à celui de... |
Par sheytana : le 11/09/15 à 14:03:32
| Dire merci | " PUTAIN DE BON DIEU DE MERDE!!!!! JE SAIS!!!" "Appo, je suis sûre que c'est lui, c'est Albert ! Son attitude corporelle est différente, il n'a pas sa canne, mais je suis certaine que c'est lui ! Ce regard bovin d'un œil, je ne serais pas surprise si cette cagoule dissimulait des cheveux roux..." Elle s'interrompit. Tout cela semblait tellement surréaliste. Comment Albert aurait pu faire ça ? Était-ce un coup d'essai, ou était-ce lui l'auteur de tous ces meurtres depuis le début ? Pourquoi les poules n'ont elles pas de dents ? Pourquoi Albert aurait-il tué Brandon ? Pour se faire Justine ? Et pourquoi les femmes préfèrent les hommes murs ? Était-ce Albert qui avait tué son cousin Germain ? C'était lui qui était partit au Costa-Rica ? Mais pourtant il était maire de la commune depuis 10 ans déjà... Tout cela semblait tellement surréaliste. Le mystère était encore loin d'être résolu. Mais pour commencer, il faudrait sortir d'ici, et vite ! Guillemette entreprit d'ôter le bâillon de sa codétenue avec ses dents. pendant ce temps là, à Veracruz... On célébrait le bicentenaire de la découverte d'une statue millénaire dont le visage ressemblait étrangement à celui de... la vierge Marie. Mais depuis quelques jours, cette statue c'était mise à saigner du vrai sang. Certains pensaient qu'elle avait tout simplement ses règles, d'autres qu'il s'agissait d'un véritable miracle. Tous les croyants s'étaient précipités pour aller voir ça de leur propre yeux. Les infirmes étaient convaincus que le sang de la vierge les guériraient de tous leurs maux. C'est à cause de ce miracle sans précédents que le père Scapula avait sauté dans le premier avion venu, laissant ainsi sa paroisse totalement close et tous les fervents croyants d'Osselaid, totalement désemparés devant une église fermée un dimanche de messe. Dans sa précipitation, il n'avait eu le temps de ne prévenir que Justine, qui avait étrangement insisté pour l'accompagner. Justine semblait inquiète. Le père Scapula ne la connaissait pas aussi angoissée. Mais il ne savait pas si c'était du à l’instance des policiers et de leur enquête, ou si quelque chose d'autre la tourmentait. Elle avait seulement mentionné à demi-mots l'étrange sensation d'être suivie, et de ne plus se sentir en sécurité à Osselaid. |
Par Loarghann : le 11/09/15 à 16:32:40
| Dire merci | euh, ca fait quelque jours que je remarque que l'initiatrice du post à le petit cœur sous son avatar, c'est une mauvaise blague, juste un bug ou ? |
Par sheytana : le 11/09/15 à 16:37:47
| Dire merci | C'est le petit cœur de dire merci, rassure toi  |
Par Loarghann : le 11/09/15 à 16:47:46
| Dire merci | euh, pourquoi c'est le meme petit cœur sous l'avatar de Ombre alors ? ou c'est moi qui suis bi-glue ? (warf) |
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