Ossements que faire ?
Sujet commencé par : photos69 - Il y a 499 réponses à ce sujet, dernière réponse par Loarghann1 personne suit ce sujet
Par photos69 : le 16/08/15 à 11:59:42
Déconnecté Dire merci3 | Bonjour, Je vous contacte car je me pose quelques questions.. Nous avons emménagé dans une petite maison depuis 6 mois. Cette maison était à l'abandon il y a un ou deux ans et d'après les voisins, les anciens locataire étaient très "bizarre", après eux,la maison n'a plus été loue et est devenu un squat. (Elle a ete refaite a neuf par les propriétaire quelques mois avant notre arrivé, nous sommes locataires) Or depuis deux mois nous avons adopté un chien.. Et celui ci ne cesse de creuser à différents endroits et nous ramène des os assez gros.. Ils sont souvent en morceaux. Mais ils sont assez large et épais. Le plus déstabilisant c'est que les anciens locataire n'avait pas de chien (et à moins d'avoir enterré un terre neuve, les os sont trop gros pour un chien, même si je souhaite que ce soit un gros chiens la dessous !). Ce n'est pas une ancienne ferme non plus. A un des endroits où mon chien creuse sans cesse (tas de sable au milieu de l'herbe, dont je n'arrive pas à me débarrasser d'ailleurs, j'ai l'impression qu'il y a 3 tonnes de sable la dessous !) nous avons retrouver une carte de bus d'un enfant enterré. Les anciens locataires n'ayant pas d'enfant. Je me demande comment elle a pu se retrouver ici enterré au milieu de notre terrain. Je me fais peut être des films. Mais connaissant l'histoire de la maison. J'ai un peu peur ! J'ai arrêté mes travaux de jardinage et de remise en état du terrain car j'angoisse d'y trouver quelques choses de plus choquant.. Que doit on faire dans ce genre de cas ? Prévenir la gendarmerie quand même ? |
Par stephy92 : le 11/09/15 à 16:55:54
Dire merci | c'est vrai que le coeur n’apparaît pas sur les autres profils... Ils n'ont pas finit d'enquêter à Osselaid |
Par sheytana : le 11/09/15 à 17:03:56
Dire merci | loarghann Parce que quelqu'un a aussi aimé le message d'Ombre sans doute Le petit cœur pour mentionner son décès, il est noir et il est visible que lorsque tu cliques sur sa photo d'avatar... |
Par Loarghann : le 11/09/15 à 21:55:19
Dire merci | Oki... |
Par Uriette : le 12/09/15 à 08:30:31
Déconnecté Dire merci | pendant ce temps là, à Veracruz... On célébrait le bicentenaire de la découverte d'une statue millénaire dont le visage ressemblait étrangement à celui de... la vierge Marie. Mais depuis quelques jours, cette statue c'était mise à saigner du vrai sang. Certains pensaient qu'elle avait tout simplement ses règles, d'autres qu'il s'agissait d'un véritable miracle. Tous les croyants s'étaient précipités pour aller voir ça de leur propre yeux. Les infirmes étaient convaincus que le sang de la vierge les guériraient de tous leurs maux. C'est à cause de ce miracle sans précédents que le père Scapula avait sauté dans le premier avion venu, laissant ainsi sa paroisse totalement close et tous les fervents croyants d'Osselaid, totalement désemparés devant une église fermée un dimanche de messe. Dans sa précipitation, il n'avait eu le temps de ne prévenir que Justine, qui avait étrangement insisté pour l'accompagner. Justine semblait inquiète. Le père Scapula ne la connaissait pas aussi angoissée. Mais il ne savait pas si c'était du à l’instance des policiers et de leur enquête, ou si quelque chose d'autre la tourmentait. Elle avait seulement mentionné à demi-mots l'étrange sensation d'être suivie, et de ne plus se sentir en sécurité à Osselaid. Ce qui était vrai. Scapula pouvait en témoigner, Gégé, un sdf alcoolique venait d'arriver dans le village et se plaisait à terroriser les bons paroissiens en les prenant tous en filature. Il les invectivait quand il était pris sur le fait : - Je sais tous qui vous êtes et ce que vous faites, je vous ai tous googlelisés bande de dégénérés consanguins ! Hips! Comme si la paroisse avait besoin de ça en plus du reste ! |
Par kazoar : le 14/09/15 à 22:58:26
Dire merci | Oh eh oh vous zêtes où?? La suite, la suite !!! |
Par sheytana : le 15/09/15 à 13:49:03
Dire merci | Ce qui était vrai. Scapula pouvait en témoigner, Gégé, un sdf alcoolique venait d'arriver dans le village et se plaisait à terroriser les bons paroissiens en les prenant tous en filature. Il les invectivait quand il était pris sur le fait : - Je sais tous qui vous êtes et ce que vous faites, je vous ai tous googlelisés bande de dégénérés consanguins ! Hips! Comme si la paroisse avait besoin de ça en plus du reste ! Scapula avait beau l'avoir raconté à Justine, celle-ci avait tout de même insisté pour faire partie du voyage, prétextant que l'air de Veracruz lui ferait également le plus grand bien. Lors que Talin avait apprit son départ, ses soupçons s'éveillèrent d'avantage. Malheureusement il n'avait pas réussi à obtenir du procureur une obligation à rester sur le territoire, car il n'avait ni preuve de sa culpabilité, ni mobile pour le meurtre de son mari. Mais peu importe, il avait poursuivi sur sa piste du cheveu roux, imaginant des hypothèses plus capilo-tractées les unes que les autres. Gérard Mensoif, de son côté, commençait à s'inquiéter de ne pas avoir de nouvelles de Guillemette. Il s'était donc rendu à son domicile, mais celui-ci semblait clos depuis plusieurs jours. Il se mit à questionner le voisinage, mais la dernière fois qu'elle avait été vue remontait bien à une bonne semaine. Elle était en compagnie de sa meilleure amie Appoline, et depuis, personne n'avait de nouvelles, de l'une comme de l'autre. Il remonta donc l'information au procureur, mentionnant que ce n'était absolument pas dans ses habitudes. La Marquise était plutôt casanière, et son appel manqué l'inquiétait. |
Par Uriette : le 17/09/15 à 01:10:59
Déconnecté Dire merci | Ah, mais pour avoir la suite, il faut l'écrire c'est pas si simple. Reprenons : Ce qui était vrai. Scapula pouvait en témoigner, Gégé, un sdf alcoolique venait d'arriver dans le village et se plaisait à terroriser les bons paroissiens en les prenant tous en filature. Il les invectivait quand il était pris sur le fait : - Je sais tous qui vous êtes et ce que vous faites, je vous ai tous googlelisés bande de dégénérés consanguins ! Hips! Comme si la paroisse avait besoin de ça en plus du reste ! Scapula avait beau l'avoir raconté à Justine, celle-ci avait tout de même insisté pour faire partie du voyage, prétextant que l'air de Veracruz lui ferait également le plus grand bien. Lors que Talin avait apprit son départ, ses soupçons s'éveillèrent d'avantage. Malheureusement il n'avait pas réussi à obtenir du procureur une obligation à rester sur le territoire, car il n'avait ni preuve de sa culpabilité, ni mobile pour le meurtre de son mari. Mais peu importe, il avait poursuivi sur sa piste du cheveu roux, imaginant des hypothèses plus capilo-tractées les unes que les autres. Gérard Mensoif, de son côté, commençait à s'inquiéter de ne pas avoir de nouvelles de Guillemette. Il s'était donc rendu à son domicile, mais celui-ci semblait clos depuis plusieurs jours. Il se mit à questionner le voisinage, mais la dernière fois qu'elle avait été vue remontait bien à une bonne semaine. Elle était en compagnie de sa meilleure amie Appoline, et depuis, personne n'avait de nouvelles, de l'une comme de l'autre. Il remonta donc l'information au procureur, mentionnant que ce n'était absolument pas dans ses habitudes. La Marquise était plutôt casanière, et son appel manqué l'inquiétait. Le procureur balaya les doutes du détective d'un revers. Jean Timépafutey lui expliqua que la Marquise était allée prendre quelques jours de repos en bord de mer avec son amie Appoline. Il n'y avait pas lieu de s'inquiéter. La semaine précédente il avait bien failli se passer quelque chose mais finalement tout était rentré dans l'ordre. Gérard n'était pas franchement satisfait de cette explication. La maison d'Appoline était restée fenêtres ouvertes, mais les contres vents avaient été tirés par l'extérieur pour dissimuler ce fait. Ensuite, l'intérieur de la maison était resté en vrac : une lessive en attente d'être étendue moisissait dans le lave-ling, le lave vaisselle était empli de vaisselle sale et malodorante, dans l'évier pourrissait une casserole qui avait été mise à tremper, l'ensemble était nauséabond. Dans la chambre rien ne semblait avoir été bougé, sur la table de chevet le missel était à sa place, et le chapelet pendait au prie-dieu. Appoline ne serait pas partie, même à la hâte sans ces objets ! Message édité le 17/09/15 à 01:13 |
Par Cliona : le 17/09/15 à 13:34:07
Dire merci | Le procureur balaya les doutes du détective d'un revers. Jean Timépafutey lui expliqua que la Marquise était allée prendre quelques jours de repos en bord de mer avec son amie Appoline. Il n'y avait pas lieu de s'inquiéter. La semaine précédente il avait bien failli se passer quelque chose mais finalement tout était rentré dans l'ordre. Gérard n'était pas franchement satisfait de cette explication. La maison d'Appoline était restée fenêtres ouvertes, mais les contres vents avaient été tirés par l'extérieur pour dissimuler ce fait. Ensuite, l'intérieur de la maison était resté en vrac : une lessive en attente d'être étendue moisissait dans le lave-ling, le lave vaisselle était empli de vaisselle sale et malodorante, dans l'évier pourrissait une casserole qui avait été mise à tremper, l'ensemble était nauséabond. Dans la chambre rien ne semblait avoir été bougé, sur la table de chevet le missel était à sa place, et le chapelet pendait au prie-dieu. Appoline ne serait pas partie, même à la hâte sans ces objets ! Il trouvait également suspect l'empressement mis par Justine à partir à Veracruz...Se pouvait-il qu'elle soit pour quelque chose dans ces disparitions mystérieuses quoiqu'en dise le procureur ? Mais aussi, COMMENT le procureur savait il que Guillemette et Appolline étaient parties au bord de la mer pour se reposer ? Tout cela était bien étrange et, pour tout dire, son cerveau, guère habitué à tout ce remue méninge, commençait à fumer...On voyait même de la fumée sortir de....HEIN ? De la fumée ? Sortant de ses réflexions, il ouvrit brusquement la porte du bureau, provoquant ainsi... |
Par Uriette : le 17/09/15 à 16:54:59
Déconnecté Dire merci | Le procureur balaya les doutes du détective d'un revers. Jean Timépafutey lui expliqua que la Marquise était allée prendre quelques jours de repos en bord de mer avec son amie Appoline. Il n'y avait pas lieu de s'inquiéter. La semaine précédente il avait bien failli se passer quelque chose mais finalement tout était rentré dans l'ordre. Gérard n'était pas franchement satisfait de cette explication. La maison d'Appoline était restée fenêtres ouvertes, mais les contres vents avaient été tirés par l'extérieur pour dissimuler ce fait. Ensuite, l'intérieur de la maison était resté en vrac : une lessive en attente d'être étendue moisissait dans le lave-ling, le lave vaisselle était empli de vaisselle sale et malodorante, dans l'évier pourrissait une casserole qui avait été mise à tremper, l'ensemble était nauséabond. Dans la chambre rien ne semblait avoir été bougé, sur la table de chevet le missel était à sa place, et le chapelet pendait au prie-dieu. Appoline ne serait pas partie, même à la hâte sans ces objets ! Il trouvait également suspect l'empressement mis par Justine à partir à Veracruz...Se pouvait-il qu'elle soit pour quelque chose dans ces disparitions mystérieuses quoiqu'en dise le procureur ? Mais aussi, COMMENT le procureur savait il que Guillemette et Appolline étaient parties au bord de la mer pour se reposer ? Tout cela était bien étrange et, pour tout dire, son cerveau, guère habitué à tout ce remue méninge, commençait à fumer...On voyait même de la fumée sortir de....HEIN ? De la fumée ? Sortant de ses réflexions, il ouvrit brusquement la porte du bureau, provoquant ainsi... un brusque retour de flammes lié à l'appel d'air qu'il venait de provoquer. Brûlé au visage, se souvenant des messages de la sécurité civile : ne pas ouvrir la porte, respirer l'air qui était près du sol, tant bien que mal il se saisit de son téléphone portable, pour appeler les secours. On venait de mettre le feu sur le palier dans la cage d'escalier de son immeuble. Si ce n'était pas une tentative d'intimidation ça y ressemblait fort. Loin d'être intimidé par cette manoeuvre, Gérard se jura de se venger de celui qui lui avait brulé les mains et le visage. Pendant ce temps, à Veracruz, Justine et Scapula venaient d'atterrir. Justine se réveillait à peine du voyage en avion car Scapula avait jugé plus sûr de la droguer pour le voyage. - Je ne me l'étais pas imaginé comme ça ! - quoi ? avait demandé le prêtre. - Veracruz, pardi, répondit Justine. - Et tu te l'imaginais comment ? - Avec moins d'étrangers |
Par Cliona : le 18/09/15 à 13:57:19
Dire merci | un brusque retour de flammes lié à l'appel d'air qu'il venait de provoquer. Brûlé au visage, se souvenant des messages de la sécurité civile : ne pas ouvrir la porte, respirer l'air qui était près du sol, tant bien que mal il se saisit de son téléphone portable, pour appeler les secours. On venait de mettre le feu sur le palier dans la cage d'escalier de son immeuble. Si ce n'était pas une tentative d'intimidation ça y ressemblait fort. Loin d'être intimidé par cette manoeuvre, Gérard se jura de se venger de celui qui lui avait brulé les mains et le visage. Pendant ce temps, à Veracruz, Justine et Scapula venaient d'atterrir. Justine se réveillait à peine du voyage en avion car Scapula avait jugé plus sûr de la droguer pour le voyage. - Je ne me l'étais pas imaginé comme ça ! - quoi ? avait demandé le prêtre. - Veracruz, pardi, répondit Justine. - Et tu te l'imaginais comment ? - Avec moins d'étrangers Ah...déclara Scapula en se retenant d'éclater de rire au nez de Justine. Je te rappelle quand même que les étrangers ici, c'est nous ! dit il, les yeux pétillants de son rire contenu à grand peine -oui ben je m'en fous ! rétorqua Justine, Ici, y'a trop d'étrangers ! Ils sont tous moches, basanés et ils puent déclara-t'elle de façon véhémente, s'échauffant au fur et à mesure qu'elle parlait Voyant cela, Scapula, qui ne voulait pas qu'on les repère, prit Justine par le bras et l'entraina plus loin, espérant ainsi la calmer un peu... Las ! Justine, loin de se calmer, s'énervait de plus en plus, devenant de plus en plus virulente et grossière au fur et à mesure que les secondes passaient...Sans doute un effet secondaire de la drogue que Scapula lui avait injecté pour voyager tranquille... Scapula, à bout d'arguments et de patience, leva alors la main et lui asséna une formidable mandale qui la projeta dans... |
Par noirah : le 20/09/15 à 09:40:24
Dire merci | Message édité le 20/09/15 à 09:41 |
Par kazoar : le 20/09/15 à 21:05:26
Dire merci | un brusque retour de flammes lié à l'appel d'air qu'il venait de provoquer. Brûlé au visage, se souvenant des messages de la sécurité civile : ne pas ouvrir la porte, respirer l'air qui était près du sol, tant bien que mal il se saisit de son téléphone portable, pour appeler les secours. On venait de mettre le feu sur le palier dans la cage d'escalier de son immeuble. Si ce n'était pas une tentative d'intimidation ça y ressemblait fort. Loin d'être intimidé par cette manoeuvre, Gérard se jura de se venger de celui qui lui avait brulé les mains et le visage. Pendant ce temps, à Veracruz, Justine et Scapula venaient d'atterrir. Justine se réveillait à peine du voyage en avion car Scapula avait jugé plus sûr de la droguer pour le voyage. - Je ne me l'étais pas imaginé comme ça ! - quoi ? avait demandé le prêtre. - Veracruz, pardi, répondit Justine. - Et tu te l'imaginais comment ? - Avec moins d'étrangers Ah...déclara Scapula en se retenant d'éclater de rire au nez de Justine. Je te rappelle quand même que les étrangers ici, c'est nous ! dit il, les yeux pétillants de son rire contenu à grand peine -oui ben je m'en fous ! rétorqua Justine, Ici, y'a trop d'étrangers ! Ils sont tous moches, basanés et ils puent déclara-t'elle de façon véhémente, s'échauffant au fur et à mesure qu'elle parlait Voyant cela, Scapula, qui ne voulait pas qu'on les repère, prit Justine par le bras et l'entraina plus loin, espérant ainsi la calmer un peu... Las ! Justine, loin de se calmer, s'énervait de plus en plus, devenant de plus en plus virulente et grossière au fur et à mesure que les secondes passaient...Sans doute un effet secondaire de la drogue que Scapula lui avait injecté pour voyager tranquille... Scapula, à bout d'arguments et de patience, leva alors la main et lui asséna une formidable mandale qui la projeta dans... les jambes d'un homme en costard cravate qui portait des lunettes noires. - Ah hum… dit celui-ci en faisant un pas de côté pour éviter Justine, qui se ratatina de plus belle quelques mètres plus loin. Père Rotula je présume ? - Scapula, en fait, corrigea le prêtre en lui tendant la main - Gggnnnééééé….. tenta Justine qui peinait à se relever, les cheveux dans la figure et une jambe à l'équerre de l'autre. Après l'avoir observé un instant et déduit qu'elle pourrait s'en sortir seule, les deux hommes revinrent à leurs moutons. - Père Scapula, je ne vous en ai pas parlé, mais il est apparut un gros problème dans notre… hum… histoire commune. - Vraiment ? s'affola Scapula - Un certain Gérard, oui….. - QUI CA ?? demanda Justine qui venait enfin de se relever, appuyée contre la baie vitrée |
Par noirah : le 20/09/15 à 21:13:13
Dire merci | ben zut j'avais tapé tout un méga texte ce matin, ... il est passé où ? |
Par Cliona : le 22/09/15 à 10:48:59
Dire merci | Scapula, à bout d'arguments et de patience, leva alors la main et lui asséna une formidable mandale qui la projeta dans... les jambes d'un homme en costard cravate qui portait des lunettes noires. - Ah hum… dit celui-ci en faisant un pas de côté pour éviter Justine, qui se ratatina de plus belle quelques mètres plus loin. Père Rotula je présume ? - Scapula, en fait, corrigea le prêtre en lui tendant la main - Gggnnnééééé….. tenta Justine qui peinait à se relever, les cheveux dans la figure et une jambe à l'équerre de l'autre. Après l'avoir observé un instant et déduit qu'elle pourrait s'en sortir seule, les deux hommes revinrent à leurs moutons. - Père Scapula, je ne vous en ai pas parlé, mais il est apparut un gros problème dans notre… hum… histoire commune. - Vraiment ? s'affola Scapula - Un certain Gérard, oui….. - QUI CA ?? demanda Justine qui venait enfin de se relever, appuyée contre la baie vitrée L'homme en costume regarda enfin la femme vêtue de vert fluo qui se relevait péniblement contre la baie vitrée et consentit à répéter le nom qu'il venait de prononcer : - Oui, Gérard...Gérard Menvussadanmavy - Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah se mit à crier Justine d'un air hystérique, Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah MAIS JE LE CONNAIS !!!!!! C'est... Message édité le 22/09/15 à 10:49 |
Par Uriette : le 23/09/15 à 08:28:44
Déconnecté Dire merci | Scapula, à bout d'arguments et de patience, leva alors la main et lui asséna une formidable mandale qui la projeta dans... les jambes d'un homme en costard cravate qui portait des lunettes noires. - Ah hum… dit celui-ci en faisant un pas de côté pour éviter Justine, qui se ratatina de plus belle quelques mètres plus loin. Père Rotula je présume ? - Scapula, en fait, corrigea le prêtre en lui tendant la main - Gggnnnééééé….. tenta Justine qui peinait à se relever, les cheveux dans la figure et une jambe à l'équerre de l'autre. Après l'avoir observé un instant et déduit qu'elle pourrait s'en sortir seule, les deux hommes revinrent à leurs moutons. - Père Scapula, je ne vous en ai pas parlé, mais il est apparut un gros problème dans notre… hum… histoire commune. - Vraiment ? s'affola Scapula - Un certain Gérard, oui….. - QUI CA ?? demanda Justine qui venait enfin de se relever, appuyée contre la baie vitrée L'homme en costume regarda enfin la femme vêtue de vert fluo qui se relevait péniblement contre la baie vitrée et consentit à répéter le nom qu'il venait de prononcer : - Oui, Gérard...Gérard Menvussadanmavy - Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah se mit à crier Justine d'un air hystérique, Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah MAIS JE LE CONNAIS !!!!!! C'est... le type qui fouinait dans la maison d'Appoline ! Il sait tout, j'en suis sûre... Scapula asséna un second bourre pif à la jeune femme. - Ne l'écoutez pas, c'est une folle, tout le monde le sait et plus personne ne l'écoute. Suffit de regarder ses tenues verts fluo pour se rendre compte qu'elle n'est pas nette. L'homme regarda Justine qui minaudait en se dandinant tout en se frottant la mâchoire qui venait de prendre un coup de poing. - C'est vrai qu'elle a pas l'air net, dit-il. - Et encore vous ne l'avez pas entendue chanter, je peux vous assurer que quand elle chante, ça déménage ! Mais elle n'a pas un mauvais fond, elle est juste possédée par le démon. On pourrait profiter de la vierge pour l'exorciser. L'homme acquiesçait sur le côté. - Rho, CA VA LA, HEIN ? Vous pouvez arrêter de faire comme si je n'étais pas là, ça me donne l'impression d'être un meuble. Vous aimez le boudin, Monsieur ? - Il déteste ça ! dit Scapula. - Mais pas du tout dit l'homme, j'adore le boudin. Tout de go, Justine se dressa et se mit à entonner à pleine voix: "Tiens, voilà du boudin !" |
Par Cliona : le 23/09/15 à 09:03:18
Dire merci | j'adore ! |
Par sheytana : le 23/09/15 à 09:09:16
Dire merci | Mais PTDR, c'est de plus en plus n'importe quoi Bon j'ai pas trop eu le temps dernièrement, mais j’essaierais de rajouter une p'tit couche cette aprem |
Par sissy : le 23/09/15 à 11:27:48
Dire merci | ROOOOH!!! ces délires!!! Mais PTDR!!! |
Par sheytana : le 23/09/15 à 11:46:14
Dire merci | L'homme en costume regarda enfin la femme vêtue de vert fluo qui se relevait péniblement contre la baie vitrée et consentit à répéter le nom qu'il venait de prononcer : - Oui, Gérard...Gérard Menvussadanmavy - Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah se mit à crier Justine d'un air hystérique, Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah MAIS JE LE CONNAIS !!!!!! C'est... le type qui fouinait dans la maison d'Appoline ! Il sait tout, j'en suis sûre... Scapula asséna un second bourre pif à la jeune femme. - Ne l'écoutez pas, c'est une folle, tout le monde le sait et plus personne ne l'écoute. Suffit de regarder ses tenues verts fluo pour se rendre compte qu'elle n'est pas nette. L'homme regarda Justine qui minaudait en se dandinant tout en se frottant la mâchoire qui venait de prendre un coup de poing. - C'est vrai qu'elle a pas l'air net, dit-il. - Et encore vous ne l'avez pas entendue chanter, je peux vous assurer que quand elle chante, ça déménage ! Mais elle n'a pas un mauvais fond, elle est juste possédée par le démon. On pourrait profiter de la vierge pour l'exorciser. L'homme acquiesçait sur le côté. - Rho, CA VA LA, HEIN ? Vous pouvez arrêter de faire comme si je n'étais pas là, ça me donne l'impression d'être un meuble. Vous aimez le boudin, Monsieur ? - Il déteste ça ! dit Scapula. - Mais pas du tout dit l'homme, j'adore le boudin. Tout de go, Justine se dressa et se mit à entonner à pleine voix: "Tiens, voilà du boudin !" Pendant que Justine en prenait plein la gueule au sens littéral du terme, Appoline et Guillemette avaient réussi à s'enfuir de chez leur ravisseur. Leur évasion avait été simple. Un peu trop simple même. Une fois Appo débâillonnée, elles s'étaient traînées jusqu'au lit, et avaient réussi à se relever malgré leurs liens. Elles avaient ouvert la porte difficilement, mais une fois l'escalier passé, elles se retrouvèrent dans ce qui semblait être une église. Mais ce n'était pas un lieu familier à Appo qui connaissait par cœur toutes les églises des environs. "On doit être chez ces saloperies d'évangélistes", déduisit-elle en se souvenant de la musique qu'elle avait prise pour celle de l'eucharistie. Une fois dehors, elles coururent aussi vite qu'elles purent, à travers champs, les mains toujours ligotées derrière leurs dos. Elles devaient tout de même faire attention à ne pas perdre l'équilibre, car toute chute risquait d'avoir un impact direct sur leur dentition. Après des heures qui leurs parurent interminables, elles finirent par arriver sur une route un peu passante, et elles entreprirent d'arrêter une voiture. "Eh ben mes p'tites dames, qu'est-ce que vous faites saucissonnées comme ça dans notre patelin ? demanda le paysan qui avait garé son pick-up rouge à leur hauteur. Besoin d'un p'tit coup d'main ?" Une fois détachées, elles supplièrent Monsieur Marcel de les accompagner au poste de police. "Baaaah j'veux bien vous déposer d'vant, mais j'rentre pas là d'dans moé avec ses cons de flics". Elles étaient complètement hystériques lorsqu'elles firent irruption dans le commissariat, pour raconter à l'inspecteur Talin leurs mésaventures : "C'est Albert Rézina qui est derrière tout ça, j'en suis sûre !!!!" affirmait Guillemette. "Calmez vous mesdemoiselles, et raconter moi tout ça depuis le début... Enfin, d'abord, comment avez vous réussi à vous échapper si facilement ??" Message édité le 23/09/15 à 11:49 |
Par kazoar : le 23/09/15 à 22:01:11
Dire merci | Tout de go, Justine se dressa et se mit à entonner à pleine voix: "Tiens, voilà du boudin !" Pendant que Justine en prenait plein la gueule au sens littéral du terme, Appoline et Guillemette avaient réussi à s'enfuir de chez leur ravisseur. Leur évasion avait été simple. Un peu trop simple même. Une fois Appo débâillonnée, elles s'étaient traînées jusqu'au lit, et avaient réussi à se relever malgré leurs liens. Elles avaient ouvert la porte difficilement, mais une fois l'escalier passé, elles se retrouvèrent dans ce qui semblait être une église. Mais ce n'était pas un lieu familier à Appo qui connaissait par cœur toutes les églises des environs. "On doit être chez ces saloperies d'évangélistes", déduisit-elle en se souvenant de la musique qu'elle avait prise pour celle de l'eucharistie. Une fois dehors, elles coururent aussi vite qu'elles purent, à travers champs, les mains toujours ligotées derrière leurs dos. Elles devaient tout de même faire attention à ne pas perdre l'équilibre, car toute chute risquait d'avoir un impact direct sur leur dentition. Après des heures qui leurs parurent interminables, elles finirent par arriver sur une route un peu passante, et elles entreprirent d'arrêter une voiture. "Eh ben mes p'tites dames, qu'est-ce que vous faites saucissonnées comme ça dans notre patelin ? demanda le paysan qui avait garé son pick-up rouge à leur hauteur. Besoin d'un p'tit coup d'main ?" Une fois détachées, elles supplièrent Monsieur Marcel de les accompagner au poste de police. "Baaaah j'veux bien vous déposer d'vant, mais j'rentre pas là d'dans moé avec ses cons de flics". Elles étaient complètement hystériques lorsqu'elles firent irruption dans le commissariat, pour raconter à l'inspecteur Talin leurs mésaventures : "C'est Albert Rézina qui est derrière tout ça, j'en suis sûre !!!!" affirmait Guillemette. "Calmez vous mesdemoiselles, et raconter moi tout ça depuis le début... Enfin, d'abord, comment avez vous réussi à vous échapper si facilement ??" - facilement, facilement, ronchonna Guillemette, c'est pas vous qu'étiez saucissonnées comme on l'était, dans le noir avec N'a-qu'un-oeil !! - Et si c'était si facile, renchérit Appoline, on n'aurait pas mis des JOURS à s'échapper, qu'est ce que vous croyez ? D'ailleurs, z'auriez pas un peu oublié de nous chercher, ce tantôt, m'sieru l'agent…? - Inspecteur, mesdames ! se vexa Talin. Bon, eh bien commençons par |
Par sheytana : le 24/09/15 à 09:28:33
Dire merci | N'a qu'un œil ? |
Par stephy92 : le 24/09/15 à 09:48:14
Dire merci | il n'avait pas les yeux vairons plutôt? |
Par sheytana : le 24/09/15 à 10:05:54
Dire merci | Ben si |
Par Kat... : le 24/09/15 à 10:06:13
Dire merci | Il avait l'oeil gauche qui n'allait pas avec l'oeil droit |
Par Kat... : le 24/09/15 à 10:11:43
Dire merci | A travers sa cagoule, elles ne pouvaient voir que ses yeux. Ils étaient très étranges d'ailleurs. Comme s'ils avaient appartenu à deux personnes différentes |
Par sheytana : le 24/09/15 à 10:20:36
Dire merci | Tout de go, Justine se dressa et se mit à entonner à pleine voix: "Tiens, voilà du boudin !" Pendant que Justine en prenait plein la gueule au sens littéral du terme, Appoline et Guillemette avaient réussi à s'enfuir de chez leur ravisseur. Leur évasion avait été simple. Un peu trop simple même. Une fois Appo débâillonnée, elles s'étaient traînées jusqu'au lit, et avaient réussi à se relever malgré leurs liens. Elles avaient ouvert la porte difficilement, mais une fois l'escalier passé, elles se retrouvèrent dans ce qui semblait être une église. Mais ce n'était pas un lieu familier à Appo qui connaissait par cœur toutes les églises des environs. "On doit être chez ces saloperies d'évangélistes", déduisit-elle en se souvenant de la musique qu'elle avait prise pour celle de l'eucharistie. Une fois dehors, elles coururent aussi vite qu'elles purent, à travers champs, les mains toujours ligotées derrière leurs dos. Elles devaient tout de même faire attention à ne pas perdre l'équilibre, car toute chute risquait d'avoir un impact direct sur leur dentition. Après des heures qui leurs parurent interminables, elles finirent par arriver sur une route un peu passante, et elles entreprirent d'arrêter une voiture. "Eh ben mes p'tites dames, qu'est-ce que vous faites saucissonnées comme ça dans notre patelin ? demanda le paysan qui avait garé son pick-up rouge à leur hauteur. Besoin d'un p'tit coup d'main ?" Une fois détachées, elles supplièrent Monsieur Marcel de les accompagner au poste de police. "Baaaah j'veux bien vous déposer d'vant, mais j'rentre pas là d'dans moé avec ses cons de flics". Elles étaient complètement hystériques lorsqu'elles firent irruption dans le commissariat, pour raconter à l'inspecteur Talin leurs mésaventures : "C'est Albert Rézina qui est derrière tout ça, j'en suis sûre !!!!" affirmait Guillemette. "Calmez vous mesdemoiselles, et raconter moi tout ça depuis le début... Enfin, d'abord, comment avez vous réussi à vous échapper si facilement ??" - facilement, facilement, ronchonna Guillemette, c'est pas vous qu'étiez saucissonnées comme on l'était, dans le noir avec N'a-qu'un-oeil !! - Et si c'était si facile, renchérit Appoline, on n'aurait pas mis des JOURS à s'échapper, qu'est ce que vous croyez ? D'ailleurs, z'auriez pas un peu oublié de nous chercher, ce tantôt, m'sieru l'agent…? - Inspecteur, mesdames ! se vexa Talin. Bon, eh bien commençons par le début. Et avant ça, je vais chercher un café pour tout le monde, vous devez être affamées !" Effectivement, sous le coup de l'émotions les filles avaient oublié la soif, la faim, le froid. Mais leurs estomacs criaient famine, et elles avait utilisé leurs dernières forces pour s'enfuir. Talin s'en alla chercher des cafés et des croissants. "Pourquoi tu l'appelle N'a qu'un oeil ? demanda Appo, c'est chelou comme surnom ! En plus il a deux yeux... - Ben j'sais pas, c'est venu comme ça, je trouvais que ça donnait un aspect plus dramatique à l'histoire... Non ? On peut l'appeler n'a qu'une dent sinon ? Parce que bon, Albert le Roux, c'est naze comme surnom pour un tueur psychopathe..." Lorsque Talin fut de retour, elles racontèrent leurs péripéties, et les soupçons qu'elles avaient par rapport à leur agresseur. L'inspecteur était très perplexe. "Ce n'est pas possible que ce soit Albert, il avait été innocenté grâce aux analyses d'ADN. Nous l'avions soupçonné à l'époque à cause de ses cheveux roux. Ça ne pouvait être que Van Houten !" - Mais Monsieur, mon cousin est mort, nous avons trouvé sa dépouille dans la Chapelle Fistine !!!! Il faut absolument que vous envoyiez vos hommes là bas, pour analyser le corps, et ensuite pouvoir lui donner un enterrement digne de ce nom..." Pendant que Talin rassemblait ses hommes, Guillemette récupéra son portable dans la poche de sa veste. Il n'avait plus de batterie, aussi elle demanda un chargeur à un agent qui passait par là. Lorsqu'elle pu enfin le rallumer, elle vit que Gérard Mensoif avait essayé de la joindre plusieurs fois. Message édité le 24/09/15 à 10:29 |
Par Uriette : le 24/09/15 à 12:10:14
Déconnecté Dire merci | - facilement, facilement, ronchonna Guillemette, c'est pas vous qu'étiez saucissonnées comme on l'était, dans le noir avec N'a-qu'un-oeil !! - Et si c'était si facile, renchérit Appoline, on n'aurait pas mis des JOURS à s'échapper, qu'est ce que vous croyez ? D'ailleurs, z'auriez pas un peu oublié de nous chercher, ce tantôt, m'sieru l'agent…? - Inspecteur, mesdames ! se vexa Talin. Bon, eh bien commençons par le début. Et avant ça, je vais chercher un café pour tout le monde, vous devez être affamées !" Effectivement, sous le coup de l'émotions les filles avaient oublié la soif, la faim, le froid. Mais leurs estomacs criaient famine, et elles avait utilisé leurs dernières forces pour s'enfuir. Talin s'en alla chercher des cafés et des croissants. "Pourquoi tu l'appelle N'a qu'un oeil ? demanda Appo, c'est chelou comme surnom ! En plus il a deux yeux... - Ben j'sais pas, c'est venu comme ça, je trouvais que ça donnait un aspect plus dramatique à l'histoire... Non ? On peut l'appeler n'a qu'une dent sinon ? Parce que bon, Albert le Roux, c'est naze comme surnom pour un tueur psychopathe..." Lorsque Talin fut de retour, elles racontèrent leurs péripéties, et les soupçons qu'elles avaient par rapport à leur agresseur. L'inspecteur était très perplexe. "Ce n'est pas possible que ce soit Albert, il avait été innocenté grâce aux analyses d'ADN. Nous l'avions soupçonné à l'époque à cause de ses cheveux roux. Ça ne pouvait être que Van Houten !" - Mais Monsieur, mon cousin est mort, nous avons trouvé sa dépouille dans la Chapelle Fistine !!!! Il faut absolument que vous envoyiez vos hommes là bas, pour analyser le corps, et ensuite pouvoir lui donner un enterrement digne de ce nom..." Pendant que Talin rassemblait ses hommes, Guillemette récupéra son portable dans la poche de sa veste. Il n'avait plus de batterie, aussi elle demanda un chargeur à un agent qui passait par là. Lorsqu'elle pu enfin le rallumer, elle vit que Gérard Mensoif avait essayé de la joindre plusieurs fois. Alors que tous les hommes se rassemblaient dans la pièce voisine. Talin se souvint tout à coup qu'avant toute intervention il devait en demander l'ordre au procureur pour ne pas se retrouver dans la situation désagréable du vice de procédure et devoir relâcher l'insaisissable criminel qui hantait ses nuits. - Inspecteur, dit Timépafutey, permettez-moi de douter de vos informatrices. Vous me demandez une commission rogatoire pour perquisitionner un lieu imaginaire, est-ce une commission ragotoire que vous me demandez ? - Mr le procureur si Van Houtan est mort à l'époque comme elles le disent, alors ça change tout. - Est-ce que vous vous rendez compte qu'on nage en plein fantasme de bonnes femmes là ? Vérifiez vos informations avant de remuer ciel et terre, vous sauriez que la Marquise et son amie Appoline sont allées prendre l'air au bord de la mer, pas de quoi en faire toute une histoire ! Vous devez être un peu surmenés pour croire à des histoires pareilles et vous faire berner par deux harpies en manque d'adrénaline. Non mais la Marquise et Appoline enlevées et séquestrées par le maire en plus, on peut vraiment vous faire gober n'importe quoi ! Talin blémit et se mit en colère. - En plus vous vous moquez de moi, des années que l'enquête piétine et c'est tout ce que vous trouvez à faire... - Ecoutez Talin, je signe ce que vous voulez, mais je suis convaincu que vous perdez votre temps. - Que vous soyez un con vaincu je n'en doute pas une seconde... |
Par sheytana : le 24/09/15 à 13:01:10
Dire merci | PTDR |
Par Cloduperche61 : le 24/09/15 à 14:01:36
Par sheytana : le 24/09/15 à 14:52:51
Dire merci | Alors que tous les hommes se rassemblaient dans la pièce voisine. Talin se souvint tout à coup qu'avant toute intervention il devait en demander l'ordre au procureur pour ne pas se retrouver dans la situation désagréable du vice de procédure et devoir relâcher l'insaisissable criminel qui hantait ses nuits. - Inspecteur, dit Timépafutey, permettez-moi de douter de vos informatrices. Vous me demandez une commission rogatoire pour perquisitionner un lieu imaginaire, est-ce une commission ragotoire que vous me demandez ? - Mr le procureur si Van Houtan est mort à l'époque comme elles le disent, alors ça change tout. - Est-ce que vous vous rendez compte qu'on nage en plein fantasme de bonnes femmes là ? Vérifiez vos informations avant de remuer ciel et terre, vous sauriez que la Marquise et son amie Appoline sont allées prendre l'air au bord de la mer, pas de quoi en faire toute une histoire ! Vous devez être un peu surmenés pour croire à des histoires pareilles et vous faire berner par deux harpies en manque d'adrénaline. Non mais la Marquise et Appoline enlevées et séquestrées par le maire en plus, on peut vraiment vous faire gober n'importe quoi ! Talin blémit et se mit en colère. - En plus vous vous moquez de moi, des années que l'enquête piétine et c'est tout ce que vous trouvez à faire... - Ecoutez Talin, je signe ce que vous voulez, mais je suis convaincu que vous perdez votre temps. - Que vous soyez un con vaincu je n'en doute pas une seconde... Lorsque l'inspecteur s'en retourna auprès de ses hommes, Guillemette l’interpella : "On peut venir avec vous ? - Certainement pas Madame. Si vous dites vrai et que la Chapelle Fistine s'avère être une scène de crime, celle-ci sera interdite au public. - Mais sans nous vous ne l'auriez jamais découvert!!! Protesta Guillemette. - Certes, mais je ne fais qu'appliquer le règlement Madame. Vous deux vous resterez ici, l'agent Cubitus restera avec vous pour prendre officiellement votre déposition. Nous vous tiendrons au courant des avancées de l'enquête, ne vous en faites pas !" Appoline était très déçue, elle n'avait jamais vu de véritable enquête policière, et avait hâte de comparer la réalité avec sa série favorite, les Experts Miami. Au lieu de ça, elle devrait se contenter de rester dans ce commissariat miteux. "J'espère qu'il y aura au moins de quoi manger. C'est pas un pauvre croissant qui va me caler, ça fait si longtemps qu'on a pas pris un vrai repas !" Elle n'osait pas l'admettre, mais elle était plutôt satisfaite de ce régime forcé. Elle avait perdu 2 tailles de pantalon en moins d'une semaine. Justine ne pourrait plus se moquer des ses rondeurs. "Au fait, vous savez où est Justine ? hasarda-t-elle. |
Par Uriette : le 24/09/15 à 16:51:55
Déconnecté Dire merci | Lorsque l'inspecteur s'en retourna auprès de ses hommes, Guillemette l’interpella : "On peut venir avec vous ? - Certainement pas Madame. Si vous dites vrai et que la Chapelle Fistine s'avère être une scène de crime, celle-ci sera interdite au public. - Mais sans nous vous ne l'auriez jamais découvert!!! Protesta Guillemette. - Certes, mais je ne fais qu'appliquer le règlement Madame. Vous deux vous resterez ici, l'agent Cubitus restera avec vous pour prendre officiellement votre déposition. Nous vous tiendrons au courant des avancées de l'enquête, ne vous en faites pas !" Appoline était très déçue, elle n'avait jamais vu de véritable enquête policière, et avait hâte de comparer la réalité avec sa série favorite, les Experts Miami. Au lieu de ça, elle devrait se contenter de rester dans ce commissariat miteux. "J'espère qu'il y aura au moins de quoi manger. C'est pas un pauvre croissant qui va me caler, ça fait si longtemps qu'on a pas pris un vrai repas !" Elle n'osait pas l'admettre, mais elle était plutôt satisfaite de ce régime forcé. Elle avait perdu 2 tailles de pantalon en moins d'une semaine. Justine ne pourrait plus se moquer des ses rondeurs. "Au fait, vous savez où est Justine ? hasarda-t-elle. - Aux dernières nouvelles elle faisait du boudin à Veracruz. Mais en quoi ça vous regarde ? |
Par kazoar : le 25/09/15 à 13:50:29
Dire merci | Lorsque l'inspecteur s'en retourna auprès de ses hommes, Guillemette l’interpella : "On peut venir avec vous ? - Certainement pas Madame. Si vous dites vrai et que la Chapelle Fistine s'avère être une scène de crime, celle-ci sera interdite au public. - Mais sans nous vous ne l'auriez jamais découvert!!! Protesta Guillemette. - Certes, mais je ne fais qu'appliquer le règlement Madame. Vous deux vous resterez ici, l'agent Cubitus restera avec vous pour prendre officiellement votre déposition. Nous vous tiendrons au courant des avancées de l'enquête, ne vous en faites pas !" Appoline était très déçue, elle n'avait jamais vu de véritable enquête policière, et avait hâte de comparer la réalité avec sa série favorite, les Experts Miami. Au lieu de ça, elle devrait se contenter de rester dans ce commissariat miteux. "J'espère qu'il y aura au moins de quoi manger. C'est pas un pauvre croissant qui va me caler, ça fait si longtemps qu'on a pas pris un vrai repas !" Elle n'osait pas l'admettre, mais elle était plutôt satisfaite de ce régime forcé. Elle avait perdu 2 tailles de pantalon en moins d'une semaine. Justine ne pourrait plus se moquer des ses rondeurs. "Au fait, vous savez où est Justine ? hasarda-t-elle. - Aux dernières nouvelles elle faisait du boudin à Veracruz. Mais en quoi ça vous regarde ? Elle revit en flash Justine chantant "tieeeeens voilà du boudiiiin" au beau milieu de l'Eglise et se raidit d'effroi. Mais qu'avaient donc fait les malheureux sud-américains pour qu'elle aille jusque là-bas les torturer de la sorte. D'ailleurs, pourquoi Veracruz ? c'était une destination inhabituelle pour Justine…. Dans un sursaut de lucidité, deux idées la frappèrent : 1) Veracruz, une destination idéale pour emporter une certaine chose et l'oublier là-bas… Chose qu'on ne retrouverait jamais donc….. 2) Si Justine était à Veracruz c'était donc qu'elle n'était pas chez elle. Et encore moins dans son jardin ! Elle répondit négligeamment à l'inspecteur "Ok ben pas grave, on va aller cueillir des fleurs ou ce genre de trucs, n'est ce pas Guillemette ?" Laquelle ouvrit des yeux grands comme des soucoupes. Elle serait bien passée prendre une douche, un bain et une redouche avant toute chose. Et puis |
Par Cliona : le 28/09/15 à 10:14:58
Dire merci | Elle revit en flash Justine chantant "tieeeeens voilà du boudiiiin" au beau milieu de l'Eglise et se raidit d'effroi. Mais qu'avaient donc fait les malheureux sud-américains pour qu'elle aille jusque là-bas les torturer de la sorte. D'ailleurs, pourquoi Veracruz ? c'était une destination inhabituelle pour Justine…. Dans un sursaut de lucidité, deux idées la frappèrent : 1) Veracruz, une destination idéale pour emporter une certaine chose et l'oublier là-bas… Chose qu'on ne retrouverait jamais donc….. 2) Si Justine était à Veracruz c'était donc qu'elle n'était pas chez elle. Et encore moins dans son jardin ! Elle répondit négligeamment à l'inspecteur "Ok ben pas grave, on va aller cueillir des fleurs ou ce genre de trucs, n'est ce pas Guillemette ?" Laquelle ouvrit des yeux grands comme des soucoupes. Elle serait bien passée prendre une douche, un bain et une redouche avant toute chose. Et puis elle avait une énorme envie de Message édité le 28/09/15 à 10:15 |
Par Uriette : le 28/09/15 à 12:12:40
Déconnecté Dire merci | Elle revit en flash Justine chantant "tieeeeens voilà du boudiiiin" au beau milieu de l'Eglise et se raidit d'effroi. Mais qu'avaient donc fait les malheureux sud-américains pour qu'elle aille jusque là-bas les torturer de la sorte. D'ailleurs, pourquoi Veracruz ? c'était une destination inhabituelle pour Justine…. Dans un sursaut de lucidité, deux idées la frappèrent : 1) Veracruz, une destination idéale pour emporter une certaine chose et l'oublier là-bas… Chose qu'on ne retrouverait jamais donc….. 2) Si Justine était à Veracruz c'était donc qu'elle n'était pas chez elle. Et encore moins dans son jardin ! Elle répondit négligeamment à l'inspecteur "Ok ben pas grave, on va aller cueillir des fleurs ou ce genre de trucs, n'est ce pas Guillemette ?" Laquelle ouvrit des yeux grands comme des soucoupes. Elle serait bien passée prendre une douche, un bain et une redouche avant toute chose. Et puis elle avait une énorme envie de quelque chose d'indéfinissable. Elle réfléchit profondément histoire de bien formuler la chose. le temps que ses synapses se connecte l'idée lui avait échappée. C'est alors que... |
Par sheytana : le 05/10/15 à 15:13:28
Dire merci | Elle revit en flash Justine chantant "tieeeeens voilà du boudiiiin" au beau milieu de l'Eglise et se raidit d'effroi. Mais qu'avaient donc fait les malheureux sud-américains pour qu'elle aille jusque là-bas les torturer de la sorte. D'ailleurs, pourquoi Veracruz ? c'était une destination inhabituelle pour Justine…. Dans un sursaut de lucidité, deux idées la frappèrent : 1) Veracruz, une destination idéale pour emporter une certaine chose et l'oublier là-bas… Chose qu'on ne retrouverait jamais donc….. 2) Si Justine était à Veracruz c'était donc qu'elle n'était pas chez elle. Et encore moins dans son jardin ! Elle répondit négligeamment à l'inspecteur "Ok ben pas grave, on va aller cueillir des fleurs ou ce genre de trucs, n'est ce pas Guillemette ?" Laquelle ouvrit des yeux grands comme des soucoupes. Elle serait bien passée prendre une douche, un bain et une redouche avant toute chose. Et puis elle avait une énorme envie de quelque chose d'indéfinissable. Elle réfléchit profondément histoire de bien formuler la chose. le temps que ses synapses se connecte l'idée lui avait échappée. C'est alors que Cubitus interrompit sa réflexion : "Il vaut mieux que vous restiez ici Mesdames, tant qu'on n'a pas mis la main sur votre ravisseur, vous êtes en danger dehors..." - Est-ce que vous avez au moins des douches dans votre commissariat, j'en ai marre de sentir l'animal mort. Et nous n'avons même pas de quoi nous changer!" - On passera chez vous, vous chercher quelques affaires. Maintenant, tenez vous tranquilles!" invectiva Talin avant de s'en aller. Lorsqu'elles furent seules, Guillemette en profita pour rappeler le détective. Elle lui raconta alors leurs mésaventure, et ses soupçons sur le Maire. Gérard sembla très perturbé. "Je viens tout de suite. Ne dites plus rien jusqu'à ce que je sois là, et faites attention à vous, vous n'êtes pas en sécurité au commissariat non plus!" Alors ça, c'était la meilleure. Guillemette chuchotât les ordres de Gérard à Appoline : "Je ne comprends plus rien à toute cette histoire... Qu'est-ce qu'on va faire Guillemette ??? - Pour l'instant, rester ici et attendre Gérard... " Gérard sortit en trombe du bar dans lequel il se trouvait, et essaya de rassembler tous ses esprits pour réussir à ouvrir sa voiture. Ces serrures sont toujours si compliquées, et ces clefs, toujours si difficiles à enfiler. "Guillemette est persuadée que leur ravisseur était le Maire Albert Rézina. Mais pourquoi le Maire aurait-il fait ça ? Pourquoi le procureur Jean Timepafutey m'a assuré que les filles étaient en voyages ? Est-il un complice du Maire ? Mais s'il est complice, alors pourquoi il m'aurait demandé de résoudre cette affaire ? Tout ça est sans queue ni tête !!" Gérard se demandait alors qu'est-ce qui de l'histoire ou de l'alcool lui filait le plus la migraine. Il roulait vite en direction du commissariat, lorsqu'un convoi de voitures de polices, sirènes à fond, déboula face à lui en doublant à tire larigot sur sa voie. Malgré ses 3 grammes d'alcool dans le sang, il fit une embardée pour les éviter. Mais celle-ci lui fut fatale. Ses réflexes avaient été moins à propos que le platane dans lequel il s'était encastré. Les policiers avaient été témoin de l'accident, aussi la dernière voiture du convoi c'était arrêtée pour lui porter secours. Hélas, il succombait à ses blessures, dans les bras de l'agent Radius qui essayait en vain de le désincarcérer. Il eu juste le temps de lui souffler ces derniers mots : "La Marquise de Mont Fémur est en danger. Rézina et Timepafutey sont dans le coup. Protégez-la. Ne faites confiance à personne..." Message édité le 05/10/15 à 15:14 |
Par Loarghann : le 05/10/15 à 16:30:49
Dire merci | Les policiers avaient été témoin de l'accident, aussi la dernière voiture du convoi c'était arrêtée pour lui porter secours. Hélas, il succombait à ses blessures, dans les bras de l'agent Radius qui essayait en vain de le désincarcérer. Il eu juste le temps de lui souffler ces derniers mots : "La Marquise de Mont Fémur est en danger. Rézina et Timepafutey sont dans le coup. Protégez-la. Ne faites confiance à personne... Et surtout pas à Van Houtan l'Orange...." |
Par sheytana : le 05/10/15 à 16:38:38
Dire merci | Et puis ce serait bien qu'elle finisse un jour cette histoire alors va falloir y mettre du votre un peu loarghann Van Houten le roux, on a vu qu'il était mort dans la Chapelle Fistine... Message édité le 05/10/15 à 16:39 |
Par Lilianna : le 05/10/15 à 17:23:13
Dire merci | Van Houten le roux, on a vu qu'il était mort dans la Chapelle Fistine... Mais c'est sûr de sûr ça ? Parce que la Marquise n'a reconnu que la bague, non ? Il peut y avoir eu échange pour faire croire que... Enfin sauf si la chapelle Fistine a déjà été fouillée par la policiers, mais c'est pas le cas encore ? (Sheytana je vais t'envoyer un MP pour avoir le fichier Word, ce sera bien plus facile pour me rappeler de tout sans avoir à fouiller les 10 pages du sujet !) |
Par sheytana : le 05/10/15 à 17:31:20
Dire merci | lilianna On est jamais sûrs de sûrs de rien là dedans C'est ça qui est bien |
Par Loarghann : le 05/10/15 à 17:39:46
Dire merci | je sais bien, sheyt, qu'il est un mort putatif.... Mais rebondir sur la coquille de Uriette pour faire un jeu de mot facile était bien trop outang euh, tentant ! |
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