Ossements que faire ?
Sujet commencé par : photos69 - Il y a 499 réponses à ce sujet, dernière réponse par Kat...1 personne suit ce sujet
Par photos69 : le 16/08/15 à 11:59:42
  DéconnectéDire merci3 | Bonjour, Je vous contacte car je me pose quelques questions.. Nous avons emménagé dans une petite maison depuis 6 mois. Cette maison était à l'abandon il y a un ou deux ans et d'après les voisins, les anciens locataire étaient très "bizarre", après eux,la maison n'a plus été loue et est devenu un squat. (Elle a ete refaite a neuf par les propriétaire quelques mois avant notre arrivé, nous sommes locataires) Or depuis deux mois nous avons adopté un chien.. Et celui ci ne cesse de creuser à différents endroits et nous ramène des os assez gros.. Ils sont souvent en morceaux. Mais ils sont assez large et épais. Le plus déstabilisant c'est que les anciens locataire n'avait pas de chien (et à moins d'avoir enterré un terre neuve, les os sont trop gros pour un chien, même si je souhaite que ce soit un gros chiens la dessous !). Ce n'est pas une ancienne ferme non plus. A un des endroits où mon chien creuse sans cesse (tas de sable au milieu de l'herbe, dont je n'arrive pas à me débarrasser d'ailleurs, j'ai l'impression qu'il y a 3 tonnes de sable la dessous !) nous avons retrouver une carte de bus d'un enfant enterré. Les anciens locataires n'ayant pas d'enfant. Je me demande comment elle a pu se retrouver ici enterré au milieu de notre terrain. Je me fais peut être des films. Mais connaissant l'histoire de la maison. J'ai un peu peur ! J'ai arrêté mes travaux de jardinage et de remise en état du terrain car j'angoisse d'y trouver quelques choses de plus choquant.. Que doit on faire dans ce genre de cas ? Prévenir la gendarmerie quand même ? |
Par Loarghann : le 02/09/15 à 15:28:31
| Dire merci | le donjon, maintenant ? mais ou ne vous arrêterez vous pas ?  |
Par dejavu : le 02/09/15 à 15:37:58
| Déconnecté Dire merci | Mais que fait la police!!! |
Par Kat... : le 02/09/15 à 16:07:04
| Dire merci | C'est quand même pas de ma faute si je préfère 50 nuances de Grey à la série Bones  On n'a jamais dit qu'on devait se limiter au style policier |
Par sissy : le 02/09/15 à 16:11:37
| Dire merci | Vous avez une sacrée imagination!!! J'adore!!!  |
Par Akhal9 : le 02/09/15 à 18:06:35
| Dire merci | Ne sachant comment aborder le sujet sans attiser quelconque curiosités déplacées du père Scapula, elles feignèrent de s'inquièter de Justine, pretextant un rendez-vous tupper ware auquel Justine ne se serait pas rendu la veille, et demandant, si par tout hasard, le père Scapula ne l'aurait pas vu récement afin de les rassurer. Le Père Scapula devint subitement aussi rouge que la chevelure de M. le Maire, et bafouilla maladroitement " - réunion tupper ware ? vous dites ? il baffouilla encore d'avantage, c'est qu'à moi elle m'a parler d'autres formes de réunions... dit-il en rougissant d'avantage encore, à l'évocation des détails que Justine lui avait donnés des réunions un peu particulières. M'enfin mesdames vous vous souciez de Justine maintenant ! - scapula connaissait l'inimitié entre les deux amies et la pauvre Justine victime de ces deux commères. - Ce n'est pas ce que vous croyez tenta Appo pour qui l'opinion du prêtre italien comptait beaucoup. - Laisse tomber, Appo, oui on organise des réunions sextoys, on y vend des fouets, des cravaches, et toutes sortes de godes, de toutes formes, toutes tailles et toutes le couleurs, qu'on peut se mettre ici ou ailleurs (elle fit les gestes qui allaient avec) ! Et bien toutes les choses que vous imaginez sans l'avouer ! Zut alors, dit la Marquise, on ne fait rien de mal. Alors que Sainte Justine on lui donne le bon dieu sans confession et c'est bien cela le problème. - Madame la Marquise, ce que vous dites n'a ni queue ni tête, tentat de temporiser le prêtre ! - Oui un peu comme vous, somme toute ! A ce moment, le prêtre se retint de dire à ses 2 mégères que si elles doutaient de sa tête ou de sa queue, elles devraient plutôt demander à Justine qui ne serait pas en reste pour en vanter les mérites. Mais, il eu la lucidité de se taire, craignant que cela nuise à sa candidature au prochain pontificat. Il se contenta de hausser les épaules, feignant de ne pas avoir saisi l'allusion Ne perdant pas de vue son objectif premier, Guillemette reprit son interrogatoire : - Nous ne portons certes pas Justine dans notre cœur, mais il faut avouer que c'est quand même notre meilleure cliente. Elle nous fait facile 1500€ de bénef à chaque réunion. C'est pour ça que nous nous inquiétons de ne pas avoir de ses nouvelles... - J'aurais du me douter de vos motivations bassement matérielles, répondit le saint homme, mais je n'ai pas revu Justine depuis un moment. Elle n'est même pas venue à la dernière messe, elle qui n'en rate jamais une..." Guillemette pensa qu'elle devait quand même sacrément l'avoir à la bonne... du curé. - Monsieur Scapula... - On dit "mon Père", Guillemette ! corrigea Appoline. - Parle pour toi, il parait que c'est le père de pas mal d'enfants de grenouilles de bénitiers, et ça je peux te garantir que ma mère ne l'était pas, dit Guillemette en riant. Avant de se rendre compte qu'elle était entrain de commettre un grave un impair. Le prêtre venait à peine de commencer à se mettre à table, la plaisanterie pourrait avoir des conséquences fâcheuses. - Excusez-moi, mon père, vous savez j'ai bien du mal à réprimer mes réflexes anti-cléricaux, soyez assurez, mon père l'abbé, mes frères et mes soeurs, que je le regrette ! - "Je ne suis pas inquiet sur ce sujet... Dieu se chargera de vous le faire regretter si vous n'avez pas la bienséance de le faire par vous même... En revanche, l'absence de Justine ne me rassure guère. J'espère qu'elle n'a pas à nouveaux de fâcheux ennuis... Son absence d'assiduité ne lui ressemble pas et ne me dis rien qui vaille... ... En plus nous avons notre grand repas biannuel de la Paroisse et nous attendons du monde très important, il serait fort dommageable que notre meilleure cuisinière ne puisse... euh... participer. Oui, elle accorde beaucoup d'importance à ces dîners. Je me rappelle que Justine avait évoqué un lieu spécifique dans lequel avait lieu vos... réunions "tupper ware"... Un Donjon ? me semble-t'il ? Ou quelque chose qui s'y apparente, je ne sais plus trop... Peut-être pourrions nous commencer les recherches par ce "lieu". " Ses yeux brillants et la bosse qui se formait sous sa soutane laissaient à penser que les motivations de Scapula pour le lieu allait bien au-delà de son inquiètude pour la disparition de son amante. - mais mon père, il va y avoir un problème, le Donjon va être difficilement accessible hors des réunions tupperware... le propriétaire fait partie, disons... d'un groupe avec des idéologies très particulières, arf ça porte un nom mais ça ne me reviens pas... d'ailleurs Justine en fait aussi partie, j'ai crue comprendre qu'elle en revenait toujours toute émoustillé. Et donc pour y aller je vais devoir appeler Mr Sésamoïde et il est très caractériel... enfin j'espère réussir à l'amadouer. Scapula réfléchi un moment... |
Par Kat... : le 02/09/15 à 19:00:23
| Dire merci | - "Je ne suis pas inquiet sur ce sujet... Dieu se chargera de vous le faire regretter si vous n'avez pas la bienséance de le faire par vous même... En revanche, l'absence de Justine ne me rassure guère. J'espère qu'elle n'a pas à nouveaux de fâcheux ennuis... Son absence d'assiduité ne lui ressemble pas et ne me dis rien qui vaille... ... En plus nous avons notre grand repas biannuel de la Paroisse et nous attendons du monde très important, il serait fort dommageable que notre meilleure cuisinière ne puisse... euh... participer. Oui, elle accorde beaucoup d'importance à ces dîners. Je me rappelle que Justine avait évoqué un lieu spécifique dans lequel avait lieu vos... réunions "tupper ware"... Un Donjon ? me semble-t'il ? Ou quelque chose qui s'y apparente, je ne sais plus trop... Peut-être pourrions nous commencer les recherches par ce "lieu". " Ses yeux brillants et la bosse qui se formait sous sa soutane laissaient à penser que les motivations de Scapula pour le lieu allait bien au-delà de son inquiètude pour la disparition de son amante. - mais mon père, il va y avoir un problème, le Donjon va être difficilement accessible hors des réunions tupperware... le propriétaire fait partie, disons... d'un groupe avec des idéologies très particulières, arf ça porte un nom mais ça ne me reviens pas... d'ailleurs Justine en fait aussi partie, j'ai crue comprendre qu'elle en revenait toujours toute émoustillé. Et donc pour y aller je vais devoir appeler Mr Sésamoïde et il est très caractériel... enfin j'espère réussir à l'amadouer. Scapula réfléchi un moment... ...Lorsque de stupeur il laissa tomber son chapelet en appercevant Justine entrer dans l'église. Bien qu'elle tentait de toute évidence de se faire discrète au vue de sa façon de raser les murs en se dirigeant vers le confessionnal, sa tenue on-ne-peut-plus-affriolante ne pu qu'attirer les regards des 3 protagonistes sur elle, médusés. Prise sur le fait (et pas comme elle aimerait, ndlr  ), elle tenta de garder une contenance en se recoiffant et redescendant quelque peu sa robe en latex clouté :- "Eh bien qu'y a t'il, on dirait que vous avez vu un revenant !" Voyant le regard toujours aussi vide de ses interlocuteurs, elle décida d'enchaîner d'un air assuré : - "Je vois que vous avez toujours aussi bonne mine Appo! Vos joues rebondies mettent délicieusement en valeur vos petits yeux porcins ! Guillemette, avez vous quelconque pêché à confesser pour diable vous être précipité ici en sortant de chez moi ? Il me semblait que vous alliez aux champignons... Je ne suis pas sur que vous en trouverez auprès de M. Scapula... Quoi que?! Ajouta t'elle l'air malicieux et fière de sa plaisanterie. Elle ne laissa pas le temps à ses interlocutrices de répondre : "pardonnez moi ainsi d'interrompre ces festivités, mais je souhaitais m'entretenir avec mon Père de manière... Privée... J'ai entre autres quelques sujets à aborder avec lui concernant le menu du repas de la Paroisse, et je ne tiens pas à vous ennuyer avec ces considérations doméstiques... N'importe qui, en entrant chez vous, devine aisément que vous n'êtes pas des femmes d'intérieur et des bonnes ménagères." Tout en raccompagnant ces dames à la porte, elle ne manqua pas de tordre démesurément des hanches afin d'attiser la "curiosité" du Père qui se montra aussi réceptif qu'elle l'espérait au vue de la sueur qui commençait à dégouliner de son front. Mais lorsque Guillemette et Appo furent sorties, elle changea radicalement de ton - "L'heure est grave, et je vais avoir besoin de ton aide." |
Par Uriette : le 03/09/15 à 09:42:53
| Déconnecté Dire merci | - "Je vois que vous avez toujours aussi bonne mine Appo! Vos joues rebondies mettent délicieusement en valeur vos petits yeux porcins ! Guillemette, avez vous quelconque pêché à confesser pour diable vous être précipité ici en sortant de chez moi ? Il me semblait que vous alliez aux champignons... Je ne suis pas sur que vous en trouverez auprès de M. Scapula... Quoi que?! Ajouta t'elle l'air malicieux et fière de sa plaisanterie. Elle ne laissa pas le temps à ses interlocutrices de répondre : "pardonnez moi ainsi d'interrompre ces festivités, mais je souhaitais m'entretenir avec mon Père de manière... Privée... J'ai entre autres quelques sujets à aborder avec lui concernant le menu du repas de la Paroisse, et je ne tiens pas à vous ennuyer avec ces considérations doméstiques... N'importe qui, en entrant chez vous, devine aisément que vous n'êtes pas des femmes d'intérieur et des bonnes ménagères." Tout en raccompagnant ces dames à la porte, elle ne manqua pas de tordre démesurément des hanches afin d'attiser la "curiosité" du Père qui se montra aussi réceptif qu'elle l'espérait au vue de la sueur qui commençait à dégouliner de son front. Mais lorsque Guillemette et Appo furent sorties, elle changea radicalement de ton - "L'heure est grave, et je vais avoir besoin de ton aide." - Justine, tu le sais que je ne t'apporterai mon aide que si tu me dis toute la vérité. Justine s'installa sur les petits bancs inconfortables de l'église, sa tenue de latex s'éclairait de la lumière vacillante des cierges. Justine était un paradoxe à elle seule, bonne chrétienne, fidèle, honnête et travailleuse mais elle était possédée par une force dont seul lui avait connaissance. Du moins il le croyait. Ce merveilleux corps était habité par satan en personne, Scapula le savait depuis toujours, et s'était promis de sauver cette pauvre victime des griffes diaboliques. Justine reprit tout par le menu de manière confuse. Son mari mort découpé en morceaux, la tombe qu'elle voulait creuser dans le jardin de la maison abandonnée, le livreur, sa belle-mère, Albert Rézina le maire, la Marquise, la main girouette sur le toit de la voisine, les forces de l'ordre, et l'intervention divine de Oui le chat qui avait fait disparaitre l'objet du délit. Elle sembla prise de transes, son corps bougeait dans la lumière des flammes. Elle se mit à baragouiner dans un langage que seules celles qui étaient dans sa tête pouvaient comprendre. Elle se mit soudainement debout, marcha dans l'allée sous la haute voûte romaine, en chantant à pleine voix dans l'église qui résonnait : - Tiens, voilà un boudin, voilà un boudin, voilà un boudin Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains, Scapula commença à vaciller à son tour. Il lui fallu toute la force et la concentration caractéristique des prêtres exorcistes pour ne pas céder à l'appel du Mal qui s'insinuait subrepticement en lui. Il était subjugué par ce corps qui se mouvait tel un reptile sous la voûte de la maison de Dieu . Le prêtre s'agenouilla et se mit prier : Plus près de toi seigneur plus près de toi, tenta-t-il aussi fort que possible pour couvrir Justine qui se tortillait vers les hauts lustres qui pendaient en haut de la voûte, Justine poursuivait sa chanson: - Pour les belges y en a plus, pour les belges y en a plus, ce sont des tireur au cul. Elle lui présenta son postérieur de latex vêtu. C'est à ce moment précis qu'Appoline et Guillemette firent irruption à travers les larges portes de la maison du seigneur. Le prêtre beuglait ses prières aussi fort qu'il était possible de le faire "Plus près de toi seigneur, plus près de toi !" et Justine, traversant l'église tout du long "Ce sont des tireurs au cul ! Au-cu, Aucu-, Aucune hésitation !" en lui montrant son postérieur de latex qu'elle se frappait à pleine main. |
Par Calide : le 03/09/15 à 09:51:54
| Dire merci | expldr |
Par mon quidam : le 03/09/15 à 10:21:04
| Dire merci | - "Je vois que vous avez toujours aussi bonne mine Appo! Vos joues rebondies mettent délicieusement en valeur vos petits yeux porcins ! Guillemette, avez vous quelconque pêché à confesser pour diable vous être précipité ici en sortant de chez moi ? Il me semblait que vous alliez aux champignons... Je ne suis pas sur que vous en trouverez auprès de M. Scapula... Quoi que?! Ajouta t'elle l'air malicieux et fière de sa plaisanterie. Elle ne laissa pas le temps à ses interlocutrices de répondre : "pardonnez moi ainsi d'interrompre ces festivités, mais je souhaitais m'entretenir avec mon Père de manière... Privée... J'ai entre autres quelques sujets à aborder avec lui concernant le menu du repas de la Paroisse, et je ne tiens pas à vous ennuyer avec ces considérations doméstiques... N'importe qui, en entrant chez vous, devine aisément que vous n'êtes pas des femmes d'intérieur et des bonnes ménagères." Tout en raccompagnant ces dames à la porte, elle ne manqua pas de tordre démesurément des hanches afin d'attiser la "curiosité" du Père qui se montra aussi réceptif qu'elle l'espérait au vue de la sueur qui commençait à dégouliner de son front. Mais lorsque Guillemette et Appo furent sorties, elle changea radicalement de ton - "L'heure est grave, et je vais avoir besoin de ton aide." - Justine, tu le sais que je ne t'apporterai mon aide que si tu me dis toute la vérité. Justine s'installa sur les petits bancs inconfortables de l'église, sa tenue de latex s'éclairait de la lumière vacillante des cierges. Justine était un paradoxe à elle seule, bonne chrétienne, fidèle, honnête et travailleuse mais elle était possédée par une force dont seul lui avait connaissance. Du moins il le croyait. Ce merveilleux corps était habité par satan en personne, Scapula le savait depuis toujours, et s'était promis de sauver cette pauvre victime des griffes diaboliques. Justine reprit tout par le menu de manière confuse. Son mari mort découpé en morceaux, la tombe qu'elle voulait creuser dans le jardin de la maison abandonnée, le livreur, sa belle-mère, Albert Rézina le maire, la Marquise, la main girouette sur le toit de la voisine, les forces de l'ordre, et l'intervention divine de Oui le chat qui avait fait disparaitre l'objet du délit. Elle sembla prise de transes, son corps bougeait dans la lumière des flammes. Elle se mit à baragouiner dans un langage que seules celles qui étaient dans sa tête pouvaient comprendre. Elle se mit soudainement debout, marcha dans l'allée sous la haute voûte romaine, en chantant à pleine voix dans l'église qui résonnait : - Tiens, voilà un boudin, voilà un boudin, voilà un boudin Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains, Scapula commença à vaciller à son tour. Il lui fallu toute la force et la concentration caractéristique des prêtres exorcistes pour ne pas céder à l'appel du Mal qui s'insinuait subrepticement en lui. Il était subjugué par ce corps qui se mouvait tel un reptile sous la voûte de la maison de Dieu . Le prêtre s'agenouilla et se mit prier : Plus près de toi seigneur plus près de toi, tenta-t-il aussi fort que possible pour couvrir Justine qui se tortillait vers les hauts lustres qui pendaient en haut de la voûte, Justine poursuivait sa chanson: - Pour les belges y en a plus, pour les belges y en a plus, ce sont des tireur au cul. Elle lui présenta son postérieur de latex vêtu. C'est à ce moment précis qu'Appoline et Guillemette firent irruption à travers les larges portes de la maison du seigneur. Le prêtre beuglait ses prières aussi fort qu'il était possible de le faire "Plus près de toi seigneur, plus près de toi !" et Justine, traversant l'église tout du long "Ce sont des tireurs au cul ! Au-cu, Aucu-, Aucune hésitation !" en lui montrant son postérieur de latex qu'elle se frappait à pleine main. Rêvassant devant les programme de télévision vides de l'après midi, l'inspecteur Chris Talin, réputé pour son œil de lynx, repensait à cette main plantée sur la girouette.... "pourquoi diable un chat voudrait-il emporter un objet de plastique? Si difficile à atteindre? " Non, décidément, cela lui semblait étrange. Il était perdu dans ces considérations lorsqu'il aperçu sur le rebord de sa fenêtre passer Oui. "Alors, là, mon p'tit bonhomme.... " Il ouvrit doucement la fenêtre, couru chercher dans le réfrigérateur un reste de pâté qu'il posa sur le rebord, et attendit que Oui vienne voir cela de plus près. Le chat, par l'odeur alléché revint immédiatement sur la fenêtre pour profiter du casse croute. "hé oui, se dit Chris, on n'attire pas les mouches avec du vinaigre ni les chats avec du plastique" Il se saisit du reste de pâté, et le posa sur le sol du salon, et hop! Oui suivit sa pitance sans hésiter. Chris referma la fenêtre et observa sa prise. "tiens, un cheveu..." Il préleva délicatement le tif roux et le mis dans un sac en plastique, puis il se dirigea vers son téléphone pour appeler le commissaire. Message édité le 03/09/15 à 10:21 Message édité le 03/09/15 à 10:23 |
Par Kat... : le 03/09/15 à 10:40:25
| Dire merci | J'ai guetté une suite toute la soirée lol ! |
Par Uriette : le 03/09/15 à 10:48:25
| Déconnecté Dire merci | Justine reprit tout par le menu de manière confuse. Son mari mort découpé en morceaux, la tombe qu'elle voulait creuser dans le jardin de la maison abandonnée, le livreur, sa belle-mère, Albert Rézina le maire, la Marquise, la main girouette sur le toit de la voisine, les forces de l'ordre, et l'intervention divine de Oui le chat qui avait fait disparaitre l'objet du délit. Elle sembla prise de transes, son corps bougeait dans la lumière des flammes. Elle se mit à baragouiner dans un langage que seules celles qui étaient dans sa tête pouvaient comprendre. Elle se mit soudainement debout, marcha dans l'allée sous la haute voûte romane, en chantant à pleine voix dans l'église qui résonnait : - Tiens, voilà un boudin, voilà un boudin, voilà un boudin Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains, Scapula commença à vaciller à son tour. Il lui fallu toute la force et la concentration caractéristique des prêtres exorcistes pour ne pas céder à l'appel du Mal qui s'insinuait subrepticement en lui. Il était subjugué par ce corps qui se mouvait tel un reptile sous la voûte de la maison de Dieu . Le prêtre s'agenouilla et se mit prier : Plus près de toi seigneur plus près de toi, tenta-t-il aussi fort que possible pour couvrir Justine qui se tortillait vers les hauts lustres qui pendaient en haut de la voûte, Justine poursuivait sa chanson: - Pour les belges y en a plus, pour les belges y en a plus, ce sont des tireur au cul. Elle lui présenta son postérieur de latex vêtu. C'est à ce moment précis qu'Appoline et Guillemette firent irruption à travers les larges portes de la maison du seigneur. Le prêtre beuglait ses prières aussi fort qu'il était possible de le faire "Plus près de toi seigneur, plus près de toi !" et Justine, traversant l'église tout du long "Ce sont des tireurs au cul ! Au-cu, Aucu-, Aucune hésitation !" en lui montrant son postérieur de latex qu'elle se frappait à pleine main. Rêvassant devant les programme de télévision vides de l'après midi, l'inspecteur Chris Talin, réputé pour son œil de lynx, repensait à cette main plantée sur la girouette.... "pourquoi diable un chat voudrait-il emporter un objet de plastique? Si difficile à atteindre? " Non, décidément, cela lui semblait étrange. Il était perdu dans ces considérations lorsqu'il aperçu sur le rebord de sa fenêtre passer Oui. "Alors, là, mon p'tit bonhomme.... " Il ouvrit doucement la fenêtre, couru chercher dans le réfrigérateur un reste de pâté qu'il posa sur le rebord, et attendit que Oui vienne voir cela de plus près. Le chat, par l'odeur alléché revint immédiatement sur la fenêtre pour profiter du casse croute. "hé oui, se dit Chris, on n'attire pas les mouches avec du vinaigre ni les chats avec du plastique" Il se saisit du reste de pâté, et le posa sur le sol du salon, et hop! Oui suivit sa pitance sans hésiter. Chris referma la fenêtre et observa sa prise. "tiens, un cheveu..." Il préleva délicatement le tif roux et le mis dans un sac en plastique, puis il se dirigea vers son téléphone pour appeler le commissaire. - Monsieur le commissaire, dans l'affaire de la main girouette, j'ai peut-être quelque chose. - Ecoutez, Chris Talin, pour moi cette histoire n'est qu'une farce de gamins. Répondit le commissaire Walter Loo. Mais Chris Talin, n'était pas homme à lâcher l'affaire aussi facilement. - Commissaire Walter Loo, j'ai cru entendre que le Procureur Jean Timépafutey, a insisté pour que nous fassions toute la lumière sur cette affaire. - Jean Timépafutey est un grand ami du Col de Mont Fémur, le député de la circonscription, qui a tout intérêt à faire beaucoup de bruit pour qu'on parle d'autre chose que des frasques de la Marquise son épouse. D'ailleurs ils ont titré dessus à BFM TV dans le journal en continue, vous n'avez pas vu la banderole "Peur sur le village : le fond de l'air effraie"! Mais sachez que quand le doigt montre le ciel, l'imbécile regarde le doigt ! Walter Loo ironisa, mais Chris Talin le prit pour un message. Bien sûr, c'était ça, le tueur en série après une décennie de silence pour lui envoyer un message, il était revenu tout exprès pour lui et ne le lâcherait pas ! - Vous avez raison, Commissaire Loo, je vais me rendre à l'église. Message édité le 03/09/15 à 11:00 Message édité le 03/09/15 à 11:02 |
Par Kat... : le 03/09/15 à 11:09:31
| Dire merci | Rêvassant devant les programme de télévision vides de l'après midi, l'inspecteur Chris Talin, réputé pour son œil de lynx, repensait à cette main plantée sur la girouette.... "pourquoi diable un chat voudrait-il emporter un objet de plastique? Si difficile à atteindre? " Non, décidément, cela lui semblait étrange. Il était perdu dans ces considérations lorsqu'il aperçu sur le rebord de sa fenêtre passer Oui. "Alors, là, mon p'tit bonhomme.... " Il ouvrit doucement la fenêtre, couru chercher dans le réfrigérateur un reste de pâté qu'il posa sur le rebord, et attendit que Oui vienne voir cela de plus près. Le chat, par l'odeur alléché revint immédiatement sur la fenêtre pour profiter du casse croute. "hé oui, se dit Chris, on n'attire pas les mouches avec du vinaigre ni les chats avec du plastique" Il se saisit du reste de pâté, et le posa sur le sol du salon, et hop! Oui suivit sa pitance sans hésiter. Chris referma la fenêtre et observa sa prise. "tiens, un cheveu..." Il préleva délicatement le tif roux et le mis dans un sac en plastique, puis il se dirigea vers son téléphone pour appeler le commissaire. - Monsieur le commissaire, dans l'affaire de la main girouette, j'ai peut-être quelque chose. - Ecoutez, Chris Talin, pour moi cette histoire n'est qu'une farce de gamins. Répondit le commissaire Walter Loo. Mais Chris Talin, n'était pas homme à lâcher l'affaire aussi facilement. - Commissaire Walter Loo, j'ai cru entendre que le Procureur Jean Timépafutey, a insisté pour que nous fassions toute la lumière sur cette affaire. - Jean Timépafutey est un grand ami du Col de Mont Fémur, le député de la circonscription, qui a tout intérêt à intérêt faire beaucoup de bruit pour qu'on parle d'autre chose que des frasques de la Marquise son épouse. D'ailleurs ils ont titré dessus à BFM TV dans le journal en continue, vous n'avez pas vu la banderole "Peur sur le village : le fond de l'air effraie"! Mais sachez que quand le doigt montre le ciel, l'imbécile regarde le doigt ! Walter Loo ironisa, mais Chris Talin le prit pour un message. Bien sûr, c'était ça, le tueur en série après une décennie de silence pour lui envoyer un message, il était revenu tout exprès pour lui et ne le lâcherait pas ! - Vous avez raison, Commissaire Loo, je vais me rendre à l'église Avant de raccrocher et de courrir à l'église, il évoqua le cheveux trouvé, et demanda s'il était possible d'effectuer une analyse dans l'espoir d'avoir peut-être une piste exploitable sous peu. Le Comissaire Loo, acquiessa de suite, imaginant déjà sa promotion future et la remise de la légion d'honneur qu'il obtiendrait forcément en résolvant cette mystérieuse affaire. Il assura d'envoyer rapidement des agents au domicile de M. Talin pour récupérer le précieux cheveux et de faire le nécéssaire dans les plus brefs délais. Quelques minutes plus tard, alors que Chris revêtait son chapeau pour se rendre à la paroisse après s'être fait une beauté (comprendre remettre en arrière la mèche restante de ces cheveux grisonnants pour cacher la calvicie qui n'était plus naissante mais déjà bien adulte et la couvrir de gomina), les agents Radius et Cubitus arrivèrent, essouflés d'être venus en courrant depuis le commissariat sur ordre pressant de M. Loo... Qui leur avait dit de se rendre au domicile de M. Talin, au pas de course! Ils récupérerent le précieux cheveux, et le portèrent aussitôt dans le laboratoire d'analyse de la police judiciaire. Le professeur MALEOLE se saisit immédiatement du cheveux, heureux de retrouver enfin un peu d'activité après une période de chommage technique faute d'activité durant laquelle, lui même s'était posé la question de commettre quelques meurtres discrets afin d'avoir à nouveau de la vie dans ce laboratoire... Mais l'idée lui avait paru compliquée, puisque l'analyse des indices aurait forcément révélé qu'il était le meurtrier, et il aurait été contraint de donner à la police les résultats de ses recherches l'inculpant d'office... Il avait longuement réfléchi, mais avait finalement opté pour ne rien faire, le chomage lui paraissant préférable à la prison. En regardant déjà les premières séquences d'ADN qui défilaient sur l'écran de son pc, il s'assit... troublé par la correspondance qui venait de s'afficher... "M. VAN HOUTEN"... Il se frotta les yeux un moment, scotché par une telle nouvelle... Lorsque son assistant lui demanda pourquoi ce trouble, il lui désigna l'écran... Il lu "Van Houten ? Qui est-ce ? Un parent à M. Van Helsing?" |
Par sheytana : le 03/09/15 à 11:51:43
| Dire merci | Mais EXPLDR Vous êtes fantastiques Rêvassant devant les programme de télévision vides de l'après midi, l'inspecteur Chris Talin, réputé pour son œil de lynx, repensait à cette main plantée sur la girouette.... "pourquoi diable un chat voudrait-il emporter un objet de plastique? Si difficile à atteindre? " Non, décidément, cela lui semblait étrange. Il était perdu dans ces considérations lorsqu'il aperçu sur le rebord de sa fenêtre passer Oui. "Alors, là, mon p'tit bonhomme.... " Il ouvrit doucement la fenêtre, couru chercher dans le réfrigérateur un reste de pâté qu'il posa sur le rebord, et attendit que Oui vienne voir cela de plus près. Le chat, par l'odeur alléché revint immédiatement sur la fenêtre pour profiter du casse croute. "hé oui, se dit Chris, on n'attire pas les mouches avec du vinaigre ni les chats avec du plastique" Il se saisit du reste de pâté, et le posa sur le sol du salon, et hop! Oui suivit sa pitance sans hésiter. Chris referma la fenêtre et observa sa prise. "tiens, un cheveu..." Il préleva délicatement le tif roux et le mis dans un sac en plastique, puis il se dirigea vers son téléphone pour appeler le commissaire. - Monsieur le commissaire, dans l'affaire de la main girouette, j'ai peut-être quelque chose. - Ecoutez, Chris Talin, pour moi cette histoire n'est qu'une farce de gamins. Répondit le commissaire Walter Loo. Mais Chris Talin, n'était pas homme à lâcher l'affaire aussi facilement. - Commissaire Walter Loo, j'ai cru entendre que le Procureur Jean Timépafutey, a insisté pour que nous fassions toute la lumière sur cette affaire. - Jean Timépafutey est un grand ami du Col de Mont Fémur, le député de la circonscription, qui a tout intérêt à intérêt faire beaucoup de bruit pour qu'on parle d'autre chose que des frasques de la Marquise son épouse. D'ailleurs ils ont titré dessus à BFM TV dans le journal en continue, vous n'avez pas vu la banderole "Peur sur le village : le fond de l'air effraie"! Mais sachez que quand le doigt montre le ciel, l'imbécile regarde le doigt ! Walter Loo ironisa, mais Chris Talin le prit pour un message. Bien sûr, c'était ça, le tueur en série après une décennie de silence pour lui envoyer un message, il était revenu tout exprès pour lui et ne le lâcherait pas ! - Vous avez raison, Commissaire Loo, je vais me rendre à l'église Avant de raccrocher et de courrir à l'église, il évoqua le cheveux trouvé, et demanda s'il était possible d'effectuer une analyse dans l'espoir d'avoir peut-être une piste exploitable sous peu. Le Comissaire Loo, acquiessa de suite, imaginant déjà sa promotion future et la remise de la légion d'honneur qu'il obtiendrait forcément en résolvant cette mystérieuse affaire. Il assura d'envoyer rapidement des agents au domicile de M. Talin pour récupérer le précieux cheveux et de faire le nécéssaire dans les plus brefs délais. Quelques minutes plus tard, alors que Chris revêtait son chapeau pour se rendre à la paroisse après s'être fait une beauté (comprendre remettre en arrière la mèche restante de ces cheveux grisonnants pour cacher la calvicie qui n'était plus naissante mais déjà bien adulte et la couvrir de gomina), les agents Radius et Cubitus arrivèrent, essouflés d'être venus en courrant depuis le commissariat sur ordre pressant de M. Loo... Qui leur avait dit de se rendre au domicile de M. Talin, au pas de course! Ils récupérerent le précieux cheveux, et le portèrent aussitôt dans le laboratoire d'analyse de la police judiciaire. Le professeur MALEOLE se saisit immédiatement du cheveux, heureux de retrouver enfin un peu d'activité après une période de chommage technique faute d'activité durant laquelle, lui même s'était posé la question de commettre quelques meurtres discrets afin d'avoir à nouveau de la vie dans ce laboratoire... Mais l'idée lui avait paru compliquée, puisque l'analyse des indices aurait forcément révélé qu'il était le meurtrier, et il aurait été contraint de donner à la police les résultats de ses recherches l'inculpant d'office... Il avait longuement réfléchi, mais avait finalement opté pour ne rien faire, le chomage lui paraissant préférable à la prison. En regardant déjà les premières séquences d'ADN qui défilaient sur l'écran de son pc, il s'assit... troublé par la correspondance qui venait de s'afficher... "M. VAN HOUTEN"... Il se frotta les yeux un moment, scotché par une telle nouvelle... Lorsque son assistant lui demanda pourquoi ce trouble, il lui désigna l'écran... Il lu "Van Houten ? Qui est-ce ? Un parent à M. Van Helsing?" Loin de toute cette agitation, et à mille lieux de se douter de tout ce qui se tramait pendant ce temps, Albert souriait devant son miroir. Il avait vétu sa belle chemise rouge à carreaux bleu, et peigné ce qu'il lui restait de cheveux. "Justine ne pourra que craquer devant un tel physique!" se dit-il. Le miroir rigola intérieurement. Monsieur le Maire était un homme d'une cinquantaine d'années bien conservé pour son âge, mais seulement du côté gauche. Le droit faisait facilement 20 ans de plus. Souvent, il attrapait des torticolis pour rester de profil face à ces interlocuteurs. "Il faut que je lui sorte le grand jeu, ce soir, elle va voir de quelle saucisse je me chauffe !" Message édité le 03/09/15 à 11:53 |
En lignePar Kat... : le 03/09/15 à 12:01:40
| Dire merci | La saucisse ! La saucisse ! |
Par Kat... : le 03/09/15 à 12:08:40
| Dire merci | "tiens, un cheveu..." Il préleva délicatement le tif roux et le mis dans un sac en plastique, puis il se dirigea vers son téléphone pour appeler le commissaire. - Monsieur le commissaire, dans l'affaire de la main girouette, j'ai peut-être quelque chose. - Ecoutez, Chris Talin, pour moi cette histoire n'est qu'une farce de gamins. Répondit le commissaire Walter Loo. Mais Chris Talin, n'était pas homme à lâcher l'affaire aussi facilement. - Commissaire Walter Loo, j'ai cru entendre que le Procureur Jean Timépafutey, a insisté pour que nous fassions toute la lumière sur cette affaire. - Jean Timépafutey est un grand ami du Col de Mont Fémur, le député de la circonscription, qui a tout intérêt à intérêt faire beaucoup de bruit pour qu'on parle d'autre chose que des frasques de la Marquise son épouse. D'ailleurs ils ont titré dessus à BFM TV dans le journal en continue, vous n'avez pas vu la banderole "Peur sur le village : le fond de l'air effraie"! Mais sachez que quand le doigt montre le ciel, l'imbécile regarde le doigt ! Walter Loo ironisa, mais Chris Talin le prit pour un message. Bien sûr, c'était ça, le tueur en série après une décennie de silence pour lui envoyer un message, il était revenu tout exprès pour lui et ne le lâcherait pas ! - Vous avez raison, Commissaire Loo, je vais me rendre à l'église Avant de raccrocher et de courrir à l'église, il évoqua le cheveux trouvé, et demanda s'il était possible d'effectuer une analyse dans l'espoir d'avoir peut-être une piste exploitable sous peu. Le Comissaire Loo, acquiessa de suite, imaginant déjà sa promotion future et la remise de la légion d'honneur qu'il obtiendrait forcément en résolvant cette mystérieuse affaire. Il assura d'envoyer rapidement des agents au domicile de M. Talin pour récupérer le précieux cheveux et de faire le nécéssaire dans les plus brefs délais. Quelques minutes plus tard, alors que Chris revêtait son chapeau pour se rendre à la paroisse après s'être fait une beauté (comprendre remettre en arrière la mèche restante de ces cheveux grisonnants pour cacher la calvicie qui n'était plus naissante mais déjà bien adulte et la couvrir de gomina), les agents Radius et Cubitus arrivèrent, essouflés d'être venus en courrant depuis le commissariat sur ordre pressant de M. Loo... Qui leur avait dit de se rendre au domicile de M. Talin, au pas de course! Ils récupérerent le précieux cheveux, et le portèrent aussitôt dans le laboratoire d'analyse de la police judiciaire. Le professeur MALEOLE se saisit immédiatement du cheveux, heureux de retrouver enfin un peu d'activité après une période de chommage technique faute d'activité durant laquelle, lui même s'était posé la question de commettre quelques meurtres discrets afin d'avoir à nouveau de la vie dans ce laboratoire... Mais l'idée lui avait paru compliquée, puisque l'analyse des indices aurait forcément révélé qu'il était le meurtrier, et il aurait été contraint de donner à la police les résultats de ses recherches l'inculpant d'office... Il avait longuement réfléchi, mais avait finalement opté pour ne rien faire, le chomage lui paraissant préférable à la prison. En regardant déjà les premières séquences d'ADN qui défilaient sur l'écran de son pc, il s'assit... troublé par la correspondance qui venait de s'afficher... "M. VAN HOUTEN"... Il se frotta les yeux un moment, scotché par une telle nouvelle... Lorsque son assistant lui demanda pourquoi ce trouble, il lui désigna l'écran... Il lu "Van Houten ? Qui est-ce ? Un parent à M. Van Helsing?" Loin de toute cette agitation, et à mille lieux de se douter de tout ce qui se tramait pendant ce temps, Albert souriait devant son miroir. Il avait vétu sa belle chemise rouge à carreaux bleu, et peigné ce qu'il lui restait de cheveux. "Justine ne pourra que craquer devant un tel physique!" se dit-il. Le miroir rigola intérieurement. Monsieur le Maire était un homme d'une cinquantaine d'années bien conservé pour son âge, mais seulement du côté gauche. Le droit faisait facilement 20 ans de plus. Souvent, il attrapait des torticolis pour rester de profil face à ces interlocuteurs. "Il faut que je lui sorte le grand jeu, ce soir, elle va voir de quelle saucisse je me chauffe !" Il en était sûr, ce soir, Justine BI-BEURRE serait sienne !  |
Par mon quidam : le 03/09/15 à 12:14:34
| Dire merci | On peut pas vous laisser seules deux minutes... |
Par Kat... : le 03/09/15 à 12:20:01
| Dire merci | Si, ça vous fait juste un peu de lecture ! plaignez vous en plus ! |
Par cyberds : le 03/09/15 à 12:26:26
| Dire merci1 | Désolée, mais moi la saucisse, je la préfère sans champignons" "habité par Satan" ( normalement, on dit "Satan l'habite" ) : le fond de l'air effraie" je vous a-do-re !! manque plus que le donjon s'appelle "la Fistinière" et ce sera parfait ! Message édité le 03/09/15 à 12:29 |
Par Uriette : le 03/09/15 à 12:42:15
| Déconnecté Dire merci | "tiens, un cheveu..." Il préleva délicatement le tif roux et le mis dans un sac en plastique, puis il se dirigea vers son téléphone pour appeler le commissaire. - Monsieur le commissaire, dans l'affaire de la main girouette, j'ai peut-être quelque chose. - Ecoutez, Chris Talin, pour moi cette histoire n'est qu'une farce de gamins. Répondit le commissaire Walter Loo. Mais Chris Talin, n'était pas homme à lâcher l'affaire aussi facilement. - Commissaire Walter Loo, j'ai cru entendre que le Procureur Jean Timépafutey, a insisté pour que nous fassions toute la lumière sur cette affaire. - Jean Timépafutey est un grand ami du Col de Mont Fémur, le député de la circonscription, qui a tout intérêt à intérêt faire beaucoup de bruit pour qu'on parle d'autre chose que des frasques de la Marquise son épouse. D'ailleurs ils ont titré dessus à BFM TV dans le journal en continue, vous n'avez pas vu la banderole "Peur sur le village : le fond de l'air effraie"! Mais sachez que quand le doigt montre le ciel, l'imbécile regarde le doigt ! Walter Loo ironisa, mais Chris Talin le prit pour un message. Bien sûr, c'était ça, le tueur en série après une décennie de silence pour lui envoyer un message, il était revenu tout exprès pour lui et ne le lâcherait pas ! - Vous avez raison, Commissaire Loo, je vais me rendre à l'église Avant de raccrocher et de courrir à l'église, il évoqua le cheveux trouvé, et demanda s'il était possible d'effectuer une analyse dans l'espoir d'avoir peut-être une piste exploitable sous peu. Le Comissaire Loo, acquiessa de suite, imaginant déjà sa promotion future et la remise de la légion d'honneur qu'il obtiendrait forcément en résolvant cette mystérieuse affaire. Il assura d'envoyer rapidement des agents au domicile de M. Talin pour récupérer le précieux cheveux et de faire le nécéssaire dans les plus brefs délais. Quelques minutes plus tard, alors que Chris revêtait son chapeau pour se rendre à la paroisse après s'être fait une beauté (comprendre remettre en arrière la mèche restante de ces cheveux grisonnants pour cacher la calvicie qui n'était plus naissante mais déjà bien adulte et la couvrir de gomina), les agents Radius et Cubitus arrivèrent, essouflés d'être venus en courrant depuis le commissariat sur ordre pressant de M. Loo... Qui leur avait dit de se rendre au domicile de M. Talin, au pas de course! Ils récupérerent le précieux cheveux, et le portèrent aussitôt dans le laboratoire d'analyse de la police judiciaire. Le professeur MALEOLE se saisit immédiatement du cheveux, heureux de retrouver enfin un peu d'activité après une période de chommage technique faute d'activité durant laquelle, lui même s'était posé la question de commettre quelques meurtres discrets afin d'avoir à nouveau de la vie dans ce laboratoire... Mais l'idée lui avait paru compliquée, puisque l'analyse des indices aurait forcément révélé qu'il était le meurtrier, et il aurait été contraint de donner à la police les résultats de ses recherches l'inculpant d'office... Il avait longuement réfléchi, mais avait finalement opté pour ne rien faire, le chomage lui paraissant préférable à la prison. En regardant déjà les premières séquences d'ADN qui défilaient sur l'écran de son pc, il s'assit... troublé par la correspondance qui venait de s'afficher... "M. VAN HOUTEN"... Il se frotta les yeux un moment, scotché par une telle nouvelle... Lorsque son assistant lui demanda pourquoi ce trouble, il lui désigna l'écran... Il lu "Van Houten ? Qui est-ce ? Un parent à M. Van Helsing?" Loin de toute cette agitation, et à mille lieux de se douter de tout ce qui se tramait pendant ce temps, Albert souriait devant son miroir. Il avait vétu sa belle chemise rouge à carreaux bleu, et peigné ce qu'il lui restait de cheveux. "Justine ne pourra que craquer devant un tel physique!" se dit-il. Le miroir rigola intérieurement. Monsieur le Maire était un homme d'une cinquantaine d'années bien conservé pour son âge, mais seulement du côté gauche. Le droit faisait facilement 20 ans de plus. Souvent, il attrapait des torticolis pour rester de profil face à ces interlocuteurs. "Il faut que je lui sorte le grand jeu, ce soir, elle va voir de quelle saucisse je me chauffe !" Il en était sûr, ce soir, Justine BI-BEURRE serait sienne ! c'était indéniable qu'elle était bi. Mais on racontait que seuls peu d'hommes avaient eu le privilège d'en faire l'expérience. Et on racontait que ceux qui l'avaient vécu avaient péri dans les méandres du donjon de la Fistinière. malgré tous ses efforts pour y accéder, l'édile municipale en avait toujours été tenu écartée, ce qui ne faisait qu'accentuer sa curiosité et son excitation. Il tenait du boucher que la pièce la plus haute du lourd bâtiment n'était réservée qu'aux intégristes, et sappelait la salle à fist. Pour l'heure Albert savait qu'il devrait se contenter d'une saucisse bien assaisonnée ! Sans plus attendre il se mit en route. Message édité le 03/09/15 à 12:44 |
Par sheytana : le 03/09/15 à 12:55:15
| Dire merci | Mouahahahahhahah |
Par sheytana : le 03/09/15 à 13:00:57
| Dire merci | Quelques minutes plus tard, alors que Chris revêtait son chapeau pour se rendre à la paroisse après s'être fait une beauté (comprendre remettre en arrière la mèche restante de ces cheveux grisonnants pour cacher la calvicie qui n'était plus naissante mais déjà bien adulte et la couvrir de gomina), les agents Radius et Cubitus arrivèrent, essouflés d'être venus en courrant depuis le commissariat sur ordre pressant de M. Loo... Qui leur avait dit de se rendre au domicile de M. Talin, au pas de course! Ils récupérerent le précieux cheveux, et le portèrent aussitôt dans le laboratoire d'analyse de la police judiciaire. Le professeur MALEOLE se saisit immédiatement du cheveux, heureux de retrouver enfin un peu d'activité après une période de chommage technique faute d'activité durant laquelle, lui même s'était posé la question de commettre quelques meurtres discrets afin d'avoir à nouveau de la vie dans ce laboratoire... Mais l'idée lui avait paru compliquée, puisque l'analyse des indices aurait forcément révélé qu'il était le meurtrier, et il aurait été contraint de donner à la police les résultats de ses recherches l'inculpant d'office... Il avait longuement réfléchi, mais avait finalement opté pour ne rien faire, le chomage lui paraissant préférable à la prison. En regardant déjà les premières séquences d'ADN qui défilaient sur l'écran de son pc, il s'assit... troublé par la correspondance qui venait de s'afficher... "M. VAN HOUTEN"... Il se frotta les yeux un moment, scotché par une telle nouvelle... Lorsque son assistant lui demanda pourquoi ce trouble, il lui désigna l'écran... Il lu "Van Houten ? Qui est-ce ? Un parent à M. Van Helsing?" Loin de toute cette agitation, et à mille lieux de se douter de tout ce qui se tramait pendant ce temps, Albert souriait devant son miroir. Il avait vétu sa belle chemise rouge à carreaux bleu, et peigné ce qu'il lui restait de cheveux. "Justine ne pourra que craquer devant un tel physique!" se dit-il. Le miroir rigola intérieurement. Monsieur le Maire était un homme d'une cinquantaine d'années bien conservé pour son âge, mais seulement du côté gauche. Le droit faisait facilement 20 ans de plus. Souvent, il attrapait des torticolis pour rester de profil face à ces interlocuteurs. "Il faut que je lui sorte le grand jeu, ce soir, elle va voir de quelle saucisse je me chauffe !" Il en était sûr, ce soir, Justine BI-BEURRE serait sienne ! c'était indéniable qu'elle était bi. Mais on racontait que seuls peu d'hommes avaient eu le privilège d'en faire l'expérience. Et on racontait que ceux qui l'avaient vécu avaient péri dans les méandres du donjon de la Fistinière. malgré tous ses efforts pour y accéder, l'édile municipale en avait toujours été tenu écartée, ce qui ne faisait qu'accentuer sa curiosité et son excitation. Il tenait du boucher que la pièce la plus haute du lourd bâtiment n'était réservée qu'aux intégristes, et sappelait la salle à fist. Pour l'heure Albert savait qu'il devrait se contenter d'une saucisse bien assaisonnée ! Sans plus attendre il se mit en route. Chris reçu un coup de fil sur son portable assez rapidement après le départ de Radius et Cubitus : - Commissaire, j'ai fait analyser vos cheveux, et vous n'allez pas me croire! - Mes cheveux ! Mais bougre d'idiot, ce sont ceux du chat qu'ils fallait analyser ! D'ailleurs les miens sont trop rares pour être gâchés ! - Ce ne sont pas des poils de chat que vous m'avez envoyés, mais des cheveux roux! - Oui, ce sont les cheveux de Oui le chat ! - ... Fatigué par ce dialogue de sourd qui était chose courante avec le commissaire, le professeur Maléole repris un peu dépité : - J'ai analysé les cheveux roux que vous m'avez fait envoyer, et vous n'allez pas me croire ! Message édité le 03/09/15 à 13:06 |
Par sheytana : le 03/09/15 à 13:07:36
| Dire merci | (Je fais un fichier word pour cette magnifique nouvelle Pour le titre, le "Cadavres exquis" du début vous vas ? J'aime bien, ça résume bien tout  )Message édité le 03/09/15 à 13:07 |
Par Uriette : le 03/09/15 à 13:08:38
| Déconnecté Dire merci | Complètement d'accord, sheyt ! |
Par mon quidam : le 03/09/15 à 13:12:55
| Dire merci | Cadavre exquis t'es comme une puce! non? |
Par Kat... : le 03/09/15 à 13:14:25
| Dire merci | LOL moi aussi j'ai un fichier Word et un post it sur mon bureau qui rappelle le nom de tous les personnages car je m'y perds entre Justin Bieber... Eu Justine Bi-Beurre, tibia, radius, cubitus, scapula, malléole, et tous ceux que j'oublie ! Mais si mes collègues ou mon chef tombent sur ce post it ils vont croire que je prends des cours d'anatomie ! Lol |
Par mon quidam : le 03/09/15 à 13:14:35
| Dire merci | parce que des excitées, dans cette intrigue, y'en a!  |
Par kazoar : le 03/09/15 à 13:17:45
| Dire merci | Yes !! Vindiou vous avez eu de l'imagination j'ai du rattraper du retard ! |
Par Nine81 : le 03/09/15 à 13:20:26
| Dire merci | oh oui !!! on suit l'histoire !! mode sous marin off |
Par Loarghann : le 03/09/15 à 13:33:51
| Dire merci | je suis terriblement fan de la salle à fist intégriste Vous etes très fortes les filles ! |
Par sheytana : le 03/09/15 à 13:45:06
| Dire merci | loarghann la salle à fist intégriste Oh qu'il est bon celui-là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  Message édité le 03/09/15 à 13:45 |
Par sheytana : le 03/09/15 à 13:46:43
| Dire merci | Sur mon word on a 15 pages et 18 participants  |
Par Uriette : le 03/09/15 à 13:57:24
| Déconnecté Dire merci | Il en était sûr, ce soir, Justine BI-BEURRE serait sienne ! c'était indéniable qu'elle était bi. Mais on racontait que seuls peu d'hommes avaient eu le privilège d'en faire l'expérience. Et on racontait que ceux qui l'avaient vécu avaient péri dans les méandres du donjon de la Fistinière. malgré tous ses efforts pour y accéder, l'édile municipale en avait toujours été tenu écartée, ce qui ne faisait qu'accentuer sa curiosité et son excitation. Il tenait du boucher que la pièce la plus haute du lourd bâtiment n'était réservée qu'aux intégristes, et sappelait la salle à fist. Pour l'heure Albert savait qu'il devrait se contenter d'une saucisse bien assaisonnée ! Sans plus attendre il se mit en route. Chris reçu un coup de fil sur son portable assez rapidement après le départ de Radius et Cubitus : - Commissaire, j'ai fait analyser vos cheveux, et vous n'allez pas me croire! - Mes cheveux ! Mais bougre d'idiot, ce sont ceux du chat qu'ils fallait analyser ! D'ailleurs les miens sont trop rares pour être gâchés ! - Ce ne sont pas des poils de chat que vous m'avez envoyés, mais des cheveux roux! - Oui, ce sont les cheveux de Oui le chat ! - ... Fatigué par ce dialogue de sourd qui était chose courante avec le commissaire, le professeur Maléole repris un peu dépité : - J'ai analysé les cheveux roux que vous m'avez fait envoyer, et vous n'allez pas me croire !, Commissaire ! Ca faisait 10 ans que Chris travaillait régulièrement avec Maléole. Dix ans qu'il donnait du "commissaire" au petit inspecteur qui n'avait jamais cru bon de le détromper ! - Dites toujours, j'ai bien ma petite idée là-dessus. Parce que oui, c'était le tout premier tueur psychopathe multirécidiviste qu'il avait croisé au début de sa carrière. Talin le savait, il le sentait, et ce psychopathe criminel ne cesserait de le hanter qu'une fois mis sous les verrous, et verrous ça rime avec roux et c'était un signe ! Quand Chris raccrocha le téléphone, il se rua au commissariat, salua à peine le commissaire, et hurla tout de go : - Commissaire Walter Loo, y va y avoir un coup de Trafalgar dans l'affaire de la Girouette, prévenez Albert Rézina, Radius et Cubitus, rassemblez les hommes ! Message édité le 03/09/15 à 14:08 |
Par sheytana : le 03/09/15 à 14:00:42
| Dire merci | T'as magnifiquement rattrapé ma bourde |
Par Uriette : le 03/09/15 à 14:05:20
| Déconnecté Dire merci | T'as qu'à dire que tu l'as fait exprès |
Par Loarghann : le 03/09/15 à 14:14:59
| Dire merci | sheyt, elle est pas de moi, mais bien de uriette et elle est tellement subtilement placée que je me doutais qu'elle avait été injustement loupée ! Vous etes vraiment très fortes ! |
Par sheytana : le 03/09/15 à 14:23:44
| Dire merci | loarghann AAAAAAAaah ok C'est MAGNIFIQUE, bravo bravo je me prosterne En fait quand t'as repris j'ai fait une recherche et j'ai pas trouvé dans le texte, j'en ai injustement conclus que c'était de toi  |
Par cyberds : le 03/09/15 à 14:26:41
| Dire merci | n'était réservée qu'aux intégristes, et sappelait la salle à fist. (ah non je ne l'avais pas loupée, depuis qu'Uriette a glissé "habitée par satan", je guette ses trouvailles ) Uriette, celle là elle est merveilleuse !!! Message édité le 03/09/15 à 14:33 |
Par sheytana : le 03/09/15 à 14:27:20
| Dire merci | Elle est d'anthologie, je pleure de rire mais d'une force |
Par cyberds : le 03/09/15 à 14:29:35
| Dire merci | Trafalgar, Waterloo, Berezina, que des victoires ... pour les autres loooool Uriette est en grande forme |
Par Kat... : le 03/09/15 à 14:33:17
| Dire merci | Salle à fist intégristes !  C'est brillant ! Bon, maintenant si on attaque la suite à la Fistinière par contre, va peut-être falloir déplacer le post sur le forum adulte! |
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